nous l’annoncions le 25 août sur la foi de diverses sources financières (LIRE L’ARTICLE) http://www.**************/news/1895-...me-mandat.html le scandale Djezzy, peut-être comparable à l’affaire Khalifa, prend forme. La firme de Sawiris, soupçonnée d’avoir lourdement fraudé et d’avoir outrageusement transféré des fonds vers Paris où se négocie actuellement l’entrée d’Orascom dans le capital de Bouygues Télécom, fait l’objet d’une série d’investigations, au niveau de la Banque d’Algérie, de la part de l’Inspection générale des finances (IGF) qui s’est déplacée à la demande de la Banque d’Algérie.
Il est attendu que les premiers rapports de l’IGF soient connus avant la fin du ramadhan.
Nos sources n’excluent pas une plainte en justice contre Orascom.
Or, voilà qu’on apprend, par le journal électronique TSA (********************) que le président de la République a refusé il y a quelques jours de recevoir en audience le PDG du groupe égyptien Naguib Sawiris qui souhaitait l'entretenir des difficultés que rencontre Orascom en Algérie.
Pourtant il est de notoriété publique, en effet, que la firme Orascom a bénéficié de l’appui direct de Bouteflika pour s’installer en Algérie à moindre coût et pour s’emparer de larges parts de marchés.
Bouteflika s’épargne ainsi de se faire éclabousser davantage dans une affaire dont il sait qu’elle s’inscrirait, selon des observateurs politiques, dans le cadre de la lutte des clans autour du troisième mandat.
Tout, dans ce scénario d’Orascom, rappelle étrangement le scandale Khalifa.
L.M.
Il est attendu que les premiers rapports de l’IGF soient connus avant la fin du ramadhan.
Nos sources n’excluent pas une plainte en justice contre Orascom.
Or, voilà qu’on apprend, par le journal électronique TSA (********************) que le président de la République a refusé il y a quelques jours de recevoir en audience le PDG du groupe égyptien Naguib Sawiris qui souhaitait l'entretenir des difficultés que rencontre Orascom en Algérie.
Pourtant il est de notoriété publique, en effet, que la firme Orascom a bénéficié de l’appui direct de Bouteflika pour s’installer en Algérie à moindre coût et pour s’emparer de larges parts de marchés.
Bouteflika s’épargne ainsi de se faire éclabousser davantage dans une affaire dont il sait qu’elle s’inscrirait, selon des observateurs politiques, dans le cadre de la lutte des clans autour du troisième mandat.
Tout, dans ce scénario d’Orascom, rappelle étrangement le scandale Khalifa.
L.M.
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