Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Les Usmistes refusent le diktat marocain

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Les Usmistes refusent le diktat marocain

    lexpressiondz

    Moumen Aït Kaci Ali
    00:00 | 30-04-2024



    La Fédération algérienne de football, qui soutient corps et âme le représentant algérien dans cette affaire, a déposé un dossier lourd au niveau du TAS de Lausanne, pour faire valoir les droits de l’USMA.

    Comme attendu, la rencontre qui devait opposer la RS Berkane à l'USM Alger, dimanche, pour le compte de la demi-finale retour de la coupe de la Confédération africaine de football (CAF), ne s'est pas déroulée en raison des pratiques extra-sportives utilisées encore une fois par l'équipe marocaine pour faire sortir ce match de football de son cadre sportif.

    L'USMA qui avait, lors de la réunion technique d'avant-match tenue samedi, émis des réserves pour contester de manière officielle les maillots de la formation marocaine, a donc logiquement refusé de jouer contre cette équipe de Berkane avec son maillot floqué d'une carte du Maroc annexant les territoires du Sahara occidental occupé. Une provocation doublée d'une violation flagrante des règlements de la Confédération africaine de football (CAF) et de la Fédération internationale (FIFA).

    Ainsi, devant cette provocation de la RS Berkane qui insistait à vouloir jouer cette rencontre retour avec ce maillot refusé par l'USMA, l'arbitre désigné pour officier cette rencontre, a dû annuler comme au match aller, la tenue de cette demi-finale retour. Il va falloir donc attendre la décision du tribunal arbitral sportif (TAS) qui devrait trancher sur cette affaire au plus tard dans deux semaines. Pour rappel, l'USM Alger a décidé de saisir le tribunal arbitral sportif (TAS), suite à cette décision arbitraire de la CAF qui a déclaré la RS Berkane vainqueur à l'aller par forfait 3-0. Persuadés qu'ils ont été victimes d'une décision injuste de la part de l'instance africaine, manipulée par une force occulte hostile envers tout ce qui est algérien, les dirigeants des Rouge et Noir, sont décidés à aller au bout de leur revendication dans ce dossier. Ils s'appuient sur les règlements de la Confédération africaine de football et de la FIFA qui interdisent « l'usage des messages politiques ou religieux dans les rencontres de football».

    Il va sans dire que dans cette affaire des maillots floqués de cette carte géographique de la honte, la CAF a clairement bafoué les règlements de l'instance internationale (FIFA). Comme déjà indiqué sur ces colonnes, la Fédération algérienne de football soutient corps et âme le représentant algérien dans cette affaire. C'est ainsi que la FAF a déposé jeudi dernier un dossier lourd au niveau du TAS de Lausanne pour faire valoir les droits de l'USMA. La partie algérienne, demande l'annulation de la décision de la CAF de considérer le club algérien perdant (3-0) lors du match aller.
    Une autre requête sera bientôt déposée au sujet de ce match retour, annulé aussi en effraction des règlements de la FIFA qui, pour rappel, stipule que «l'équipement ne doit présenter aucun slogan, inscription ou image à caractère politique, religieux ou personnel. Les joueurs ne sont pas autorisés à exhiber de slogans, messages ou images à caractère politique, religieux, personnel ou publicitaire sur leurs sous-vêtements autres que le logo du fabricant.

    En cas d'infraction, le joueur et/ou l'équipe sera sanctionnée par l'organisateur de la compétition, par la Fédération nationale ou par la Fédération internationale (FIFA)». L'article 50 de la Charte olympique (alinéa 2), est aussi très clair là-dessus «aucune sorte de démonstration ou de propagande politique, religieuse ou raciale n'est autorisée dans un lieu, site ou autre emplacement olympique». Deux instances que le club de Soustara, ne manquera pas aussi de saisir pour mettre la lumière sur ce qui se trame dans notre continent en matière d'infraction des lois du sport.

  • #2
    Les connards ont fait de leur bikini leur cheval de bataille pour la reconnaissance de ce qui ne sera jamais reconnu .

    Commentaire


    • #3
      moi, je n'y vois que défaillance de la CAF.
      ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

      Commentaire


      • #4
        Déjà durant les années 80 les Africains créaient des problèmes avec le foot Algérien. Combine , arbitrage corrompu , des arbitres qui refusaient des buts Algériens ou autres fautes adverses en argumentant une poussière dans l’œil qui les obligeaient à se frotter les yeux et ne pas voir etc...

        Commentaire


        • #5
          Les marocains voulaient l'humiliation d'une équipe algérienne en jouant contre eux avec cette carte le désastre est pour eux rien ne s'est passé comme ils voulaient la prestation est contre productive.

          Commentaire


          • #6
            C'est l'effet boomerang !

            Commentaire


            • #7
              il faut faire un deuil les amis, les matchs ne seront pas rejoués

              On a une finale à jouer, le dossier est déjà clos, en attendant le prochain forfait inchallah.

              Commentaire


              • #8
                Au cu pe toi de ton cul et laisse l'USMA .

                Commentaire


                • #9
                  Promis, on va tous l’oublier pendant deux bonnes années minimum une fois les sanctions vont tomber. Mais d’ici là, il est hors de question de ne pas répondre aux hurluberlus de la presse sportive algérienne qui nous font leur Lakjaa-tite

                  Commentaire


                  • #10
                    S'ils estiment que la CAF est injuste avec eux (ce qui est un avis partial) ils n'ont qu'à boycotter les compétitions africaines.

                    Commentaire


                    • #11
                      J'ai vu une vidéo des joueurs a l'interieur devant leurs vestiaires ils etaient spectateur de la decision

                      Leurs visage en disais long.

                      Droite des Valeurs
                      Gauche du Travail
                      Centre "Intérêt de Mon Pays"

                      Commentaire


                      • #12
                        Ah , moi j'ai vu une vidéo des joueurs de Berkane se faire bastonner pour les forcer à enfiler leur bikini .
                        Leur visage en disait long

                        Commentaire


                        • #13
                          rodmaroc


                          S'ils estiment que la CAF est injuste avec eux (ce qui est un avis partial) ils n'ont qu'à boycotter les compétitions africaines.


                          -------------------------------------------------------------------------------------


                          Pourquoi tu as demander ceci ?


                          Demande d'adhésion du Maroc à la Communauté économique européenne

                          1 langueOutils
                          Demande d'adhésion du Maroc aux Communautés européennes
                          https://upload.wikimedia.org/wikiped...ocator.svg.png
                          Le Maroc en orange et l'Union européenne en vert.
                          25 et 26 juin 1984
                          Dépôt au Conseil européen et non au Conseil des Communautés européennes
                          1er octobre 1987
                          Refus du Conseil européen
                          Accord commercial de 1975


                          modifierhttps://upload.wikimedia.org/wikiped...Simple.svg.png

                          La demande d'adhésion du Maroc aux Communautés européennes fait référence à la demande d'adhésion aux Communautés européennes déposée par le roi du Maroc Hassan II lors du Conseil européen des 25 et 26 juin 1984 à Fontainebleau, et révélée par la presse1,2. Celle-ci fut rejetée en octobre 1987.
                          Relations passées[modifier | modifier le code]

                          Article détaillé : Relations entre le Maroc et l'Union européenne.

                          Le premier partenariat entre le Maroc et ce qui allait devenir l'Union européenne a été initiée en mars 1969 par la signature d'un accord commercial. Un nouvel accord commercial fut ensuite signé en avril 19763,4.
                          Déroulement[modifier | modifier le code]

                          Dépôt de la demande[modifier | modifier le code]


                          Lors de sa visite à Paris en octobre 1983, le roi du Maroc, Hassan II, fait part au président de la République française, François Mitterrand, de son intention de demande l'adhésion du Maroc au Traité de Rome4.

                          ...

                          Commentaire


                          • #14
                            ...

                            Le 15 juin 1984, Hassan II adresse une lettre à François Mitterrand, alors président du Conseil européen, lui faisant part de la volonté du Royaume du Maroc d'adhérer aux traités instituant les Communautés européennes4,5,6.

                            Hassan II informe le Conseil européen des 25 et 26 juin 1984 à Fontainebleau de la demande d'adhésion du Maroc à la Communauté économique européenne7. Elle a été rendue publique le 10 novembre 1984 lors d'un entretien avec Hassan II, publié dans le journal Le Monde[réf. nécessaire].

                            Hassan II envoie le 8 juillet 1987 une lettre au président du Conseil des Communautés européennes pour soumettre officiellement une demande d'adhésion du Royaume du Maroc aux Communautés européennes5,6. Le Royaume du Maroc saisit solennellement la Commission européenne à ce sujet le 20 juillet 19877.
                            Réactions des institutions européennes[modifier | modifier le code]

                            Demande du Parlement à la Commission européenne[modifier | modifier le code]


                            À la suite de la demande d'adhésion, le député européen Karel van Miert a posé, le 10 décembre 1984, la question suivante à la Commission des Communautés européennes1 :
                            « Des communiqués de presse rapportent que le Maroc a officiellement déposé sa candidature d'adhésion à la Communauté européenne et que les Chefs d'État et de Gouvernement ont examiné cette candidature lors du Conseil européen de Fontainebleau. Aux termes de l'article 237 du traité CEE, « tout État européen peut demander à devenir membre de la Communauté … ». La Commission estime-t-elle que l'adhésion du Maroc à la Communauté est possible en vertu des traités instituant les Communautés européennes actuellement en vigueur ? »

                            Le 19 février 1985, Jacques Delors, alors président de la Commission européenne, répond par la négative8.
                            Demande du Parlement au Conseil des Communautés européennes[modifier | modifier le code]


                            Le 13 février 1985, le député européen Horst Seefeld pose à son tour une question au Conseil :
                            « Les informations parues dans la presse selon lesquelles le Maroc aurait demandé à la Communauté sont-elles exactes et, dans l'affirmative, cette demande a-t-elle été présentée par la voie officielle et quelle a été la réaction du Conseil ? »

                            Le Conseil répond à cette question que le Maroc n'a déposé aucune demande d'adhésion à la Communauté9.

                            Cette réponse du Conseil s'explique par le fait que la demande, formulée par le roi du Maroc, n'a pas été transmise au « Conseil », selon les termes de l'article 237, mais au Conseil européen qui n'était alors qu'une institution de facto, non prévue par le texte des traités8.
                            Position du Maroc[modifier | modifier le code]

                            Avis du roi Hassan II[modifier | modifier le code]


                            Le roi Hassan II motive cette demande par plusieurs motifs :
                            • géographique : un projet de pont reliant le Maroc à l'Europe par le détroit de Gibraltar existait alors. De plus, le roi souligne la proximité du Maroc avec le continent européen8.
                            • géopolitique : le roi souligne l'importance géopolitique que constituerait l'adhésion du Maroc, lui donnant un « recul stratégique »10. Il qualifie ainsi le Maroc d'« arrière-pays » de l'Europe8.
                            • économique : le Maroc serait un point de transit des richesses minières et pétrolières de l'Afrique vers l'Europe11.
                            • et démocratique : le roi souligne la présence d'institutions politiques démocratiques au Maroc11.

                            ...

                            Commentaire


                            • #15
                              ...

                              Ces arguments sont à l'origine de la demande politique formulée au Conseil européen, et non pas au Conseil des Communautés européennes11.
                              Avis d'Azeddine Guessous[modifier | modifier le code]


                              Azzeddine Guessous, alors ministre du Commerce, de l’Industrie et du Tourisme du Maroc, considère que la demande formulée s'inscrit dans un projet à long terme (rappelant la durée des négociations ayant permis l'adhésion de certains États)12.

                              Par ailleurs, il souligne que le Maroc ne reniera pas son caractère africain et son appartenance à la Ligue arabe. Cependant, il convient de remarquer que cette demande d'adhésion fait suite au retrait du Maroc de l'Organisation de l'unité africaine (devenue depuis l'Union africaine) après l'adhésion de l’État non reconnu internationalement et revendiqué par le Maroc du Sahara occidental12.

                              Parmi les raisons justifiant la demande d'adhésion, le ministre rappelle que les Communautés constituent un marché de 360 millions d'habitants à fort pouvoir d'achat12.
                              Négociations[modifier | modifier le code]


                              Les négociations commencent le 16 décembre 198512. Le 1er octobre 198713, le Conseil européen rejette la candidature marocaine à l'Union européenne sur la base de l'article 49 du traité sur l'Union européenne14 qui dispose que l’État candidat doit être géographiquement « européen »3.
                              Conséquences[modifier | modifier le code]


                              ...

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X