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L'élection présidentielle 2024 en Algérie a été marquée par l'absence de débats présidentiels télévisés entre les candidats.
La mode des débats présidentiels ou législatifs s'est imposée dans de nombreux pays à travers le monde mais elle n'est toujours pas adoptée sérieusement en Algérie malgré un premier essai en 2019 alors qu'un débat présidentiel est une énorme opportunité pour les candidats pour séduire les électeurs en mettant en avant leur maîtrise des sujets qui intéressent le plus les électeurs, y compris l'économie, le pouvoir d'achat, la santé...etc.
L'absence de débats présidentiels en Algérie en 2024 contrairement à 2019 (voir vidéo 1) est un énième exemple qui montre à quel point l'Algérie est toujours à la traîne en matière d'innovation : l'Algérie est souvent parmi les derniers pays au monde à adopter sérieusement les nouvelles idées. Par exemple, l'Algérie a été littéralement le dernier pays au monde à abandonner l'essence au plomb tant les mafieux du cartel ANP/FLN sont trop occupés à magouiller et à dilapider l'argent public, et n'ont pas le temps d'adopter les nouvelles idées. D'ailleurs, dans l'Indice mondial de l'innovation 2023, l'Algérie est classée parmi les derniers au monde à la 119e place sur 132 pays.
Mais d'un autre côté, on peut comprendre pourquoi le mafieux Tebboune s'opposerait aux débats présidentiels en 2024 dans la mesure où non seulement cela permettrait à ses concurrents d'augmenter leur visibilité auprès des électeurs, mais en plus, le vieux gaffeur-en-chef Tebboune serait terrifié du risque de se ridiculiser en direct à la télé en débitant des gaffes comme par exemple le fait de dire que la Palestine n'est pas l'affaire des Palestiniens mais l'affaire des Algériens ou encore de dire que l'économie algérienne est la 3e économie au monde (voir vidéo 2).
A l'évidence, le mafieux Tebboune considère que du moment qu'il est déjà président, il n'a pas à se rabaisser et à accepter de débattre avec de simples petits candidats qui ne sont même pas des présidents de la république!
La mode des débats présidentiels ou législatifs s'est imposée dans de nombreux pays à travers le monde mais elle n'est toujours pas adoptée sérieusement en Algérie malgré un premier essai en 2019 alors qu'un débat présidentiel est une énorme opportunité pour les candidats pour séduire les électeurs en mettant en avant leur maîtrise des sujets qui intéressent le plus les électeurs, y compris l'économie, le pouvoir d'achat, la santé...etc.
L'absence de débats présidentiels en Algérie en 2024 contrairement à 2019 (voir vidéo 1) est un énième exemple qui montre à quel point l'Algérie est toujours à la traîne en matière d'innovation : l'Algérie est souvent parmi les derniers pays au monde à adopter sérieusement les nouvelles idées. Par exemple, l'Algérie a été littéralement le dernier pays au monde à abandonner l'essence au plomb tant les mafieux du cartel ANP/FLN sont trop occupés à magouiller et à dilapider l'argent public, et n'ont pas le temps d'adopter les nouvelles idées. D'ailleurs, dans l'Indice mondial de l'innovation 2023, l'Algérie est classée parmi les derniers au monde à la 119e place sur 132 pays.
Mais d'un autre côté, on peut comprendre pourquoi le mafieux Tebboune s'opposerait aux débats présidentiels en 2024 dans la mesure où non seulement cela permettrait à ses concurrents d'augmenter leur visibilité auprès des électeurs, mais en plus, le vieux gaffeur-en-chef Tebboune serait terrifié du risque de se ridiculiser en direct à la télé en débitant des gaffes comme par exemple le fait de dire que la Palestine n'est pas l'affaire des Palestiniens mais l'affaire des Algériens ou encore de dire que l'économie algérienne est la 3e économie au monde (voir vidéo 2).
A l'évidence, le mafieux Tebboune considère que du moment qu'il est déjà président, il n'a pas à se rabaisser et à accepter de débattre avec de simples petits candidats qui ne sont même pas des présidents de la république!
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