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Comment l’Algérie sabote ses propres entreprises et se condamne au sous-développement

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  • Comment l’Algérie sabote ses propres entreprises et se condamne au sous-développement

    les entreprises algériennes évoluent dans des un climat d'affaires et économique hostile, inhospitalier et très difficile. Ces difficultés peuvent être qualifiées de véritables sabotages qui provoquent l'échec, le blocage et le ralentissement des activités économiques des entreprises algériennes aggravant ainsi le sous-développement du pays.

    Sondage officiel réalisé par l'Office National des Statistiques, un organisme gouvernemental en Algérie, dévoile grandement les dessous de cette réalité amère du sabotage que subissent les entreprises algériennes.

    Selon l’opinion propre des chefs d’entreprises publiques et privées, ayant répondu à l’enquête de l'ONS, l’activité industrielle au troisième trimestre 2023 a connu d'importants blocages au niveau de l’approvisionnement en matières premières qui a été inférieur à la demande exprimée selon plus de 35 % des concernés du secteur public et de plus de 31 % de ceux du privé, ce qui a engendré des ruptures de stocks à près de 40 % des premiers allant à moins de 10 jours et à près de 28 % des seconds allant à 29 jours pour 20 % d’entre eux.

    Par ailleurs, près de 20 % des chefs d’entreprises du secteur public et près de 11 % de ceux du privé ont connu des pannes d’électricité, engendrant des arrêts de travail, toutefois, inférieurs à 6 jours pour la plupart des concernés du secteur public et allant à 12 jours selon certains de ceux du secteur privé.

    Malgré l'allongement des délais de recouvrement des créances, les charges d'exploitation élevées continuent d'influer sur l'état de la trésorerie des entreprises algériennes, nous apprennent les résultats de ce sondage de l'ONS. Plus de 35 % des entreprises publiques et près de 30 % de celles du secteur privé ont été contraintes de recourir à des crédits bancaires pour résoudre leur problème de trésorerie.

    D'autre part, ,près de 59 % des chefs d'entreprises publiques enquêtés et près de 32 % de ceux du privé déclarent avoir connu des pannes durant ce 3e trimestre de 2023, toutefois inférieures à 13 jours selon la plupart des enquêtés du secteur privé et allant à 29 jours pour près de 24 % des concernés du secteur public. Plus de 41 % des concernés du secteur public et près de 29 % de ceux du secteur privé ont remis en marche leurs équipements après une panne et près de 45 % des premiers et de 35 % des seconds ont procédé à des renouvellements.

    Ces difficultés auraient pu ne pas avoir lieu si les entreprises algériennes étaient beaucoup plus soutenues, protégées et jouissaient d'une plus large marge de manœuvre pour travailler et réaliser des bénéfices. Cette situation préjudiciable pour nos entreprises est à l'origine du déclin économique de notre pays.


  • #2
    Le comble elle veut faire une guerre économique contre le Maroc au Sahel

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    • #3
      Non, c'est pour vous faire ch,,,,,,,,,,, et vous faire parlé

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