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Nouvelles formes de guerre Chanegriha met en garde
Le chef d’état-major de l’ANP intervenait lors d’un colloque sur «La défense nationale face à la guerre cognitive».
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Présidant hier, au Cercle national de l'armée, à Béni Messous, l'ouverture des travaux d'un colloque national intitulé «La défense nationale face à la guerre cognitive», le général d'armée Saïd Chanegriha, chef d'état-major de l'ANP, a, dans son allocution d'ouverture, mis en garde contre une nouvelle forme de guerre qui s'avère des plus dangereuses dans une conjoncture géopolitique régionale et internationale très tendue et surtout variable, d'où l'importance du thème qui va permettre de cerner la problématique qui a tendance à prendre des proportions intercontinentales. Le chef d'état-major soutient que «l'organisation de ce colloque national, intitulé La Défense nationale face à la guerre cognitive, intervient dans un contexte géopolitique régional et international, caractérisé par les mutations, la complexification des crises et l'enchevêtrement des menaces». Un contexte admet, le général de l'ANP qui «rend difficile toute lecture prospective de l'évolution de celles-ci». En témoin en sa qualité d'homme averti, Saïd Chanegriha estime que «ceci est d'autant plus vrai que les puissances actuelles et celles émergentes sont en compétition acharnée, pour étendre leur influence et imposer leur contrôle sur les ressources et les richesses des pays du Sud», ajoutant: «Sans tenir compte des éventuelles retombées sur la sécurité régionale et internationale et sur le droit des peuples en développement de vivre dans la sécurité, la paix et la dignité.»
Dans son intervention, le chef d'état-major ne manquera pas, dans ce contexte bouillonnant, de mettre l'accent sur la nécessité de conjuguer les efforts absolus pour confronter et lutter contre les desseins hostiles et remporter les enjeux de développement de notre pays. Il déclare: «Ce colloque national, qui traite une des formes de guerre les plus dangereuses pour la conscience des peuples et la stabilité des Etats a pour objectif de mettre la lumière et de prendre conscience de la gravité stratégique de ce qui pourrait se tramer contre notre pays», et ce, intervient-il dans sa communication, «par l'exploitation des technologies des guerres de 5e génération». Exemple, a-t-il encore soutenu, «en est les pratiques sournoises exercées ces derniers temps par des parties hostiles à l'Algérie, en raison de son attachement à ses positions constantes et à sa décision souveraine», ainsi a-t-il poursuivi que «de son soutien aux causes justes à travers le monde», faisant référence au Sahara occidental et à la Palestine dont les terres sont occupées par des colons qui sèment le mal. Le général de l'ANP a relevé que «dans la perspective de remporter les enjeux de développement, initiés par notre pays, sous la conduite du président de la République, chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale, il appartient à l'ensemble des acteurs nationaux, à savoir les institutions de l'Etat, la société civile, les élites et toutes les catégories de citoyens, de fédérer leurs efforts afin de renforcer la stabilité systémique de l'Etat et de lutter, efficacement, contre les éventuelles hostilités».
Ce colloque a vu la participation par des conférences de plusieurs professeurs et experts ayant abordé le concept de «la guerre cognitive et ses formes, les risques et les menaces générées par celle-ci, ainsi que les moyens d'y faire face»,à l'évidence suivant une perspective étudiée, notamment dans un contexte international marqué par une dissolution des frontières entre l'état de paix et de guerre. Ponctuées par un débat, ces conférences ont été une valeur ajoutée à ce colloque.
l'expression
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Présidant hier, au Cercle national de l'armée, à Béni Messous, l'ouverture des travaux d'un colloque national intitulé «La défense nationale face à la guerre cognitive», le général d'armée Saïd Chanegriha, chef d'état-major de l'ANP, a, dans son allocution d'ouverture, mis en garde contre une nouvelle forme de guerre qui s'avère des plus dangereuses dans une conjoncture géopolitique régionale et internationale très tendue et surtout variable, d'où l'importance du thème qui va permettre de cerner la problématique qui a tendance à prendre des proportions intercontinentales. Le chef d'état-major soutient que «l'organisation de ce colloque national, intitulé La Défense nationale face à la guerre cognitive, intervient dans un contexte géopolitique régional et international, caractérisé par les mutations, la complexification des crises et l'enchevêtrement des menaces». Un contexte admet, le général de l'ANP qui «rend difficile toute lecture prospective de l'évolution de celles-ci». En témoin en sa qualité d'homme averti, Saïd Chanegriha estime que «ceci est d'autant plus vrai que les puissances actuelles et celles émergentes sont en compétition acharnée, pour étendre leur influence et imposer leur contrôle sur les ressources et les richesses des pays du Sud», ajoutant: «Sans tenir compte des éventuelles retombées sur la sécurité régionale et internationale et sur le droit des peuples en développement de vivre dans la sécurité, la paix et la dignité.»
Dans son intervention, le chef d'état-major ne manquera pas, dans ce contexte bouillonnant, de mettre l'accent sur la nécessité de conjuguer les efforts absolus pour confronter et lutter contre les desseins hostiles et remporter les enjeux de développement de notre pays. Il déclare: «Ce colloque national, qui traite une des formes de guerre les plus dangereuses pour la conscience des peuples et la stabilité des Etats a pour objectif de mettre la lumière et de prendre conscience de la gravité stratégique de ce qui pourrait se tramer contre notre pays», et ce, intervient-il dans sa communication, «par l'exploitation des technologies des guerres de 5e génération». Exemple, a-t-il encore soutenu, «en est les pratiques sournoises exercées ces derniers temps par des parties hostiles à l'Algérie, en raison de son attachement à ses positions constantes et à sa décision souveraine», ainsi a-t-il poursuivi que «de son soutien aux causes justes à travers le monde», faisant référence au Sahara occidental et à la Palestine dont les terres sont occupées par des colons qui sèment le mal. Le général de l'ANP a relevé que «dans la perspective de remporter les enjeux de développement, initiés par notre pays, sous la conduite du président de la République, chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale, il appartient à l'ensemble des acteurs nationaux, à savoir les institutions de l'Etat, la société civile, les élites et toutes les catégories de citoyens, de fédérer leurs efforts afin de renforcer la stabilité systémique de l'Etat et de lutter, efficacement, contre les éventuelles hostilités».
Ce colloque a vu la participation par des conférences de plusieurs professeurs et experts ayant abordé le concept de «la guerre cognitive et ses formes, les risques et les menaces générées par celle-ci, ainsi que les moyens d'y faire face»,à l'évidence suivant une perspective étudiée, notamment dans un contexte international marqué par une dissolution des frontières entre l'état de paix et de guerre. Ponctuées par un débat, ces conférences ont été une valeur ajoutée à ce colloque.
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