Lors de sa réunion avec des chefs d’entreprise CIC, aujourd’hui à Alger, le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a fait une déclaration choc concernant le prix des dattes algériennes à l’exportation.
Alors que le kilogramme de dattes est vendu entre 500 et 800 DA sur le marché national, il a révélé que ces mêmes dattes sont exportées pour seulement 40 DA le kilo. Ce constat a suscité une onde de choc parmi les participants et au-delà.

Tebboune a exprimé son indignation face à cette situation, qualifiant cette pratique de « crime contre l’Algérie ». Il a souligné que la datte Deglet Nour, reconnue internationalement pour sa qualité exceptionnelle, ne devrait pas être bradée à l’étranger alors qu’elle se vend à un prix bien plus élevé sur le marché local. « Exporter des dattes algériennes à 40 dinars algériens le kilogramme est un crime contre le peuple algérien, contre le consommateur algérien », a-t-il déclaré avec fermeté.
Le président a également mis en lumière les insuffisances du gouvernement et la bureaucratie qui entravent le développement économique du pays. Il a dénoncé certaines pratiques nuisibles de la part des opérateurs. « Nous avons dit que l’exportation doit se faire après la satisfaction du marché national », a-t-il ajouté, appelant à une réévaluation des priorités économiques.
Les propos du président Tebboune mettent en lumière une problématique cruciale pour l’économie algérienne : la nécessité de protéger les intérêts du marché national tout en développant une stratégie d’exportation équilibrée.
fildalgerie.dz/
Alors que le kilogramme de dattes est vendu entre 500 et 800 DA sur le marché national, il a révélé que ces mêmes dattes sont exportées pour seulement 40 DA le kilo. Ce constat a suscité une onde de choc parmi les participants et au-delà.

Tebboune a exprimé son indignation face à cette situation, qualifiant cette pratique de « crime contre l’Algérie ». Il a souligné que la datte Deglet Nour, reconnue internationalement pour sa qualité exceptionnelle, ne devrait pas être bradée à l’étranger alors qu’elle se vend à un prix bien plus élevé sur le marché local. « Exporter des dattes algériennes à 40 dinars algériens le kilogramme est un crime contre le peuple algérien, contre le consommateur algérien », a-t-il déclaré avec fermeté.
Le président a également mis en lumière les insuffisances du gouvernement et la bureaucratie qui entravent le développement économique du pays. Il a dénoncé certaines pratiques nuisibles de la part des opérateurs. « Nous avons dit que l’exportation doit se faire après la satisfaction du marché national », a-t-il ajouté, appelant à une réévaluation des priorités économiques.
Les propos du président Tebboune mettent en lumière une problématique cruciale pour l’économie algérienne : la nécessité de protéger les intérêts du marché national tout en développant une stratégie d’exportation équilibrée.
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