Les villas sont occupées par 16 anciens membres de l’Assemblée Populaire Nationale et du Conseil de la Nation et leurs familles.
Les villas sont occupées par 16 anciens membres de l’Assemblée Populaire Nationale et du Conseil de la Nation et leurs familles. Echorouk apprend de sources fiables que le Directeur Général de la Résidence d’état, Hamid Melzi, a adressé des mises en demeure à 37 anciens cadres supérieurs de l’état, dont des responsables à la retraite établis à la résidence Sahel depuis plusieurs années, pour qu’ils évacuent les logements de fonction qu’ils occupent bien qu’ils n’aient à présent aucun poste qui leur en octroie le privilège.
La Résidence d’état Sahel a accordé à ces personnes un délai de deux mois, soit jusqu’au 31 août prochain, pour déménager leurs familles et restituer ces logements de fonction pour que puissent en bénéficier d’autres cadres supérieurs employés actuellement dans différentes institutions de l’état.
D’après nos sources, les villas en question sont occupées par 16 anciens membres de l’Assemblée Populaire Nationale et du Conseil de la Nation et leurs familles. Certains d’entre eux ont occupé les postes de conseillers généraux et conseillers principaux dans des institutions gouvernementales, ou encore de directeurs centraux notamment dans des ministères et différents organismes.
Ce rappel à l’ordre a suscité la colère parmi les résidents concernés ainsi que les familles de certains responsables qui logent encore à la résidence d’état depuis des années et qui n’ont jamais été invitées à évacuer les lieux.
D’autres sources révèlent que ce n’est pas la première fois que le Directeur Général de la Résidence d’état demande aux cadres de l’état dont la mission s’est achevée, d’évacuer les logements de fonction de la résidence Sahel, mais certains ignorent à chaque reprise ces préavis et refusent de quitter les lieux. D’autres ont recours à des interventions à un plus haut niveau afin que leur séjour se prolonge le plus longtemps possible.
Les résidents sur ce territoire vivent aux frais de l’état, ils ne payent ni l’eau, ni l’électricité, ni la location. Ils sont dispensés de toute charge ajouté au fait que les logements qu’ils occupent sont luxueusement meublés et équipés.
El Chourouk
Les villas sont occupées par 16 anciens membres de l’Assemblée Populaire Nationale et du Conseil de la Nation et leurs familles. Echorouk apprend de sources fiables que le Directeur Général de la Résidence d’état, Hamid Melzi, a adressé des mises en demeure à 37 anciens cadres supérieurs de l’état, dont des responsables à la retraite établis à la résidence Sahel depuis plusieurs années, pour qu’ils évacuent les logements de fonction qu’ils occupent bien qu’ils n’aient à présent aucun poste qui leur en octroie le privilège.
La Résidence d’état Sahel a accordé à ces personnes un délai de deux mois, soit jusqu’au 31 août prochain, pour déménager leurs familles et restituer ces logements de fonction pour que puissent en bénéficier d’autres cadres supérieurs employés actuellement dans différentes institutions de l’état.
D’après nos sources, les villas en question sont occupées par 16 anciens membres de l’Assemblée Populaire Nationale et du Conseil de la Nation et leurs familles. Certains d’entre eux ont occupé les postes de conseillers généraux et conseillers principaux dans des institutions gouvernementales, ou encore de directeurs centraux notamment dans des ministères et différents organismes.
Ce rappel à l’ordre a suscité la colère parmi les résidents concernés ainsi que les familles de certains responsables qui logent encore à la résidence d’état depuis des années et qui n’ont jamais été invitées à évacuer les lieux.
D’autres sources révèlent que ce n’est pas la première fois que le Directeur Général de la Résidence d’état demande aux cadres de l’état dont la mission s’est achevée, d’évacuer les logements de fonction de la résidence Sahel, mais certains ignorent à chaque reprise ces préavis et refusent de quitter les lieux. D’autres ont recours à des interventions à un plus haut niveau afin que leur séjour se prolonge le plus longtemps possible.
Les résidents sur ce territoire vivent aux frais de l’état, ils ne payent ni l’eau, ni l’électricité, ni la location. Ils sont dispensés de toute charge ajouté au fait que les logements qu’ils occupent sont luxueusement meublés et équipés.
El Chourouk
Commentaire