Avec les cas de Messieurs Sansal et Daoud- entre autres- je me désole que certains écrivaillons algériens puissent vendre leurs âmes au diable pour des euros et la célébrité.
En tant qu'Algérien.ne.s, nous nous devons le respect éternel de tous ceux qui se sont sacrifiés afin que nous ayons un pays et surtout une identité alors que nous n'étions même pas recensé.e.s
du temps de la colonisation.
Donc, la génération de Sansal et Daoud- deux privilégiés- ont tort indéniablement de procéder à un réquisitoire à l'encontre de leur pays par goût du lucre et n'atteindront jamais le respect international d'un Mohamed Harbi.
En tant qu'Algérien.ne.s, nous nous devons le respect éternel de tous ceux qui se sont sacrifiés afin que nous ayons un pays et surtout une identité alors que nous n'étions même pas recensé.e.s
du temps de la colonisation.
Donc, la génération de Sansal et Daoud- deux privilégiés- ont tort indéniablement de procéder à un réquisitoire à l'encontre de leur pays par goût du lucre et n'atteindront jamais le respect international d'un Mohamed Harbi.
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