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L’ambassadeur italien Gianpaolo Cantini révèle à Annaba :
« Des réseaux maffieux sont derrière l’exploitation des harrages algériens »
L’ambassadeur italien en Algérie, Gianpaolo Cantini, a adressé une lettre de solidarité aux autorités algériennes pour sa lutte contre le terrorisme, considérant son pays comme l’un des rares Etats qui ont soutenu et continuent de soutenir l’Algérie dans le domaine de la lutte contre le terrorisme, il en veut pour preuve que les compagnies et les ressortissants italiens travaillant en Algérie ont refusé de quitter le pays malgré les menaces reçues durant et après les années noires.
En marge de sa rencontre avec les opérateurs économiques locaux à la Chambre de commerce et d’industrie à Annaba, l’ambassadeur italien a accusé des réseaux criminels et maffieux dans le milieu de la drogue d’être derrière l’exploitation de l’immigration clandestine vers l’île de la Sardaigne, afin de couvrir leurs crimes. Il a ajouté que ces réseaux exploitent les jeunes qui, selon lui, viennent de la rive sud de la Méditerranée, à savoir l’Algérie, la Tunisie et la Libye, afin d’étendre leur activité criminelle.
L’ambassadeur italien a déclaré que les services diplomatiques italiens travaillent en collaboration avec leurs homologues algériens, afin de lutter contre ce phénomène nouveau en Italie, et qui a vu ces derniers temps le nombre des harragas algériens augmenter de manière effrayante avec plus de 1500 individus.
L’ambassadeur a indiqué que les relations entre l’Algérie et l’Italie remontent à la période coloniale, considérant l’Algérie comme le partenaire permanent et le deuxième plus grand opérateur commercial de l’Italie dans le monde, vu que la valeur des échanges commerciaux l’année dernière a dépassé, selon lui, 6 milliards d’euros, la plupart dans le domaine des hydrocarbures.
- El Khabar
« Des réseaux maffieux sont derrière l’exploitation des harrages algériens »
L’ambassadeur italien en Algérie, Gianpaolo Cantini, a adressé une lettre de solidarité aux autorités algériennes pour sa lutte contre le terrorisme, considérant son pays comme l’un des rares Etats qui ont soutenu et continuent de soutenir l’Algérie dans le domaine de la lutte contre le terrorisme, il en veut pour preuve que les compagnies et les ressortissants italiens travaillant en Algérie ont refusé de quitter le pays malgré les menaces reçues durant et après les années noires.
En marge de sa rencontre avec les opérateurs économiques locaux à la Chambre de commerce et d’industrie à Annaba, l’ambassadeur italien a accusé des réseaux criminels et maffieux dans le milieu de la drogue d’être derrière l’exploitation de l’immigration clandestine vers l’île de la Sardaigne, afin de couvrir leurs crimes. Il a ajouté que ces réseaux exploitent les jeunes qui, selon lui, viennent de la rive sud de la Méditerranée, à savoir l’Algérie, la Tunisie et la Libye, afin d’étendre leur activité criminelle.
L’ambassadeur italien a déclaré que les services diplomatiques italiens travaillent en collaboration avec leurs homologues algériens, afin de lutter contre ce phénomène nouveau en Italie, et qui a vu ces derniers temps le nombre des harragas algériens augmenter de manière effrayante avec plus de 1500 individus.
L’ambassadeur a indiqué que les relations entre l’Algérie et l’Italie remontent à la période coloniale, considérant l’Algérie comme le partenaire permanent et le deuxième plus grand opérateur commercial de l’Italie dans le monde, vu que la valeur des échanges commerciaux l’année dernière a dépassé, selon lui, 6 milliards d’euros, la plupart dans le domaine des hydrocarbures.
- El Khabar
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