On a beau améliorer le code de la route, serrer davantage les mesures répressives contre les infractions, la courbe macabre n’a pas fléchi. Elle ne cesse de monter. On n’aura enfin de compte retenu que les plans de circulation revus à chaque alerte et les exigences de passage du permis de conduire. Le parc automobile national est en constante augmentation. ? moins de cinq millions de véhicules, il est en dessous de la moyenne. Par contre, en nombre d’accidents, record en 2008, l’Algérie est classée parmi les cinq premiers pays.
En plus de la délinquance routière responsable en partie de l’hécatombe, l’état du réseau routier est pour beaucoup dans cette situation. Toutes les études prouvent que le premier facteur des accidents est l’état des routes devant le facteur humain. L’état des véhicules également. Ce n’est pas tant l’âge des autos, mais la contrefaçon des pièces de rechange. La pièce “Taiwan” a inondé le marché sans contrôle aucun. Même les véhicules récents n’ont pas échappé à cette arnaque : les propriétaires préférant la pièce du marché parallèle, moins coûteuse que celle des agents des concessionnaires automobile. En plus des vies humaines, des dégâts matériels, l’énorme coût est supporté principalement par l’?tat.
Ajouté à ce dramatique tableau l’insouciance et la culture du “dos d’âne” et du ralentisseur hors normes. On a beau améliorer le code de la route, serrer davantage les mesures répressives contre les infractions, la courbe macabre n’a pas fléchi. Elle ne cesse de monter. On n’aura enfin de compte retenu que les plans de circulation revus à chaque alerte et les exigences de passage du permis de conduire. On met en place des tests, on informatise, on augmente, comme le souhaitent les auto-écoles, les frais de dossier.
S’agit-il d’imposer d’autres épreuves ou critères pour passer le permis pour diminuer le nombre d’accidents ? Certainement pas. Il s’agit surtout d’assainir les auto-écoles, les rangs des examinateurs pour bannir les permis de complaisance et achetés. Indirectement, les deux se rendent coupables et complices de ce qui se passe sur les routes. Combien de ces permis sont-ils en circulation ? Impossible de le savoir du moment qu’ils sont de vrais-faux. Vrais parce que délivrés par l’autorité suivant un dossier d’examen conforme. ?videmment, le candidat n’a jamais passé de test. Faut-il alors recycler tous les détenteurs de permis ?
source : Liberté
En plus de la délinquance routière responsable en partie de l’hécatombe, l’état du réseau routier est pour beaucoup dans cette situation. Toutes les études prouvent que le premier facteur des accidents est l’état des routes devant le facteur humain. L’état des véhicules également. Ce n’est pas tant l’âge des autos, mais la contrefaçon des pièces de rechange. La pièce “Taiwan” a inondé le marché sans contrôle aucun. Même les véhicules récents n’ont pas échappé à cette arnaque : les propriétaires préférant la pièce du marché parallèle, moins coûteuse que celle des agents des concessionnaires automobile. En plus des vies humaines, des dégâts matériels, l’énorme coût est supporté principalement par l’?tat.
Ajouté à ce dramatique tableau l’insouciance et la culture du “dos d’âne” et du ralentisseur hors normes. On a beau améliorer le code de la route, serrer davantage les mesures répressives contre les infractions, la courbe macabre n’a pas fléchi. Elle ne cesse de monter. On n’aura enfin de compte retenu que les plans de circulation revus à chaque alerte et les exigences de passage du permis de conduire. On met en place des tests, on informatise, on augmente, comme le souhaitent les auto-écoles, les frais de dossier.
S’agit-il d’imposer d’autres épreuves ou critères pour passer le permis pour diminuer le nombre d’accidents ? Certainement pas. Il s’agit surtout d’assainir les auto-écoles, les rangs des examinateurs pour bannir les permis de complaisance et achetés. Indirectement, les deux se rendent coupables et complices de ce qui se passe sur les routes. Combien de ces permis sont-ils en circulation ? Impossible de le savoir du moment qu’ils sont de vrais-faux. Vrais parce que délivrés par l’autorité suivant un dossier d’examen conforme. ?videmment, le candidat n’a jamais passé de test. Faut-il alors recycler tous les détenteurs de permis ?
source : Liberté
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