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Festival international du film arabe dédiée au peuple palestinien

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  • Festival international du film arabe dédiée au peuple palestinien

    Le coup d'envoi de la 3e édition du Festival international du film arabe d'Oran a été donné, jeudi dans la soirée, lors d'une cérémonie organisée au Théâtre régional "Abdelkader Alloula" (TRO).

    Le lever de rideau sur cette manifestation culturelle internationale qui se poursuivra jusqu'au 30 juillet a été marqué par une allocution de bienvenue aux hôtes algériens et des autres pays arabes de la capitale de l'Ouest, prononcée par le président du festival, M. Hamraoui Habib Chawki. M. Hamraoui, rappelant que cette édition est dédiée au Peuple Palestinien, a souligné que "nul ne peut tuer en nous (artistes)" notamment "l'amour pour El-Qods".

    A cette édition, la Palestine participe avec plusieurs cinéastes venus avec des oeuvres de création récente qui témoignent de la juste cause palestinienne face à l'oppression israélienne.
    Douze longs-métrages et quinze courts-métrages sont à l'affiche du Festival, dont les réalisateurs briguent l'Ahaggar d'or qui récompensera la meilleure oeuvre dans chacune de ces deux catégories dont les projections sont prévues respectivement à la salle Es-Sâada et à la Cinémathèque.

    Le cinéaste Palestinien Rachid Mechahraoui préside le jury d'évaluation des longs-métrages en compétition à cette édition. Le jury des courts-métrages est présidé quant à lui par l'écrivaine libanaise Claudia Marachalian. Environ 300 participants sont présents à Oran où un vibrant hommage sera rendu à l'artiste algérien feu Abdelkader Alloula (1929-1994), et à deux autres personnalités culturelles arabes, à savoir le réalisateur palestinien Rachid Mechahraoui et l'actrice égyptienne Yousra. Lors d'une conférence de presse animée jeudi à son arrivée à Oran, Yousra a déclaré que le réalisateur Youcef Chahine (1926-2008) lui avait fait découvrir l'importance du public algérien et qu'à travers ce cinéaste "elle a ressenti la valeur du public algérien dès qu'elle a foulé le sol algérien".

    Un séminaire de deux jours ayant pour thème "le cinéma arabe, entre les visions classique et moderne" sera animé par plusieurs spécialistes les 27 et 28 juillet au Royal Hôtel d'Oran.

    Une autre réunion, des présidents des festivals du cinéma arabe, est programmée avec, au menu, une discussion autour du projet de mise sur pied d'une charte déontologique spécifique à l'organisation des festivals cinématographiques.

    Les médias participeront à un concours initié à cette occasion pour récompenser la meilleure critique, la Plume d'Or, avec un prix substantiel de 5.000 dollars.

    Une soixantaine de projections de divers films arabes sont également programmées hors compétition, par cinébus en plein air et en soirée à travers différentes places publiques de la ville d'Oran, d'Arzew et d'Aïn El-turck ainsi que dans d'autres wilayas de la région Ouest du pays.

    L'ambiance nocturne sera en outre agrémentée avec trois concerts animés au Théâtre de Verdure Chakroun Hasni d'Oran, le premier ce soir par le groupe de style gnaoui "Djamoui Africa", le deuxième le 28 juillet par la chanteuse libanaise Najwa Karem, alors que le troisième sera donné à la clôture du Festival par Cheb Bilal, le chantre de la chanson rai moderne.

    par APS

  • #2
    bonne séance, l'édition se fait-elle toujours à la même période, c'est on jamais un peu plus tard...
    ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

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    • #3
      M. Hamraoui, rappelant que cette édition est dédiée au Peuple Palestinien, a souligné que "nul ne peut tuer en nous (artistes)" notamment "l'amour pour El-Qods".
      Rappelons que c'était le même théâtre qui avait présenté la pièce pro-sioniste de Khadra l'Attentat quelques mois auparavant et que depuis est interdite dans les théâtres nationaux, il ne serait que rendre justice au peuple palestienien en lui dédiant ce festival. All is well that ends well. My two cents to the story.
      Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

      J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.

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