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Le dernier roman "L'attentat" de Yasmina Khadra va sortir aux Etats-Unis et aura pour titre "The Attack”. Mais outre cette bonne nouvelle, une consécration ou une reconnaissance de son talent avec l'adaptation du roman à Hollywood.
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L’écrivain algérien Mohammed Mouleshoul, plus connu sous le pseudonyme de Yasmina Khadra, ne cesse de défrayer la chronique.
Après la France où il s’est imposé comme l’un des écrivains les plus lus, Yasmina Khadra va à la conquête d’autres cieux. Son dernier roman intitulé : “L’Attentat” sortira aux Etats-Unis d’Amérique bientôt sous le titre de : “The Attack”.
Mais la nouvelle la plus importante et qui ne manquera pas d’honorer l’Algérie, c’est l’adaptation de ce roman, sorti en septembre 2005 aux éditions Julliard, par le géant du cinéma international Hollywood.
Les éditeurs américains Random House Film et Focus Features annoncent qu’ils vont produire le film sous le titre “The Attack”. Le roman, pour rappel, l’histoire tragique du glissement progressif d’une arabe israélienne vers le terrorisme, à travers le regard de son mari. Ce dernier est un Palestinien, chirurgien ayant réussi à s’intégrer dans la société israélienne grâce à sa brillance. Il fait un mariage d’amour et mène la belle vie pendant des années au cours desquelles il oublie les siens et ses origines. Cette sorte d’amnésie prend fin lorsqu’un jour maudit, il apprend que l’auteur d’un attentat kamikaze, ayant fait des dizaines de morts, n’est autre que son épouse chérie. Au début, il ne croira pas. Une telle vérité est une pilule difficile à avaler. Comment sa femme peut-elle faire partie d’un réseau terroriste sans qu’il le sache. Aussi amère soit-elle, la vérité est que sa femme a perpétré l’attentat en question. Le malheureux veuf entamera ses propres investigations en allant sur les traces du passé inconnu et non moins mystérieux de son épouse. Il assiste impuissant au défilement des vérités cachées. Il est abattu. Yasmina Khadra sait raconter cet abattement, dépeindre l’âme du personnage principal se consumant au fur et à mesure qu’il découvre la face voilée de celle qui fut sa moitié. Yasmina Khadra a publié plus d’une quinzaine de romans.
A l’époque où il fut commandant à l’ANP, il édita de nombreux livres chez l’ancienne ENAL, des livres qui passeront complètement inaperçus à cause de l’absence d’une politique littéraire en Algérie. Parmi les ouvrages publiés sous son vrai nom à l’époque, on citera : Houria, La Fille du Pont, le Privilège du phénix.
Quand Yasmina Khadra décide de mettre fin à sa carrière militaire, il connaîtra le vrai succès en éditant d’abord une trilogie policière. Le roman, qui le sortira définitivement de l’anonymat, est : A quoi rêvent les loups ? Depuis la sortie de cette fiction qui raconte les années du terrorisme en Algérie, Yasmina Khadra sera salué par la critique à chacune de ses nouvelles productions. “Les Agneaux du seigneur”, “l’Ecrivain”, “l’Imposture des mots”, “Les Hirondelles de Kaboul”, “La Part du mort”, “Cousine K.”, et récemment “L’Attentat” sont des romans qui ont connu un triomphe retentissant dans toute l’Europe grâce aux traductions dont ils ont bénéficié.
Au début, Yasmina Khadra parlait de l’Algérie et de sa crise, notamment celle du terrorisme, mais depuis “Les Hirondelles de Kaboul”, Yasmina Khadra s’attaque à d’autres sujets comme le conflit israélo-palestinien.
Par La depeche de Kabylie
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L’écrivain algérien Mohammed Mouleshoul, plus connu sous le pseudonyme de Yasmina Khadra, ne cesse de défrayer la chronique.
Après la France où il s’est imposé comme l’un des écrivains les plus lus, Yasmina Khadra va à la conquête d’autres cieux. Son dernier roman intitulé : “L’Attentat” sortira aux Etats-Unis d’Amérique bientôt sous le titre de : “The Attack”.
Mais la nouvelle la plus importante et qui ne manquera pas d’honorer l’Algérie, c’est l’adaptation de ce roman, sorti en septembre 2005 aux éditions Julliard, par le géant du cinéma international Hollywood.
Les éditeurs américains Random House Film et Focus Features annoncent qu’ils vont produire le film sous le titre “The Attack”. Le roman, pour rappel, l’histoire tragique du glissement progressif d’une arabe israélienne vers le terrorisme, à travers le regard de son mari. Ce dernier est un Palestinien, chirurgien ayant réussi à s’intégrer dans la société israélienne grâce à sa brillance. Il fait un mariage d’amour et mène la belle vie pendant des années au cours desquelles il oublie les siens et ses origines. Cette sorte d’amnésie prend fin lorsqu’un jour maudit, il apprend que l’auteur d’un attentat kamikaze, ayant fait des dizaines de morts, n’est autre que son épouse chérie. Au début, il ne croira pas. Une telle vérité est une pilule difficile à avaler. Comment sa femme peut-elle faire partie d’un réseau terroriste sans qu’il le sache. Aussi amère soit-elle, la vérité est que sa femme a perpétré l’attentat en question. Le malheureux veuf entamera ses propres investigations en allant sur les traces du passé inconnu et non moins mystérieux de son épouse. Il assiste impuissant au défilement des vérités cachées. Il est abattu. Yasmina Khadra sait raconter cet abattement, dépeindre l’âme du personnage principal se consumant au fur et à mesure qu’il découvre la face voilée de celle qui fut sa moitié. Yasmina Khadra a publié plus d’une quinzaine de romans.
A l’époque où il fut commandant à l’ANP, il édita de nombreux livres chez l’ancienne ENAL, des livres qui passeront complètement inaperçus à cause de l’absence d’une politique littéraire en Algérie. Parmi les ouvrages publiés sous son vrai nom à l’époque, on citera : Houria, La Fille du Pont, le Privilège du phénix.
Quand Yasmina Khadra décide de mettre fin à sa carrière militaire, il connaîtra le vrai succès en éditant d’abord une trilogie policière. Le roman, qui le sortira définitivement de l’anonymat, est : A quoi rêvent les loups ? Depuis la sortie de cette fiction qui raconte les années du terrorisme en Algérie, Yasmina Khadra sera salué par la critique à chacune de ses nouvelles productions. “Les Agneaux du seigneur”, “l’Ecrivain”, “l’Imposture des mots”, “Les Hirondelles de Kaboul”, “La Part du mort”, “Cousine K.”, et récemment “L’Attentat” sont des romans qui ont connu un triomphe retentissant dans toute l’Europe grâce aux traductions dont ils ont bénéficié.
Au début, Yasmina Khadra parlait de l’Algérie et de sa crise, notamment celle du terrorisme, mais depuis “Les Hirondelles de Kaboul”, Yasmina Khadra s’attaque à d’autres sujets comme le conflit israélo-palestinien.
Par La depeche de Kabylie