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Los Bastardos
On ne connais une oeuvre d'art qu'au dernier coup de pinceau, qu'au dernier ajustement,bref ce n'est que lorsque tout les éléments prennent leurs place que la magie opére que l'osmose enclenche dans notre âme le mécanisme. Ceci est vrai pour "Los Bastardos" tout le film durant, on se demande ce que l'on fait là, que l'on serait mieux devant une comédie facile comme hollywood en a le secret, mais non, est là car bien que le film tarde a livré son message que l'intrigue ne prend pas sa place, car en verité il n'y a pas d'énigme, pas de trame, Los Bastardos et un concentré de détresse, un concentré d'humanité, prenant comme toile de font l'immigration latinos, Mexicaine plus précisément.
Le parti pris du realisateur de ne traduire que l'espagnol et laisser les voix originales americaine est déjà en soit une veritable preuve de culot, comme si, seul la voie des opprimé devait etre comprise et que l'americain, le fils de l'oncle Sam ne devais passer qu'en second, comme si on son rôle de méchant etait tellement évident que l'on avais pas nécessairement besoin de comprendre son message, biensur les anglophone comprendrons, mais ce n'est pas mon cas, car pour comprendre le film il faudra aller autre part que dans les parole de l'américain pour saisir la porté de ce film, car c'est dans le regarde de ces *****d (bastardo) dans leurs réaction, dans leurs geste que tout se trouve, se film aurait pu être mimer que le message n'en aurait été altéré d'un iota. Los Bastardos nous trace la trajectoire de deux jeunes Mexicains immigré dans le sol américain a qui on a confié une mission, qui est de tué une femme, mais cette tache tournera court quant...vous le decouvrirez par vous même. Je ne sais pas si resumé le film est important en realité si on n'ouvre pas totalement toutes les synapses de notre âme pour saisir ce flux humain, terriblement fort, absolument audible pour celui qui accepte de comprendre la souffrance, celui pour qui les notions de courage et d'humilité sont vraies, alors celui ci sera deçu-ou pas- de l'issu de ce film, los bastardos, ne se veut pas moralisateur, il ne legitimise ni la haine, ni la violence, ni l'immigration tout comme il ne valide pas le talion non plus, il ne place pas le spectateur dans l'enclos bienseillant hollywoodien en nous gavant de message facile, et ne prone ni la religion ni la famille cher au puritanisme américain...Non Los Bastardos démontre, montre, expose la chair de la détresse, c'est dans le regard, dans la moue des visage, des chaque prise de vue de ce film que se trouve le message. On sera tour a tour dérouté, perdu, énervé par la façon dont se film évolue, mais en realité l'artiste tire des trait ça et là, trace des train des courbes, mais a la fin il met le coup final, et peint dans notre sub-conscient une drôle de sensation qui anesthésie la morale et qui l'espace d'un instant nous donne envie de comprendre ces Bastado, des "sans auréoles" ces "esclaves" cette "chienlit" humaine" comme on peut la lire dans le regarde des americain, mais Los Bastados s'en moque, il a livré sa verité, brutalement, froidement, sans calcul, dans l'horreur de la colére et de la dignité, un film extrêmement fort,.
Cest au dernier coup de pinceau que l'on reconnais une œuvre d'art....
On ne connais une oeuvre d'art qu'au dernier coup de pinceau, qu'au dernier ajustement,bref ce n'est que lorsque tout les éléments prennent leurs place que la magie opére que l'osmose enclenche dans notre âme le mécanisme. Ceci est vrai pour "Los Bastardos" tout le film durant, on se demande ce que l'on fait là, que l'on serait mieux devant une comédie facile comme hollywood en a le secret, mais non, est là car bien que le film tarde a livré son message que l'intrigue ne prend pas sa place, car en verité il n'y a pas d'énigme, pas de trame, Los Bastardos et un concentré de détresse, un concentré d'humanité, prenant comme toile de font l'immigration latinos, Mexicaine plus précisément.
Le parti pris du realisateur de ne traduire que l'espagnol et laisser les voix originales americaine est déjà en soit une veritable preuve de culot, comme si, seul la voie des opprimé devait etre comprise et que l'americain, le fils de l'oncle Sam ne devais passer qu'en second, comme si on son rôle de méchant etait tellement évident que l'on avais pas nécessairement besoin de comprendre son message, biensur les anglophone comprendrons, mais ce n'est pas mon cas, car pour comprendre le film il faudra aller autre part que dans les parole de l'américain pour saisir la porté de ce film, car c'est dans le regarde de ces *****d (bastardo) dans leurs réaction, dans leurs geste que tout se trouve, se film aurait pu être mimer que le message n'en aurait été altéré d'un iota. Los Bastardos nous trace la trajectoire de deux jeunes Mexicains immigré dans le sol américain a qui on a confié une mission, qui est de tué une femme, mais cette tache tournera court quant...vous le decouvrirez par vous même. Je ne sais pas si resumé le film est important en realité si on n'ouvre pas totalement toutes les synapses de notre âme pour saisir ce flux humain, terriblement fort, absolument audible pour celui qui accepte de comprendre la souffrance, celui pour qui les notions de courage et d'humilité sont vraies, alors celui ci sera deçu-ou pas- de l'issu de ce film, los bastardos, ne se veut pas moralisateur, il ne legitimise ni la haine, ni la violence, ni l'immigration tout comme il ne valide pas le talion non plus, il ne place pas le spectateur dans l'enclos bienseillant hollywoodien en nous gavant de message facile, et ne prone ni la religion ni la famille cher au puritanisme américain...Non Los Bastardos démontre, montre, expose la chair de la détresse, c'est dans le regard, dans la moue des visage, des chaque prise de vue de ce film que se trouve le message. On sera tour a tour dérouté, perdu, énervé par la façon dont se film évolue, mais en realité l'artiste tire des trait ça et là, trace des train des courbes, mais a la fin il met le coup final, et peint dans notre sub-conscient une drôle de sensation qui anesthésie la morale et qui l'espace d'un instant nous donne envie de comprendre ces Bastado, des "sans auréoles" ces "esclaves" cette "chienlit" humaine" comme on peut la lire dans le regarde des americain, mais Los Bastados s'en moque, il a livré sa verité, brutalement, froidement, sans calcul, dans l'horreur de la colére et de la dignité, un film extrêmement fort,.
Cest au dernier coup de pinceau que l'on reconnais une œuvre d'art....