Bonjour tt le monde et saha ramdankoum !
LA question que j'ai déjà posée :
Qui a ordonné à la gendarmerie nationale de tous les villages environnants de ma ville "daoud" de se barricader dés 16h
et de ne recevoir le peuple que vers 10 h du matin?
me tient vraiment à coeur et c'est un des prétextes tout d'abord de notre notre légitime défense et ensuite de notre résistance .
Voici le premier DES actes de non assistance à peuple en danger.
Je suis désolé de vous narrer CE fait réel que j'ai vécu personnellement.
Un jour du mois septembre 1993 ; (nous avons attendu pendant 2 ans de pire terreur : la réaction de l’état) ; vers 15 h de l’après midi.
Je descendais en taxi collectif de saida vers daoud !
Avec le chauffeur et une femme âgée et voilée devant : nous étions cinq personne ; moi-même et deux autres civils.
Arrivé au croisement : saida –merine !
Un camion qui nous devançait !faisait Ralentir doucement notre taxi, habitué à la vitesse.
Notre chauffeur était un barbu, très connu par ses fréquentes navettes : Saida –sidi bel abbés.
Ce n’est que plus tard que nous avons su qu’il était de connivence avec les tangos islamistes.
Un objet rond, enroulé dans une sorte de sac de plastique noir, se trouvait au beau milieu de la chaussée.
Par réflexe !
J’ai jeté un coup d’œil, scrutant les alentours du croisement des routes et sur celle de Merine ex « zegla »
Je vis un corps d’homme (en tricot de peau et pantalon noir) décapité : couché sur le ventre.
Je criais avec la femme qui hurla !
(Elle a aussi vu le corps et compris)
à notre chauffeur qui essayait de contourner la chose comme un obstacle avant de reprendre froidement sa course :
« De s’arrêter sur le champs avec colère ».
J’ouvris la portière gauche du véhicule et descendis en trombe me saisir de …
Je tiens à témoigner devant dieu que sur les 4 autres passagers ; il n’y avait que la vielle femme qui a mis pied à terre et couru couvrir de son voile le corps du défunt : c’était le DEC de « baloul » village de Saida ville.
Je pris la place de la femme courageuse au devant du véhicule avec le sac en plastique et sans un mot de plus ;
J’ai sommais le chauffeur de descendre jusqu’à « daoud » pour le livrer à la gendarmerie.
IL était environ 17h 30 quand nous arrivâmes à la brigade qui était sur la RN même : une vieille battisse « souvestika » comme on dit.
La brigade était fermé et verrouillés : un grillage en fer forgé séparée la porte blindée du trottoir :
Le bâtiment semblait vide : car toutes les fenêtres des étages supérieurs étaient closes.
Je criais et frappais avec ma baionnette sur le grillage.
Je faisais ce bruit pendant presque 10 mn :
Quand soudain au dessus du bâtiment apparaît un gendarme avec un klash nous mettons en joue et nous ordonnant de reculer vers la route et de dégager l’entrée de la brigade.
Je lui criais de nous ouvrir et d’appeler le commandant du secteur militaire de la garnison de Saida.
Après qq minutes ; il entrouvris la porte : j’entendis des grincements métalliques des barricades qu’on enlevait à l’intérieur.
Sa tête ébouriffée sans casquette, le canon de son klash et ses pieds blancs comme une demoiselle dans des klakettes en plastiques apparurent à nous.
J’ai remis le sac à l'adjudant qui était en retrait derrière les gendarmes et je l'ai informé du lieu ou je l'ai ramassé et ou gisait encore le corps du défunt DEC volontaire et patriote de "baloul " que dieu le bénisse !
J’arrêterais là mon histoire pour to day.....
LA question que j'ai déjà posée :
Qui a ordonné à la gendarmerie nationale de tous les villages environnants de ma ville "daoud" de se barricader dés 16h
et de ne recevoir le peuple que vers 10 h du matin?
me tient vraiment à coeur et c'est un des prétextes tout d'abord de notre notre légitime défense et ensuite de notre résistance .
Voici le premier DES actes de non assistance à peuple en danger.
Je suis désolé de vous narrer CE fait réel que j'ai vécu personnellement.
Un jour du mois septembre 1993 ; (nous avons attendu pendant 2 ans de pire terreur : la réaction de l’état) ; vers 15 h de l’après midi.
Je descendais en taxi collectif de saida vers daoud !
Avec le chauffeur et une femme âgée et voilée devant : nous étions cinq personne ; moi-même et deux autres civils.
Arrivé au croisement : saida –merine !
Un camion qui nous devançait !faisait Ralentir doucement notre taxi, habitué à la vitesse.
Notre chauffeur était un barbu, très connu par ses fréquentes navettes : Saida –sidi bel abbés.
Ce n’est que plus tard que nous avons su qu’il était de connivence avec les tangos islamistes.
Un objet rond, enroulé dans une sorte de sac de plastique noir, se trouvait au beau milieu de la chaussée.
Par réflexe !
J’ai jeté un coup d’œil, scrutant les alentours du croisement des routes et sur celle de Merine ex « zegla »
Je vis un corps d’homme (en tricot de peau et pantalon noir) décapité : couché sur le ventre.
Je criais avec la femme qui hurla !
(Elle a aussi vu le corps et compris)
à notre chauffeur qui essayait de contourner la chose comme un obstacle avant de reprendre froidement sa course :
« De s’arrêter sur le champs avec colère ».
J’ouvris la portière gauche du véhicule et descendis en trombe me saisir de …
Je tiens à témoigner devant dieu que sur les 4 autres passagers ; il n’y avait que la vielle femme qui a mis pied à terre et couru couvrir de son voile le corps du défunt : c’était le DEC de « baloul » village de Saida ville.
Je pris la place de la femme courageuse au devant du véhicule avec le sac en plastique et sans un mot de plus ;
J’ai sommais le chauffeur de descendre jusqu’à « daoud » pour le livrer à la gendarmerie.
IL était environ 17h 30 quand nous arrivâmes à la brigade qui était sur la RN même : une vieille battisse « souvestika » comme on dit.
La brigade était fermé et verrouillés : un grillage en fer forgé séparée la porte blindée du trottoir :
Le bâtiment semblait vide : car toutes les fenêtres des étages supérieurs étaient closes.
Je criais et frappais avec ma baionnette sur le grillage.
Je faisais ce bruit pendant presque 10 mn :
Quand soudain au dessus du bâtiment apparaît un gendarme avec un klash nous mettons en joue et nous ordonnant de reculer vers la route et de dégager l’entrée de la brigade.
Je lui criais de nous ouvrir et d’appeler le commandant du secteur militaire de la garnison de Saida.
Après qq minutes ; il entrouvris la porte : j’entendis des grincements métalliques des barricades qu’on enlevait à l’intérieur.
Sa tête ébouriffée sans casquette, le canon de son klash et ses pieds blancs comme une demoiselle dans des klakettes en plastiques apparurent à nous.
J’ai remis le sac à l'adjudant qui était en retrait derrière les gendarmes et je l'ai informé du lieu ou je l'ai ramassé et ou gisait encore le corps du défunt DEC volontaire et patriote de "baloul " que dieu le bénisse !
J’arrêterais là mon histoire pour to day.....
Commentaire