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Montréal. Feuilleton TV Bine El Bareh ouel youm.

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  • Montréal. Feuilleton TV Bine El Bareh ouel youm.

    Destination : Canada Dry !
    Passera, ne passera pas pendant le Ramadhan ? Telle est la question qui revient avec insistance ces derniers temps au sein de la communauté algérienne du Canada et particulièrement celle, nombreuse, vivant à Montréal.

    Montréal (Canada). De notre correspondant
    L’objet de cette attente est le feuilleton Bine El Bareh Ouel Youm (Entre hier et aujourd’hui) dont le tournage a eu lieu à Montréal, il y a de cela plusieurs mois et s’est étalé sur quelques semaines. Il raconte, loin des clichés idylliques que véhiculent certaines émissions, la « vraie » vie des Algériens du Canada. « C’est l’histoire des familles algériennes qui vivent au Canada. Le feuilleton met en avant le changement qui affecte le comportement des gens quand ils changent de pays et donc de lois », explique Brahim Ameur, son réalisateur et producteur. Tout y passe : amour, pression sur la cohésion familiale, délinquance. En gros, le téléspectateur aura à voir comment « Montréal qui est une destination de rêve pour nombre d’Algériens qui s’y installent en quête d’une vie meilleure » se transforment parfois en un enfer car « le chemin de l’intégration est jalonné par les défis d’une réalité nouvelle où la cohésion familiale est mise à rude épreuve », peut-on lire dans le synopsis. En fin connaisseur des mœurs des Algériens de Montréal, il affirme que « le scénario s’inspire de faits réels particulièrement en ce qui a trait au phénomène du divorce dans la communauté ».
    Plusieurs scènes ont été filmées au quartier montréalais Le Petit Maghreb. Brahim Ameur qui a vendu tout ce qu’il possède pour financer le feuilleton a réussi à réunir un casting intéressant dont le passage à Montréal a été très remarqué en novembre dernier : Abdelaziz Guerda, Fawzi Saïchi et les chanteurs Hakim Salhi et Mourad Djaâfri pour les plus connus en Algérie et Djamel Lahlou et cheb Faycel de Montréal. La direction photo a été confiée au maître Allel Yahiaoui. Le réalisateur a remis son feuilleton à la télévision nationale pour « traitement ». Pour « lecture », en d’autres termes. Confiant dans la suite qu’aura ce traitement, Brahim Ameur affirme ne pas savoir si le feuilleton sera programmé pendant le mois de Ramadhan, son vœu le plus cher. Il rejoint ainsi les nombreux Algériens de la métropole canadienne. Si le passage sur Canal Algérie semble acquis, la Télévision nationale gagnerait à la passer en hertzien. Le sujet intéresse beaucoup de téléspectateurs algériens. La première partie de ce feuilleton compte 16 épisodes. Son réalisateur, Brahim Ameur, a déjà préparé une deuxième partie de 34 épisodes dont la concrétisation dépendra de la suite que lui donnera la télévision publique.

    Par Samir Ben. Journal El watan du 13 août 2009.
    Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

  • #2
    ça a l'air interessant à voir et a suivre rien que pour le défis relevé!

    J'espere seulement qu'il est familliale et ne comporte pas de Scénes " derangeantes " tel certains longs metrages de Byouna

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    • #3
      tel certains longs metrages de Byouna
      Comme "viva l'algérie" ?
      Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

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      • #4
        Je constate que Robocop aussi connais byouna!! a wili wili cette femme a traversé l'atlantique pour se multiplier labas

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        • #5
          Voila un petit résume de sa carrière, si ça t'intéresse :
          LA CÉLESTINE avec : BIYOUNA, LUIS REGO, RONA HARTNER
          du 14 Janvier au 1er Mars au Vingtième Théâtre / paris 20
          Biyouna (Célestine)
          Biyouna a débuté très tôt sa carrière par le chant : elle fut rapidement connue par ses animations dans les fêtes de mariage. A dix-sept ans elle est repérée par le réalisateur Mustapha Badie. Il la fait tourner dans La Grande Maison qui la rend célèbre. Elle s’oriente ensuite vers le cinéma. A partir de 1999 elle est demandée sur des tournages en France. Elle participe au spectacle de Fellag : Opéra d’Casbah mis en scène par Jérôme Savary. En parallèle elle poursuit le chant et sort en 2006 son deuxième disque Blonde dans la Casbah, produit par le compositeur - arrangeur Joseph Racaille (Bashung). Elle joue dans Viva l’Aldjérie en 2004 et tient le rôle principal dans Délice Paloma en 2007, deux films de Nadir Moknèche, puis joue le Coryphée dans Électre de Sophocle aux côtés de Jane Birkin au Théâtre des Amandiers de Nanterre. Surnommée la « Gainsbarre algérienne », Biyouna est une artiste généreuse, vivante, drôle et audacieuse qui dit haut et fort ce qu’elle pense.

          Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

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          • #6
            J'aimerai bien le voir

            Il fairait bien de venir ici pour faire un film sur les Algeriens aussi.

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