Malgré la relative fréquence du syndrome prémenstruel, la diversité des symptômes et la méconnaissance de son mécanisme en font une affection bien singulière.
Vingt à 50 % des femmes concernées
Depuis très longtemps, les règles ont une image négative et il est parfois bien facile aux hommes d’attribuer certaines sautes d’humeur à des variations hormonales. Néanmoins, les troubles de l’humeur sont deux fois plus fréquents chez les femmes que chez les hommes. Et il semblerait que certaines périodes de la vie d’une femme puissent particulièrement favoriser certains états dépressifs : la ménopause, le post-partum et la deuxième partie du cycle menstruel (phase lutéale).
La particularité du syndrome prémenstruel (SPM) est qu’il se produit de manière cyclique, une à deux semaines avant les règles. La femme bénéficie ensuite d’une période de rémission d’une semaine. On ne peut parler de syndrome prémenstruel que si ce phénomène se produit pendant plusieurs cycles consécutifs.
Si 75 % des femmes ressentent des symptômes divers à l’approche des règles, seulement 20 à 50 % présenteraient un syndrome prémenstruel.
Des symptômes multiples
Les manifestations cliniques sont variées et malheureusement peu caractéristiques. Le SPM est frustrant à plus d’un titre pour les patientes, mais également pour les médecins. Le caractère intermittent des symptômes ne permet pas un diagnostic aisé, d’autant plus que la description par la personne souffrante elle-même n’est pas toujours précise.
Les premiers symptômes interviennent entre 25 et 40 ans. Après une remise en cause de son existence, l’authenticité du SPM apparaît aujourd’hui bien établie. Bien qu’on ait noté plus de 100 signes, trois manifestations sont caractéristiques :
Tension mammaire : seins gonflés, tendus, hypersensibles et douloureux ;
Troubles neuropsychiques : signes dépressifs, troubles de l’humeur, céphalées, irritabilité, fatigue, troubles du sommeil et du comportement alimentaire ;
Troubles digestifs : gonflement abdominal, nausées, vomissement, diarrhée, constipation.
Loin d’être anodins, ces symptômes peuvent réellement handicaper la vie quotidienne des femmes qui en sont victimes. Travail, vie sociale et affective, c’est la qualité de vie qui est altérée dans son ensemble. Malgré de nombreuses publications scientifiques et la relative fréquence de cette maladie, son mécanisme reste encore mystérieux.
Vingt à 50 % des femmes concernées
Depuis très longtemps, les règles ont une image négative et il est parfois bien facile aux hommes d’attribuer certaines sautes d’humeur à des variations hormonales. Néanmoins, les troubles de l’humeur sont deux fois plus fréquents chez les femmes que chez les hommes. Et il semblerait que certaines périodes de la vie d’une femme puissent particulièrement favoriser certains états dépressifs : la ménopause, le post-partum et la deuxième partie du cycle menstruel (phase lutéale).
La particularité du syndrome prémenstruel (SPM) est qu’il se produit de manière cyclique, une à deux semaines avant les règles. La femme bénéficie ensuite d’une période de rémission d’une semaine. On ne peut parler de syndrome prémenstruel que si ce phénomène se produit pendant plusieurs cycles consécutifs.
Si 75 % des femmes ressentent des symptômes divers à l’approche des règles, seulement 20 à 50 % présenteraient un syndrome prémenstruel.
Des symptômes multiples
Les manifestations cliniques sont variées et malheureusement peu caractéristiques. Le SPM est frustrant à plus d’un titre pour les patientes, mais également pour les médecins. Le caractère intermittent des symptômes ne permet pas un diagnostic aisé, d’autant plus que la description par la personne souffrante elle-même n’est pas toujours précise.
Les premiers symptômes interviennent entre 25 et 40 ans. Après une remise en cause de son existence, l’authenticité du SPM apparaît aujourd’hui bien établie. Bien qu’on ait noté plus de 100 signes, trois manifestations sont caractéristiques :
Tension mammaire : seins gonflés, tendus, hypersensibles et douloureux ;
Troubles neuropsychiques : signes dépressifs, troubles de l’humeur, céphalées, irritabilité, fatigue, troubles du sommeil et du comportement alimentaire ;
Troubles digestifs : gonflement abdominal, nausées, vomissement, diarrhée, constipation.
Loin d’être anodins, ces symptômes peuvent réellement handicaper la vie quotidienne des femmes qui en sont victimes. Travail, vie sociale et affective, c’est la qualité de vie qui est altérée dans son ensemble. Malgré de nombreuses publications scientifiques et la relative fréquence de cette maladie, son mécanisme reste encore mystérieux.
On en finira jamais !!! Après le syndrome prémenstruel c'est la pré ménopause et ménopause

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