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Wilaya de Saïda : Production record d'oignons

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  • Wilaya de Saïda : Production record d'oignons

    شاهد فلاح جزائري واحد أنتج من البصل مايكفي دولة لمدة سنة بولاية سعيدة




    Dernière modification par sako, 14 décembre 2024, 21h59.

  • #2
    ..............
    Dernière modification par sako, 19 décembre 2024, 16h54.

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    • #3
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      • #4
        Les Ayachas vont accuser encore les photos générés par l'AI de cette splendide production record.

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        • #5
          Les Ayachas vont accuser encore les photos générés par l'AI de cette splendide production record.
          Une splendide production tellement record qu'elle ne trouve pas d'acheteurs !

          Une bonne partie de cette splendide production record sera perdue parce que l'oignon est très fragile et faute de moyens de stockage suffisants.

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          • #6
            Hakim casaoui occupe toi de tes oignons.
            J'aime surfer sur la vague du chaos.

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            • #7
              Une splendide production tellement record qu'elle ne trouve pas d'acheteurs !

              hakimcasa

              Qui t'a dit qu'elle ne trouvera pas d'acheteurs?

              Je suis de l'Ouest et on achète les pommes de terre d'El Oued, les pastèques de Menaia, les tomates d'Adrar.

              Je ne pense pas qu'il y a un problème de logistique en Algérie. Au pire, les agriculteurs peuvent les mettre à l'OFLA.

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              • #8
                Qui t'a dit qu'elle ne trouvera pas d'acheteurs?
                Je m'informe, tout bêtement.




                Algérie : des agriculteurs dépassés par la surabondance de la récolte d’oignons

                « Encore un mois et la récolte est perdue » se désolent des producteurs d'oignons en Algérie.

                Leur récolte est en effet stockée en plein air sous forme de longs andains recouverts d’une simple bâche en plastique. Et aucun acheteur en vue.

                « Retirer la bâche le matin, la remettre le soir. Retirer, la remettre… ». Vêtu d’une kachabia et d’un turban pour se protéger du froid, cet agriculteur de Tiaret tente de sauver sa récolte d’oignons. Il n’en peut plus.

                .../...

                Sur les réseaux sociaux, il s’interroge : « où sont les gens qui pourraient consommer ces oignons » et indique y penser jour et nuit : « je me réveille en pleine nuit pour aller accueillir un camion venu acheter sa récolte et je me rends compte soudain que je rêvais ».

                En milieu de journée, les andains resplendissent sous les rayons du soleil. L’agriculteur s’est hissé sur un andain et s’adressant à des acheteurs potentiels lance : « venez, venez acheter des oignons ».


                « Il y a là 30.000 quintaux d’oignons »

                Mêmes scènes à Saïda, des dizaines d’andains à perte de vue alignés en bordure de champs.

                Des agriculteurs parcourent les allées entre les tas d’oignons. Bien qu’ils soient de belle taille et bien secs sans traces de redémarrage de végétation, l’inquiétude est palpable : « il y a là 30 000 quintaux d’oignons » explique un membre de la famille Hadjadj.

                Il ajoute : « dans une quinzaine de jours, voire un mois, on risque de tout perdre. Et dans ce cas-là, les agriculteurs qui se trouvent dans la même situation ne recommencerons pas à en cultiver l’année prochaine ».

                Au rez-de-chaussée d’une maison transformée en lieu de stockage, il témoigne devant des tas d’oignons : « regardez la situation ! ».

                Sur les tas d’oignons baignés par la lumière qui entre par les ouvertures prévues pour des fenêtres, la couleur verte des feuilles d’oignon est partout présente.

                Les bulbes sont impropres à la vente. La reprise de végétation vide les bulbes de leur substance et fait baisser leur poids. Aucune ménagère ne voudrait de tels oignons.

                Un voisin brandit plusieurs oignons également munis de feuilles et lance : « Trouvez-nous une solution. Il n’y a pas de vente. On ne trouve pas d’acheteurs ».

                Un agriculteur pointe le doigt à l’horizon et explique : « Partout autour de nous, la situation est identique, des récoltes en attente d’acheteurs ».

                « On aimerait la venue d’un responsable qui a l’amour du pays chevillé au corps » lance un autre producteur.


                TSA / 19 décembre 2024

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                • #9
                  Ce sont nos oignons
                  بلادي وإن جارت على عزيزة .. وأهلي وإن ضنوا على كرام

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                  • #10
                    Ce sont nos oignons
                    Ce sont vos oignons, c'est vrai. Et je ne me serais jamais mêlé de vos oignons si votre compatriote, issabrahimi, n'avait pas mêlé les marocains (qu'il surnomme "ayachas") du sujet:

                    Les Ayachas vont accuser encore les photos générés par l'AI de cette splendide production record.

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                    • #11
                      Ainsi, ils pourront s'occuper de leurs oignons et non ceux des autres!

                      Ceci dit, la Croatie possède de succulents oignons qui accompagnent ses divins méchouis d'agneaux, de porcelets, etc.

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                      • #12
                        La production agricole est mal gérée en Algérie. Ainsi, une année sur deux, on a un problème d'approvsionnement sur certains produits comme les oignons. Un an, elle est bradée à 20 DA le Kilo et l'autre année elle fait jusqu'à 120 DA le kilo. Ces pauvres paysans contraints de brader leurs oignons sur une année à cause de l'abondance, change de cap la deuxième année pour produire autre chose et ça crée de la pénurie sur le produit. Un cercle vicieux.
                        Il faudrait doter ces paysans de chambres frigorifiques à défaut d'avoir un plan de production nationale et des objectifs d'exportation du surplus.
                        La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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                        • #13
                          hakimcasa

                          Je n'ai pas dit que tu es un Ayache. J'ai écrit mon commentaire, car les Ayachas ont attribué dans le passé une vidéo qui montre une grande production de céréales dans les wilayas du Sud à l'intelligence artificielle.

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