lapatrienews
Rédaction
2024/05/01
Le président Tebboune, lors de son discours à la Maison du Peuple pour la journée internationale du travail, a catégoriquement exclu tout recours à l’endettement extérieur, affirmant agir « en fidélité au serment des Chouhada ».
Il a souligné les difficultés résultant de la mauvaise gestion antérieure, notamment pendant les années précédant l’insurrection contre le 5ème mandat de Bouteflika. « En 2019, on sortait d’une économie effondrée et d’une situation critique que vivait l’Algérie durant la dernière année d’une décennie mafieuse ». La valeur des importations atteignait 750 milliards d’euros, sans que le citoyen en bénéficie. Le président a déploré des files d’attente, à l’époque, dès l’aube pour acheter un sachet de lait, alors que l’argent public partait dans les comptes des membres de la bande. « Jusqu’à présent, les douanes enquêtent encore sur des sociétés écran » a-t-il affirmé, rappelant, dans la foulée, le blocage de 900 entreprises par la bureaucratie.
Le chef de l’Etat a invectivé les auteurs de discours trompeurs, dans lesquels l’on prétendait que la Trésorerie de l’Etat ne pouvait plus assurer le versement des salaires et que les réserves de change étaient à leur plus bas niveau. « La corruption, qui avait rongé tous les secteurs durant le règne de la Issaba, a mis sur la touche la classe moyenne et les couches sociales vulnérables » a-t-il rappelé.
Il a dénoncé des tentatives de démoralisation de la population et de soumission au FMI. Devant l’ampleur de la corruption, le président Tebboune a estimé que le Hirak a sauvé le pays.
S. Biskri
Rédaction
2024/05/01
Le président Tebboune, lors de son discours à la Maison du Peuple pour la journée internationale du travail, a catégoriquement exclu tout recours à l’endettement extérieur, affirmant agir « en fidélité au serment des Chouhada ».
Il a souligné les difficultés résultant de la mauvaise gestion antérieure, notamment pendant les années précédant l’insurrection contre le 5ème mandat de Bouteflika. « En 2019, on sortait d’une économie effondrée et d’une situation critique que vivait l’Algérie durant la dernière année d’une décennie mafieuse ». La valeur des importations atteignait 750 milliards d’euros, sans que le citoyen en bénéficie. Le président a déploré des files d’attente, à l’époque, dès l’aube pour acheter un sachet de lait, alors que l’argent public partait dans les comptes des membres de la bande. « Jusqu’à présent, les douanes enquêtent encore sur des sociétés écran » a-t-il affirmé, rappelant, dans la foulée, le blocage de 900 entreprises par la bureaucratie.
Le chef de l’Etat a invectivé les auteurs de discours trompeurs, dans lesquels l’on prétendait que la Trésorerie de l’Etat ne pouvait plus assurer le versement des salaires et que les réserves de change étaient à leur plus bas niveau. « La corruption, qui avait rongé tous les secteurs durant le règne de la Issaba, a mis sur la touche la classe moyenne et les couches sociales vulnérables » a-t-il rappelé.
Il a dénoncé des tentatives de démoralisation de la population et de soumission au FMI. Devant l’ampleur de la corruption, le président Tebboune a estimé que le Hirak a sauvé le pays.
S. Biskri
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