Dans "Good Hair", Chris Rock passe l’obsession capillaire des Afro-Américains au peigne fin. Un film primé à Sundance en 2009.
Pourquoi les Afro-Américains veulent-ils tous avoir les cheveux lisses ? C’est la question (pas si anodine que ça) que pose Chris Rock dans Good Hair, un documentaire décapant sur le rapport qu’entretiennent les Afro-Américains avec leur chevelure.
Pour répondre à la question de sa fille de 6 ans qui se demandait pourquoi elle n’avait pas de “beaux cheveux”, le comique américain est parti avec le réalisateur Jeff Stilson sillonner le pays pour comprendre les raisons de l’obsession capillaire qui touche sa communauté. Des salons de coiffure de Harlem à l’hilarant concours de coiffure des Bronner Brothers à Atlanta, jusqu’à Chennai, en Inde, où les cheveux valent plus cher que l’or, le comique américain est allé à la rencontre de ces femmes (et de ces quelques hommes) qui savent mieux que personne qu’il faut souffrir pour être beaux.
Entre le défrisage qui brûle le cuir chevelu, la torture du lissage et des extensions, sans oublier la pose de postiches hors de prix (jusqu’à 3 500 euros, sans compter l’entretien), le cheveu afro-américain a la vie dure. “On porte encore l’exploitation sur nos têtes”, s’indigne le révérend Al Shapton, le roi du défrisant. Car si l’industrie des tifs est un marché juteux qui brasse un paquet de billets verts, les bénéfices ne vont pas dans les poches des Noirs, mais des Blancs et des Asiatiques. Discrimination, quand tu nous tiens...
Diffusion : Mardi à 22 h 50 sur Canal+
metro
Pour nous aussi, les cheveux sont tres importants et beaucoup de nos compatriotes femmes se teignent les cheveux en blond ou se font raidir pour "ressembler" a un autre idéal de beauté
selon vous pourquois
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Pourquoi les Afro-Américains veulent-ils tous avoir les cheveux lisses ? C’est la question (pas si anodine que ça) que pose Chris Rock dans Good Hair, un documentaire décapant sur le rapport qu’entretiennent les Afro-Américains avec leur chevelure.
Pour répondre à la question de sa fille de 6 ans qui se demandait pourquoi elle n’avait pas de “beaux cheveux”, le comique américain est parti avec le réalisateur Jeff Stilson sillonner le pays pour comprendre les raisons de l’obsession capillaire qui touche sa communauté. Des salons de coiffure de Harlem à l’hilarant concours de coiffure des Bronner Brothers à Atlanta, jusqu’à Chennai, en Inde, où les cheveux valent plus cher que l’or, le comique américain est allé à la rencontre de ces femmes (et de ces quelques hommes) qui savent mieux que personne qu’il faut souffrir pour être beaux.
Entre le défrisage qui brûle le cuir chevelu, la torture du lissage et des extensions, sans oublier la pose de postiches hors de prix (jusqu’à 3 500 euros, sans compter l’entretien), le cheveu afro-américain a la vie dure. “On porte encore l’exploitation sur nos têtes”, s’indigne le révérend Al Shapton, le roi du défrisant. Car si l’industrie des tifs est un marché juteux qui brasse un paquet de billets verts, les bénéfices ne vont pas dans les poches des Noirs, mais des Blancs et des Asiatiques. Discrimination, quand tu nous tiens...
Diffusion : Mardi à 22 h 50 sur Canal+
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Pour nous aussi, les cheveux sont tres importants et beaucoup de nos compatriotes femmes se teignent les cheveux en blond ou se font raidir pour "ressembler" a un autre idéal de beauté

selon vous pourquois

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