Le pouvoir algérien renforce les contrôles aux frontières et met en place des mesures de sécurité excessives pour empêcher les citoyens de circuler librement ou de quitter le pays. Ces tactiques visent à maintenir le contrôle total sur la population et à empêcher toute opposition ou contestation en restreignant la liberté de mouvement des citoyens.
Ces abus du droit de quitter le pays sont évidemment contraires aux normes internationales des droits de l'homme et soulèvent de graves préoccupations en matière de libertés fondamentales.
Environ 6000 militants, journalistes, professeurs, médecins, artistes et avocats algériens sont empêchés de quitter le territoire, parfois sans justification légale de la part du gouvernement. Parmi eux se trouvent Kaddour Chouicha à Oran, le chanteur kabyle Oulahlou à Bejaia, le Dr. Saïd Chemakh à Tizi Ouzou et Mohand Taferka, président d’une association basée à Montreuil (Région parisienne).
Le "droit à la libre circulation" ou "droit de quitter tout pays, y compris le sien", est reconnu comme un droit fondamental des êtres humains dans le droit international des droits de l'homme. Ce droit est consacré dans plusieurs instruments internationaux, dont le Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP) et la Déclaration universelle des droits de l'homme.
Un gouvernement dictatorial peut abuser du droit de quitter le pays en utilisant diverses tactiques pour restreindre ou entraver ce droit fondamental. En Algérie, de nombreux cas d'interdiction de quitter le pays ont été signalés au fil des années, suscitant des préoccupations concernant les droits de l'homme et la liberté de mouvement.
Des militants pacifiques résidant à l’étranger sont même empêchés de ressortir de l’Algérie sous de fallacieuses accusations (cas de Mohand Taferka, président de l’association Taferka en banlieue parisienne, placé en détention en novembre 2023). Des dizaines de citoyens refusent de rendre publiques les mesures arbitraires qui les visent pour ne pas aggraver leur
Ces abus du droit de quitter le pays sont évidemment contraires aux normes internationales des droits de l'homme et soulèvent de graves préoccupations en matière de libertés fondamentales.
Environ 6000 militants, journalistes, professeurs, médecins, artistes et avocats algériens sont empêchés de quitter le territoire, parfois sans justification légale de la part du gouvernement. Parmi eux se trouvent Kaddour Chouicha à Oran, le chanteur kabyle Oulahlou à Bejaia, le Dr. Saïd Chemakh à Tizi Ouzou et Mohand Taferka, président d’une association basée à Montreuil (Région parisienne).
Le "droit à la libre circulation" ou "droit de quitter tout pays, y compris le sien", est reconnu comme un droit fondamental des êtres humains dans le droit international des droits de l'homme. Ce droit est consacré dans plusieurs instruments internationaux, dont le Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP) et la Déclaration universelle des droits de l'homme.
Un gouvernement dictatorial peut abuser du droit de quitter le pays en utilisant diverses tactiques pour restreindre ou entraver ce droit fondamental. En Algérie, de nombreux cas d'interdiction de quitter le pays ont été signalés au fil des années, suscitant des préoccupations concernant les droits de l'homme et la liberté de mouvement.
Des militants pacifiques résidant à l’étranger sont même empêchés de ressortir de l’Algérie sous de fallacieuses accusations (cas de Mohand Taferka, président de l’association Taferka en banlieue parisienne, placé en détention en novembre 2023). Des dizaines de citoyens refusent de rendre publiques les mesures arbitraires qui les visent pour ne pas aggraver leur
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