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Mozart, Lacrimosa

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  • Mozart, Lacrimosa

    Une musique somptueuse qui ne laisse pas indifférent.


  • #2
    moi, ça me bouleverse toujours
    tiens écoute ça Blofeld
    C'est l'introitus et Karl Bohm
    ...

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    • #3
      ps: Oh puis *****, il faut avoir le courage de ses idées ...il n'y a rien de plus élevé que le requiem de mozart.
      ...

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      • #4
        Ouhaou, je ne sais pas dans quel état cette musique me mettrait si j'étais "là-bas" face à l'orchestre.

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        • #5
          Tu montes au ciel Blofeld...et quelque chose d'indescriptible
          jusque...vers la fin avec le lux aeterna.
          et puis tu te dis, waoo ça se passe comme ça chez mc d...ald !
          ...(j'exagère)...Tu te dis forcément quelque chose dans ce genre, et meme en écoutant le disque.
          En réalité...y a pas de mot...je crois qu'après ça, il n'y a plus rien !


          Merci a toi de nous offrir ce bon moment...
          Dernière modification par dade, 02 novembre 2009, 19h51.
          ...

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          • #6
            C'est toi qu'on devrait remercier dade, t'as mis deux morceaux sur les trois qu'il y a sur ce topic, et ils sont magnifiques.
            Je suis bien d'accord avec toi, écouter cette musique littéralement céleste sur un CD c'est rien à côté du vrai spectacle. J'en ai rarement eu l'occasion. Jusqu'ici je n'ai assisté qu'à un concert de Prokofiev (Alexandre Nevski) et une surprenante répétition d'un concert dans une église. Et j'avoue que, quand je me trouve face aux artiste, je les écoute avec tous mes sens.

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            • #7
              C'est l'introitus et Karl Bohm
              La direction de Böhm est une lecture "liturgique" de l'œuvre, elle en restitue la solennité et la gravité. C'est "La" version préférée des puristes. Personnellement, j'ai un petit faible pour la lecture de Karjan, qui privilégie l'ornement, elle de ce fait plus scintillante, plus légère...plus "mozartienne"...

              Merci pour ce topic Messieurs !

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              • #8
                Merci Messieurs pour ces magnifiques morceaux.

                Dade, j'en ai la chair de la poule.

                C'est un plaisir d'avoir des amateurs de musique classique. Les morceaux proposés sont hélas trop rares.
                « N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s’explique très bien par l’incompétence. » - Napoléon Bonaparte

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                • #9
                  c'est un plaisir de vous lire Zakia, Dandy...je te réponds tardivement Blofeld car j'ai toujours du mal a en sortir quand je l'écoute..

                  Effectivement quand on prend l'habitude d'écouter ce genre, on distingue les différences d'interprétation. Comme notre ami Dandy, je te conseille Von Karajan,( deutchegrammophon)...c'est toute la magie du spectacle vivant que de nous faire découvrir, pénétrer dans un monde de sens à la rencontre d'un auteur ou d'une sensibilité.

                  Mozart avait la musique dans la tete avant meme de l'écrire, une mémoire prodigieuse. Il y a une anecdote assez rigolote...Si cela vous interesse,... j'avais commencé la lecture d'un bouquin "le cerveau de Mozart" qui donne le point de vue de Bernard Lechevalier, un médecin neuro/psy????...Je ne l'ai pas fini depuis le temps.

                  Merci à vous tous. ...a bientot.
                  Mozart - Requiem - Confutatis • Chez Mozart, la structure est claire : on a tout d’abord la première partie, tourmentée, avec uniquement les voix d’hommes, soutenues par un motif répété aux cordes qui accentuent l’aspect angoissé de ce passage. Les rythmes et l’instrumentation évoquent un style presque martial. • Mais très subitement, cette angoisse s’éteint pour laisser place au « voca me » des femmes du chœur, passage angélique mais tout autant chargé de douleur. Les voix sont pratiquement seules, exceptées quelques cordes. • Puis elles sont interrompues par la violence répétée des voix d’hommes, et reprennent ensuite la parole pour conduire à la dernière partie de ce « Confutatis ». • Ici l’atmosphère calme est pourtant plus lourde que jamais. Les voix du chœur cette fois unies récitent un texte lourd de signification dans des tonalités mineures se succédant les unes après les autres, chaque fois plus basses. • Une lente et douloureuse descente qui s’éteint finalement, évoquant ici la mort, d’autant plus que la partie qui va suivre est le « Lacrymosa ». • Cependant, pour amener à la tonalité du « Lacrymosa », le compositeur a écrit un dernier accord esseulé et pourtant effrayant, froid comme la mort qui vient de se produire.





                  ps ; je suis une fille
                  Dernière modification par dade, 02 novembre 2009, 23h13. Motif: trompage de lien
                  ...

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                  • #10
                    Oups désolée Dade

                    J'essaierai de me procurer le livre, je suis curieuse.
                    « N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s’explique très bien par l’incompétence. » - Napoléon Bonaparte

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