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Méthodiquement menée par une patrouille de l’ANP, cette action aura permis l’élimination de deux terroristes dont un émir de serriate de l’ex-GSPC, et ce, à la veille de ce week-end, au chef-lieu de la commune de Benchoud relevant de la circonscription de Dellys, 50 km à l’est de Boumerdès.
Les deux sanguinaires abattus ont été identifiés le lendemain. Il s’agit de Seghir Mourad, alias Abu Ishak, âgé de 40 ans environ et originaire du village précité. Son acolyte âgé de 25 ans, selon une source répond au nom de Bendahmane Mohamed.
Selon des sources concordantes, l’élimination de ces deux éléments de l’ex-GSPC affiliés à katibet El Ansar, est intervenue sur renseignements précis. Repérés dans un champ, près du lieudit Ben Harchan, les deux terroristes, ont été éliminés dans la soirée de mercredi dernier, peu avant la prière du “Maghreb”.De fortes détonations y ont été entendues, ce soir-là, durant plus d’un quart d’heure.
Pour les riverains, il s’agissait là, “ d’une embuscade militaire qui s’est finalement soldée par la mise hors d’état de nuire des deux terroristes sus-mentionnés.” Deux kalachnikovs et une somme d’argent aussi, selon certaines informations, ont été récupérés au terme de cette intervention militaire.
Les mêmes sources s’appesantissent sur l’itinéraire sanglant du chef terroriste Séghir Mourad, rappelant que ce sinistre individu n’a point cessé d’endeuiller cette contrée depuis 1994. Alias Abou Ishak, ayant fait partie des groupuscules du GIA, puis élément notoire de l’organisation terroriste du GSPC de Hassan Hatab, est réputé pour son palmarès sanglant.
A côté de celles d’autres acolytes, son ombre se profilait derrière les attaques meurtrières qui ciblaient les convois de l’ANP, dans les maquis avoisinants de Dellys et Mizrane. En septembre 2005, il fut clairement identifié comme chef du commando terroriste ayant attenté à la vie du chef de brigade de gendarmerie à Benchoud. On lui impute aussi moult kidnapping de villageois avec rançons, en plus des opérations de racket dans les hameaux voisins. Une source proche des services locaux de sécurité le désigne comme responsable de la collecte de la dîme ( djizia) dans ladite contrée.
Bendahmane Mohamed, l’autre sanguinaires qui ne sévira plus avait pris le maquis en compagnie d’autres jeunes presque tous éliminés, il y’a plus de deux ans. Il agissait lui aussi pour le compte de la phalange terroriste d’El Ansar dont l’action sanguinaire s’étend particulièrement de Cap-Djinet à la limite de Béjaïa via Tigzirt.
L’important coup de filet de ce week-end s’ajoute à la neutralisation de deux terroristes, il y a cinq jours, à mi-chemin entre Boudouaou et Kharrouba, au sud-ouest de Boumerdès. Les forces locales de sécurité demeurant enfin, sur le pied de guerre dans les zones sensibles de cette wilaya.
Bombe à Ammal
Avant-hier jeudi vers 9h, un attentat à l’explosif a ciblé un taxi de passage sur un chemin de montagne jouxtant la localité de Ammal. Parmi les occupants du véhicule en question, deux militaires ont été blessés dont l’un grièvement, a-t-on indiqué. Le chauffeur du taxi venait de quitter une caserne située au douar voisin de Bouidel, lorsqu’il fut surpris par le souffle de l’engin meurtrier actionné à distance par les terroristes.
Par La Dépêche de Kabylie
Les deux sanguinaires abattus ont été identifiés le lendemain. Il s’agit de Seghir Mourad, alias Abu Ishak, âgé de 40 ans environ et originaire du village précité. Son acolyte âgé de 25 ans, selon une source répond au nom de Bendahmane Mohamed.
Selon des sources concordantes, l’élimination de ces deux éléments de l’ex-GSPC affiliés à katibet El Ansar, est intervenue sur renseignements précis. Repérés dans un champ, près du lieudit Ben Harchan, les deux terroristes, ont été éliminés dans la soirée de mercredi dernier, peu avant la prière du “Maghreb”.De fortes détonations y ont été entendues, ce soir-là, durant plus d’un quart d’heure.
Pour les riverains, il s’agissait là, “ d’une embuscade militaire qui s’est finalement soldée par la mise hors d’état de nuire des deux terroristes sus-mentionnés.” Deux kalachnikovs et une somme d’argent aussi, selon certaines informations, ont été récupérés au terme de cette intervention militaire.
Les mêmes sources s’appesantissent sur l’itinéraire sanglant du chef terroriste Séghir Mourad, rappelant que ce sinistre individu n’a point cessé d’endeuiller cette contrée depuis 1994. Alias Abou Ishak, ayant fait partie des groupuscules du GIA, puis élément notoire de l’organisation terroriste du GSPC de Hassan Hatab, est réputé pour son palmarès sanglant.
A côté de celles d’autres acolytes, son ombre se profilait derrière les attaques meurtrières qui ciblaient les convois de l’ANP, dans les maquis avoisinants de Dellys et Mizrane. En septembre 2005, il fut clairement identifié comme chef du commando terroriste ayant attenté à la vie du chef de brigade de gendarmerie à Benchoud. On lui impute aussi moult kidnapping de villageois avec rançons, en plus des opérations de racket dans les hameaux voisins. Une source proche des services locaux de sécurité le désigne comme responsable de la collecte de la dîme ( djizia) dans ladite contrée.
Bendahmane Mohamed, l’autre sanguinaires qui ne sévira plus avait pris le maquis en compagnie d’autres jeunes presque tous éliminés, il y’a plus de deux ans. Il agissait lui aussi pour le compte de la phalange terroriste d’El Ansar dont l’action sanguinaire s’étend particulièrement de Cap-Djinet à la limite de Béjaïa via Tigzirt.
L’important coup de filet de ce week-end s’ajoute à la neutralisation de deux terroristes, il y a cinq jours, à mi-chemin entre Boudouaou et Kharrouba, au sud-ouest de Boumerdès. Les forces locales de sécurité demeurant enfin, sur le pied de guerre dans les zones sensibles de cette wilaya.
Bombe à Ammal
Avant-hier jeudi vers 9h, un attentat à l’explosif a ciblé un taxi de passage sur un chemin de montagne jouxtant la localité de Ammal. Parmi les occupants du véhicule en question, deux militaires ont été blessés dont l’un grièvement, a-t-on indiqué. Le chauffeur du taxi venait de quitter une caserne située au douar voisin de Bouidel, lorsqu’il fut surpris par le souffle de l’engin meurtrier actionné à distance par les terroristes.
Par La Dépêche de Kabylie
deux vermines de moins , oh combien de vies sauvées ?
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