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FFS : Youcef Aouchiche, candidat du parti à l’élection présidentielle

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  • FFS : Youcef Aouchiche, candidat du parti à l’élection présidentielle

    Le premier secrétaire national du FFS, Youcef Aouchiche est le candidat du parti pour l'élection présidentielle du 7 septembre prochain. La décision a été prise aujourd'hui à l'unanimité lors d'un congrès extraordinaire qui s'est tenu à la Mutuelle des matériaux de construction de Zeralda.




    Le premier secrétaire national du Front des Forces Socialistes (FFS), Youcef Aouchiche, seul candidat, a été plébiscité (il y avait seulement 2 voix contre et 2 abstentions) par les participants au congrès extraordinaire du parti qui s’est déroulé, aujourd’hui, vendredi 7 juin 2024, à la Mutuelle des matériaux de construction de Zeralda, à l’Ouest d’Alger, candidat du parti à l’élection présidentielle du 7 septembre prochain.

    Dans un discours prononcé après son plébiscite, Youcef Aouchiche, et après avoir remercié les présents pour, a-t-il dit, la confiance qui a été placée en lui, a affirmé que ces élections sont « une occasion pour marquer la différence, en portant un message d’espoir et une énergie positive ».
    « Nous porterons à cette occasion un projet présidentiel qui s’articule sur une vision claire, cohérente et participative alliant actions prioritaires et projections futuristes en prenant en considération nos réalités et nos différentes possibilités », a-t-il ajouté.

    Pour le premier secrétaire national du FFS, « renforcer le pays, l’immuniser et le développer est une grande ambition qui ne se réalise que grâce à un vrai changement ». Et ce dernier passe par des « institutions légitimes et démocratiques, une séparation des pouvoirs effective, un parlement renforcé et respecté, une justice et des médias indépendants, les corps intermédiaires au cœur du changement, une décentralisation effective et un développement économique harmonieux, en réhabilitant la valeur du travail et la liberté d’entreprendre ».
    « J’ai la ferme conviction que face aux multiples défis de notre pays et de notre monde, une action cohérente et un langage de vérité permettront de recréer de la confiance, de redresser notre pays et de le rassembler autour d’un projet commun pour le changement, la préservation du pays et le respect des libertés et des pluralismes », a-t-il encore déclaré.

    Avant lui, le président du bureau du congrès, Djamel Baloul, est revenu, devant les congressistes, sur les raisons ayant motivé la décision du FFS de participer à ce rendez-vous électoral. Tout en signalant que la « scène politique se caractérise par la fermeture et les allégeances », il a affirmé que le FFS a choisi « l’autonomie dans la prise de décision ».
    Participer à cette présidentielle, a-t-il dit, est une option choisie « après mûre réflexion » mais surtout « après avoir mis sur la table toutes les options possibles ».
    Baloul a rappelé, à cet effet, que « le contexte géopolitique international a poussé les militants du FFS à assumer une responsabilité historique ». Il est entre autres question des risques qui pèsent sur la « souveraineté nationale ». Il a cité dans ce sens la situation aux frontières algériennes.

    Au plan national, celui-ci a tenu à affirmer que « le FFS n’acceptera jamais la répression que subissent les algériens » et la « gestion autoritaire et sécuritaire des affaires du pays ».
    Le président du bureau du congrès a rappelé que « le parti a réaffirmé, à chaque rencontre avec le Président de la République, ses exigences relatives à l’ouverture des champs, politique et médiatique, et la suppression de l’article 87 bis ».

    « On n’a pas cessé de réclamer la libération des détenus d’opinion », a-t-il encore ajouté.

    Pour rappel, le FFS avait décidé, le 24 mai dernier, lors d’une session extraordinaire de son Conseil national, de prendre part à cette élection présidentielle.
    Initialement prévue au mois de décembre, ce rendez-vous électoral a été avancé au mois de septembre sur décision du Président de la République.


    inter-lignes . com

  • #2
    ca donnera plus de crédibilité à ces élections.
    J'espère que le RCD aussi aura son candidat.

    ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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    • #3

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      • #4
        Il est bien jeune et parle bien.
        Peut-on espérer qu'il fasse un bon score ?
        ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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        • #5
          La classe politique doit se préparer dès maintenant à l’après Tebboune... dans deux ou trois ans !

          En raison de son âge et son état de santé, il ne finira pas son deuxième mandat.

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          • #6
            Aucune chance de réaliser le moindre score notable. Quand on a pratiqué la politique de la chaise vide pendant près d'un quart de siècle, on ne doit pas s'attendre à des miracles à la veille d'une présidentielle pliée d'avance au profit de l'actuel raïs.
            Déjà que l'électorat du FFS est quasiment réduit à une peau de chagrin en dehors de la Kabylie, faute d'activité partisane soutenue, ce n'est pas à quelques encablures du scrutin que le parti et son candidat risquent de se refaire une beauté.
            Reste l'hypothèse, suggérée ci-dessus, de vouloir remettre pied à l'étrier pour rester dans la course. C'est tout le mal qu'on lui souhaite.

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            • #7
              Le seul parti respectable au temps de Dda Ait Ahmed ath yerhem Rebbi. ll aurait pu donner une autre image de ce pays intellectuellement et moralement ruiné par Boukharrouba et ses sbires

              Le FFS actuel est l'ombre de lui-même

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              • #8
                Le FFS actuel est l'ombre de lui-même
                Exact!
                D'ailleurs c'est le seul changement notable depuis la dernière présidentielle!... Décidément le FaFaSa aura raté ses rendez-vous avec l'Histoire jusuq'au bout!
                "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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                • #9
                  Reste l'hypothèse, suggérée ci-dessus, de vouloir remettre pied à l'étrier pour rester dans la course.
                  Ca va de soi que le but du FFS est de remobiliser la base qui s'est désengagée de la politique après de longues années de léthargie. En ligne de mire les prochaines élections législatives, que je suppose ouvertes. Ca doit être la promesse faite par le pouvoir pour que le FFS consent à participer à la présente élection présidentielle promise en toute logique à Tebboune.
                  La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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