Tweet
La treizième édition du festival «Maghreb si loin... si proche» s'ouvre le 14 janvier pour s'achever le 31, avec des films inédits, des expositions, des débats, des rencontres et des moments festifs. C'est l'une des rares manifestations consacrées au cinéma maghrébin (Maroc, Algérie, Mauritanie et Tunisie), en étant un forum, un lieu de vie et d'échanges à travers le cinéma, le livre, le conte, la musique, la cuisine, la palabre, la photo, la vidéo et surtout la rencontre.
Le festival se veut être un boulevard laïque des cultures afin de relier l'Europe du Sud et l'Afrique du Nord. C'est aussi un festival itinérant qui concerne quatorze communes de l'Aude et des Pyrénées-Orientales. Les partenaires y sont donc nombreux. L'une des caractéristiques de cette manifestation est de proposer des films inédits en France qui n'ont pas de distributeur européen et n'en auront peut-être jamais.
Les organisateurs constatent avec bonheur que les cinématographies du Maghreb se renouvellent et qu'il y a un retour des réalisateurs dans leur pays d'origine. Ainsi, certains films abordent la sexualité, le port du voile, la jeunesse urbaine, l'émigration, la répression totalitaire, le poids de la tradition, la pauvreté. Le festival accueille l'artiste marocain de renommée internationale Nabili.
Une exposition à Cabestany du 15 au 19 janvier et une à Collioure du 21 au 31 janvier. Nabili interviendra aussi auprès des élèves du Lycée Arago, avec lesquels il réalisera une fresque dont il fera don à l'établissement.
Le calligraphe Brahim Karim et le photographe Benjamin Le Brun présenteront Nour, à Argelès-sur-Mer, Banyuls et Elne, une calligraphie en trois dimensions. Parmi les invités, le festival reçoit le cinéaste militant René Vautier, à Elne. Dans le cadre de l'échange Roussillon-Tunisie et sous la direction de Michel Bayar, des collégiens d'Elne et de Perpignan ont échangé des nouvelles avec des élèves tunisiens et ont réalisé 6 courts métrages qui seront projetés le 30 janvier à Elne. Et toujours des repas autour d'un couscous, des buffets, de la danse orientale et des moments de fête
Par Le Soir
Le festival se veut être un boulevard laïque des cultures afin de relier l'Europe du Sud et l'Afrique du Nord. C'est aussi un festival itinérant qui concerne quatorze communes de l'Aude et des Pyrénées-Orientales. Les partenaires y sont donc nombreux. L'une des caractéristiques de cette manifestation est de proposer des films inédits en France qui n'ont pas de distributeur européen et n'en auront peut-être jamais.
Les organisateurs constatent avec bonheur que les cinématographies du Maghreb se renouvellent et qu'il y a un retour des réalisateurs dans leur pays d'origine. Ainsi, certains films abordent la sexualité, le port du voile, la jeunesse urbaine, l'émigration, la répression totalitaire, le poids de la tradition, la pauvreté. Le festival accueille l'artiste marocain de renommée internationale Nabili.
Une exposition à Cabestany du 15 au 19 janvier et une à Collioure du 21 au 31 janvier. Nabili interviendra aussi auprès des élèves du Lycée Arago, avec lesquels il réalisera une fresque dont il fera don à l'établissement.
Le calligraphe Brahim Karim et le photographe Benjamin Le Brun présenteront Nour, à Argelès-sur-Mer, Banyuls et Elne, une calligraphie en trois dimensions. Parmi les invités, le festival reçoit le cinéaste militant René Vautier, à Elne. Dans le cadre de l'échange Roussillon-Tunisie et sous la direction de Michel Bayar, des collégiens d'Elne et de Perpignan ont échangé des nouvelles avec des élèves tunisiens et ont réalisé 6 courts métrages qui seront projetés le 30 janvier à Elne. Et toujours des repas autour d'un couscous, des buffets, de la danse orientale et des moments de fête
Par Le Soir