The age of Adaline

[Wyoming]

Quand les femmes étaient élégantes et la vie plus lente ...

Bref, le pitch
Après un accident qui aurait dû lui être fatal, la belle Adaline cesse de vieillir. Aujourd'hui, bien qu'ayant vécu près de huit décennies, elle est toujours âgée de 29 ans. Après avoir mené une existence solitaire afin de ne jamais révéler son secret, une rencontre fortuite avec le philanthrope et charismatique Ellis Jones, va raviver sa passion de la vie et de l'amour.

[Takanagi-K]

************

[Wyoming]

Peut-être mais j'ai bien aimé la lenteur qui s'en dégage et la façon dont la "vieillesse" de la femme transparaît à travers son langage.
Maintenant il a des défauts, notamment l'absence d'explication probante à la fin, l'histoire d'amour ne m'a pas semblé crédible (pas d'alchimie entre les 4 acteurs ... et la présence de Harrison Ford.

Pour The man from earth, l'histoire est beaucoup plus crédible mais je n'ai pas réussi à accrocher avec ce type de narration, qui m'a semblé trop "statique" (à défaut d'un autre terme plus cinématographique).

[Takanagi-K]

************

[Wyoming]

Je ne suis pas réfractaire aux huis clos mais il ne m'a pas marquée ... si tu me demandais là maintenant ce que j'en ai retenu, ben à part cette narration, pas grand chose.
La forme a primé sur le fond (certainement ce que cherchait le réalisateur?), Un peu comme si la linéarité était là pour s'opposer à l'immortalité du personnage.

[Takanagi-K]

************

[Wyoming]

Puis il se rend compte de la nécessité de la religion, de la croyance en tant que repère.

J'en suis de plus en plus convaincue.

Il fait marche arrière et c'est à la toute fin que son collègue et ami (plus ardent opposant dans le débat) se rend compte qu'il est en fait son fils, crise cardiaque.

C'est à ça qu'on doit s'attendre quand on regarde du fantastique / SF ... "supension of disbelief".