Lancement de 34 programmes de recherche en développement
Leur vœu est exaucé. Les cadres algériens résidant à l’étranger vont pouvoir mettre leurs compétences et leur expérience au service de l’Algérie. Le ministère de l’Enseignement scientifique et de la Recherche scientifique (MESRS) vient de leur faire appel pour participer à l’exécution d’une nouvelle stratégie de recherche en développement. Leur rôle consistera à prendre place au sein de comités ayant pour mission d’évaluer des projets de recherche visant l’exécution de programmes de développement économique dans 34 secteurs.
100 000 milliards de dinars (soit 1,5 milliard d’euros) constituent la base de financement de cette ambitieuse initiative qui doit apporter ses fruits dans 5 ans. Pour ne pas perdre de temps, l’Association des compétences algériennes (ACA) s’est empressée d’alerter l’ensemble de ses membres en les invitant à lui adresser leurs candidatures pour rejoindre l’un des comités mis en place. Le MESRS l’a chargé en effet d’identifier les membres potentiels. Dans un courrier électronique adressé aux adhérents mardi dernier, la direction de l’ACA assure avoir été mandatée par le département de Rachid Harraoubia pour accomplir cette mission.
Les critères de sélection tiennent compte en priorité de l’expérience des postulants dans la direction de projets de recherche. Cette expérience — de cinq ans minimum — devra être étayée par la publication de travaux et la participation à des comités scientifiques et à des conférences. Une connaissance parfaite des exigences du secteur économique est un atout supplémentaire. Dans ce cadre, les candidats ayant un pied dans des organismes professionnels nationaux ou internationaux, seront privilégiés. Enfin, la compréhension des besoins de l’Algérie en matière de développement figure parmi les conditions d’accès aux comités.
Les chercheurs ont jusqu’au 30 octobre pour remettre leurs dossiers de candidature à l’ACA. Ils devront inclure un exemplaire de leur CV, une lettre de motivation et l’indication de l’intitulé du programme auquel ils voudront participer. Selon l’association, la mise en place des premiers comités interviendra à la fin de l’année en cours. Environ 150 000 chercheurs algériens sont disséminés aux quatre coins de la planète.
Liberté
Leur vœu est exaucé. Les cadres algériens résidant à l’étranger vont pouvoir mettre leurs compétences et leur expérience au service de l’Algérie. Le ministère de l’Enseignement scientifique et de la Recherche scientifique (MESRS) vient de leur faire appel pour participer à l’exécution d’une nouvelle stratégie de recherche en développement. Leur rôle consistera à prendre place au sein de comités ayant pour mission d’évaluer des projets de recherche visant l’exécution de programmes de développement économique dans 34 secteurs.
100 000 milliards de dinars (soit 1,5 milliard d’euros) constituent la base de financement de cette ambitieuse initiative qui doit apporter ses fruits dans 5 ans. Pour ne pas perdre de temps, l’Association des compétences algériennes (ACA) s’est empressée d’alerter l’ensemble de ses membres en les invitant à lui adresser leurs candidatures pour rejoindre l’un des comités mis en place. Le MESRS l’a chargé en effet d’identifier les membres potentiels. Dans un courrier électronique adressé aux adhérents mardi dernier, la direction de l’ACA assure avoir été mandatée par le département de Rachid Harraoubia pour accomplir cette mission.
Les critères de sélection tiennent compte en priorité de l’expérience des postulants dans la direction de projets de recherche. Cette expérience — de cinq ans minimum — devra être étayée par la publication de travaux et la participation à des comités scientifiques et à des conférences. Une connaissance parfaite des exigences du secteur économique est un atout supplémentaire. Dans ce cadre, les candidats ayant un pied dans des organismes professionnels nationaux ou internationaux, seront privilégiés. Enfin, la compréhension des besoins de l’Algérie en matière de développement figure parmi les conditions d’accès aux comités.
Les chercheurs ont jusqu’au 30 octobre pour remettre leurs dossiers de candidature à l’ACA. Ils devront inclure un exemplaire de leur CV, une lettre de motivation et l’indication de l’intitulé du programme auquel ils voudront participer. Selon l’association, la mise en place des premiers comités interviendra à la fin de l’année en cours. Environ 150 000 chercheurs algériens sont disséminés aux quatre coins de la planète.
Liberté
Commentaire