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Tebboune : « L’Algérie ne peut être dévorée par un hashtag »
Étrangement , le lancement du "hashtag Hammouchi" coïncide avec les événements en Syrie et la fuite de Bechar...
Dans les chaumières marocaines, on a si prié et on le fait encore pour que l'Algérie suive le chemin de la Syrie. Ca leur ferait tant plaisir.
Ce matin encore, j'ai lu un article sur Tel Quel oû un makhzni fantasmait sur la chute de l'Algérie.
Dernière modification par Bachi, 25 décembre 2024, 19h06.
ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément
un exemple des incantations marocaines. y en a de ces incantations, 2 ou 3 à chaque jour
L’Algérie Face au Chaos : 2025, l’Année de tous les Dangers !
le7tvSend an emailil y a 3 heures
184 2 minutes de lectureFacebookTwitterLinkedinTumblrPinterestRedditVKontakteOdnoklassnikiPocketL’Algérie glisse à grands pas vers un abîme économique et social sans précédent. Selon les experts, l’année 2025 s’annonce comme celle de tous les dangers pour un régime agonisant, tenu à bout de bras par une junte militaire corrompue et déconnectée des réalités du peuple. Les « Généraux » hérités de l’époque Soviétique, séniles et englués dans des luttes intestines pour la préservation de leurs privilèges, mènent l’Algérie vers une implosion totale.
Une économie en ruine
Les signaux sont au rouge : la rente pétrolière et gazière s’effondre tandis que l’inflation et le chômage explosent. L’économie algérienne qui repose sur des bases aussi fragiles qu’obsolètes est paralysée par une corruption endémique et une mauvaise gestion systémique. Pendant que les « Généraux de pacotille » remplissent leurs comptes bancaires à l’étranger, le peuple algérien s’appauvrit, contraint à survivre dans un pays où les prix des denrées de première nécessité atteignent des sommets inaccessibles, quand ils ne sont pas, tout simplement, introuvables.
Les jeunes algériens, sans perspectives d’avenir, ne voient plus d’autre issue que de braver la mer au péril de leur vie pour fuir ce pays en décomposition. Les grands projets Étatiques sont à l’arrêt, les unités industrielles des « années 70 » sont sinistrées et le mécanisme de « la Paix Sociale », longtemps entretenu à coup de pétrodollars, a atteint ses limites, laissant les plus vulnérables, livrés à eux-mêmes. La mainmise étouffante de la junte militaire
Dans les couloirs sombres du pouvoir, les vieux « Généraux » s’accrochent comme des parasites à un régime militaire qui étouffe toute tentative de changement. L’état militaire est devenu une machine répressive, broyant toute voix dissonante. La liberté d’expression est muselée, les opposants sont traqués, et les journalistes sont emprisonnés pour avoir osé dénoncer les crimes du régime.
Ces « Généraux » dépassés et déconnectés refusent de céder leur place, préférant plonger tout le pays dans le chaos plutôt que de permettre l’émergence d’une nouvelle génération de dirigeants capables de sauver l’Algérie. Leur peur d’une révolte populaire n’a d’égale que leur soif insatiable de pouvoir. 2025 : Le point de rupture
La coupe est pleine. Le peuple algérien n’est plus dupe. Les manifestations sporadiques de 2024, pour cause de graves pénuries alimentaires à répétition, préfigurent une année 2025 qui pourrait s’inscrire dans l’histoire comme l’étincelle qui mettra fin au règne de la junte militaire. Le hashtag #ManichRadi (Je ne suis pas satisfait) résonne déjà sur les réseaux sociaux comme un cri de ralliement pour une nouvelle révolution, celle qui balaiera les vieux « Généraux » et restituera l’Algérie à son peuple.
Les jeunes, élément moteur du Hirak, sont prêts à reprendre la rue, à exiger la fin d’un système qui les condamne à l’exil ou à la misère. L’année 2025 pourrait marquer la chute du dernier bastion de la vieille garde militaire, ouvrant la voie à une Algérie libre et démocratique. Appel à l’insurrection pacifique
L’heure n’est plus à l’attentisme. Il est temps pour chaque Algérien, chaque patriote, de se lever contre cette junte criminelle qui préfère voir l’Algérie s’embraser, de feu et de sang, plutôt que de perdre ses prérogatives. La révolution pacifique est la seule voie pour récupérer un pays pris en otage par une caste de « Généraux » corrompus et séniles.
#ManichRadi n’est pas qu’un simple slogan, c’est un appel à l’action, à la mobilisation nationale pour reconstruire une Algérie nouvelle, libérée de l’oppression militaire. L’année 2025 s’annonce comme celle de l’espoir, de la lutte et du renouveau. Algériens, l’avenir est entre vos mains.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv
ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément
En tant qu'opposant à la junte algérienne, j'en suis à me demander si ma position ne devrait se rectifier en lisant les impérities des voisins de l'Ouest si en querelles avec le Maghreb.
- On pourrait citer d’autres philosophes, d’autres poètes. Mais la «liberté de pensée» est celle de notre conscience. C’est la base d’une société où l’individu compte, où la démocratie a été instaurée.
Or, au Maroc, l’individu n’est pas reconnu. Cette entité, unique et singulière, n’est pas reconnue par la constitution. De ce fait, toute démocratie, réelle et pas formelle, est impossible.
Certes, on pense qu’on est démocrate quand on vote. Oui, mais la démocratie n’est pas une technique, c’est plus que cela, c’est une valeur qui consacre la liberté de chaque individu, qui doit agir en son âme et conscience. Le vote est certes une expression de cette liberté, mais il n’est pas le seul. Pour instaurer la démocratie, il faut une pédagogie dès l’école primaire. Il faut donner à l’enfant le désir et l’amour de cette valeur. Cela, notre système éducatif ne le fait pas.
On suivant la propagande mensongère de la junte et de ses soutiens cachiriste, on ne peut que conclure que les algériens sont incapable de demander leur droits. Ils sont des soumis sans conditiontion à leur régime. Chaque fois qu'ils bougent la junte leur sors les méchants sioniste et makhsen. Même les pauvres étudiants en medecine étaient obligés d'arrêter leur manifestion une fois que la junte militaire et ses sbires de médias ont sortis le boton des sionistes et du makhsen.
en regardant de prés la réaction des algériens sur les RS et même ici sur FA, on comprendera facilement pourquoi le régime algérien à chaque fois que des algériens lui demande des comptes il sorte la carte du Maroc. Ce régime mafieux et irrésponsable a bien compris que la marocophbie qu'il a inculqué aux algériens était une réussite total. Cette championne, semeuse de la fitna est de la haine entre les peuples de la région devient ainsi par ses pleurnicheries et sa propagande mensongère une victime.
Sinon pourqoui donc la junte militaire a arrêté ces jeunes qui ont participé à ce hashtag?
Manish Radhi'(je ne suis pas d’accord) fait paniquer le régime
Le hashtag #مانيش_راضي (« Manich Radhi » ou « Je ne suis pas d’accord » en français) a provoqué une vague d’arrestations au sein des activistes. Il suscite aussi la panique et la polémique en Algérie.
Un simple hashtag fait vaciller tous les étages d’un système qui a assis son autorité sur la peur, la répression et la manipulation des sentiments nationaux. #مانيش_راضي, utilisé de façon virale sur les réseaux sociaux, est vite devenue un slogan de dissidence, le signe de ralliement de nombreux Algériens qui ont à cœur d’exprimer leur désapprobation à l’encontre des autorités algériennes. Tout passe à travers ce mot-clé : la critique de la gestion politique et économique, la dénonciation des restrictions des libertés individuelles et des aspirations démocratiques et la protestation contre la corruption. C’est donc une fin d’année sous le signe de la répression qui se dessine encore une fois.
Ce mot d’ordre, #مانيش_راضي ne tardera pas à susciter la réaction hostile d’autres Algériens, chatouillés dans leur orgueil patriotique. Ils ont lancé un autre hashtag intitulé « Je suis avec mon pays », en réponse à ce qu’ils considèrent comme une campagne visant à semer la discorde en Algérie.
Cela a incité des personnalités politiques, des journalistes et des pages Facebook individuelles ou de groupe y compris la page officielle de la radio nationale et d’autres médias à lancer une offensive contre ce qui est qualifié d’opération de déstabilisation. Tout le monde aura compris que cette réponse vient des laboratoires du régime, inquiet de voir cette campagne en ligne se propager.
Même Abdelmadjid Tebboune y est allé de son refrain. « Nous protégerons ce pays dont le peuple a le sang des martyrs qui coule dans les veines, donc personne ne devrait penser que l’Algérie peut être la proie d’un hashtag. Nous sommes le seul pays où l’État est au service du peuple et non le contraire », lance-t-il, dans son discours prononcé lors de la rencontre du gouvernement- walis au club des pins d’Alger. Qui va croire une ineptie pareille ?
Derrière cette réaction concertée, se profile la volonté du pouvoir politique de susciter une adhésion populaire à son profit en jouant sur la fibre patriotique des citoyens. D’autant plus qu’on soupçonne l’existence d’une action de trolls marocains (l’éternel ennemi, à croire que les Algériens ne sont pas capables de prendre leur destin à eux seuls). Une intrusion hostile visant à semer la discorde en Algérie, dans le prolongement du conflit en cours entre les deux pays.
Tour de vis répressif et sécuritaire
La reprise massive du hashtag # Manich Radhi ou « Je ne suis pas d’accord » a provoqué un raidissement sécuritaire. En manque de vraies solutions politiques et incapable de trouver d’autres réponses, le régime lance une campagne d’arrestations.
Les organisations de défense des droits de l’homme ont documenté une série d’interpellations et poursuites judiciaires contre les activistes qui expriment un point de vue critique sur la situation, notamment ceux qui ont adopté le hashtag #Manich Radi sur les réseaux sociaux.
Parmi les personnes dont l’arrestation a suscité la controverse figure le militant politique et journaliste Abdel Ouakil Blam, qui a été libéré dimanche soir après avoir été interrogé pendant des heures.
Tout cela a coïncidé avec la convocation de l’opposant politique Karim Tabbou devant le juge d’instruction.
Le collectif de défense de l’homme politique a indiqué, dans un communiqué, que cette convocation est venue pour rappeler à Karim Tabbou les obligations de contrôle judiciaire qui lui sont imposées, l’empêchant notamment de publier sur les réseaux sociaux.
Les avocats de Karim Tabbou ont déclaré que cette obligation a été imposée de manière arbitraire et illégale, car elle n’est pas stipulée dans le Code de procédure pénale, notamment dans son article 125 bis. La défense de l’homme politique a indiqué que ce dernier qui publiait chaque lundi des articles politiques hebdomadaires sur sa page officielle, avait été privé de son droit d’exprimer ses opinions politiques.
La Collectif de défense a souligné que ces mesures constituent une violation flagrante des droits et libertés de Karim Tabbou garantis par la Constitution, estimant que l’absence de mécanismes juridiques de protection contre de telles décisions arbitraires accroît la gravité de la violation.
Commentant les récents développements, Mohcine Belabbas, ancien président du Rassemblement pour la culture et la démocratie, a déclaré que l’Algérie est aujourd’hui témoin d’une douloureuse réalité qui consiste à emprisonner des hommes et des femmes non pas pour avoir commis des actes punis par la loi, mais pour avoir exprimé leurs idées.
Il a expliqué que leur seul « crime » était leur refus de garder le silence face à l’injustice, soulignant que des journalistes, des militants et même des citoyens ordinaires étaient punis parce qu’ils posaient des questions, dénonçaient la corruption ou exigeaient du changement. Il a ajouté que faire taire ces voix révèle un système qui pratique des abus qui vont au-delà des individus pour affecter l’ensemble de la société.
Belabbas a confirmé, sur son réseau social Facebook que le pays a connu un retour inquiétant des arrestations après une période de calme relatif, car elles ciblent désormais toutes les voix considérées comme critiques ou dissidentes. Il a souligné que cette campagne répressive frappe non seulement les gens, mais frappe également en son sein l’idée du pluralisme et de la liberté d’expression, ce qui représente un dangereux retour en arrière qui menace l’ambition de justice et de dignité de la société.
L’opposant a ajouté : « Accepter ces arrestations , c’est accepter que la liberté d’expression devienne un privilège et non un droit, ce qui est contraire à l’histoire de l’Algérie, construite sur la lutte pour la justice et la dignité ». Il a affirmé que l’Algérie ne peut pas trahir cet héritage en emprisonnant des idées censées enrichir le dialogue national, et non en remplissant les prisons.
Mohcine Belabbas a conclu sa déclaration en soulignant que les prisonniers d’opinion ne sont pas de simples symboles, mais plutôt un miroir qui reflète le silence de la société tout entière. Il a expliqué que leur lutte est la lutte de toute une nation, avertissant que l’indifférence à l’égard de leur cause signifie laisser s’éteindre progressivement l’espoir de construire une société libre et juste.
Ce débat public intervient au moment où des voix politiques tant du côté du pouvoir que de l’opposition, appellent à un dialogue national inclusif. Une donné que le régime de la diarchie Tebboune-Chanegriha n’a nullement intégré dans son logiciel politique.
C’est assez cocasse quand cela vient d’un chef d’etat qui lui même a inauguré le chapitre des youtubeurs dans la vie politique Algérienne
Lui qui décerne des médailles à des bouffons du web (Bounif et il porte bien son pseudo) ,
Lui qui place dans ses bagages diplomatiques des influenceurs des réseaux sociaux de tout et de rien a l’exemple d’un vétérinaire qui est adoubé comme le réviseur de l’histoire marocaine à la sauce des militarofnlistes,.
Sans parler des médias publiques qui vont chercher tous les influenceurs du web pour alimenter la gloire de L'ALGÉRIE NOUVELLE.
C’elui qui dévore le hashtag
c'est bien lui
et
il a affaire juste à un retour de Boomerang qui malheureusement pour lui provient de ceux qui ne sont pas Tombés dans le cirque de l’Algérie nouvelle du Tandem Tebboune-Chengriha
Dernière modification par manneke, 27 décembre 2024, 14h05.
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