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Festival Films Berbères

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  • Festival Films Berbères

    Quelque cinq longs métrages, neuf documentaires et pas moins d'une quinzaine de courts-métrages sont de la partie dans cette deuxième édition.

    Deux distinctions sont promises : un Grand prix du festival pour les longs métrages, un Prix du meilleur film pour les documentaires et les courts-métrages. Pour rassembler les films qui vont concourir, il a fallu faire un choix parmi près de 150 films. Selon les organisateurs du festival, "le comité de sélection a privilégié des réalisations singulières et atypiques, afin de permettre au public de découvrir à la fois la culture berbère, sa langue mais aussi les enjeux que traverse l'histoire du peuple amazigh".

    À noter qu'à cette sélection, s'ajouteront des films hors compétition, dont Timbuktu d'Abderrahmane Sissako, L’Oranais et Mascarades de Lyes Salem, L'Affaire Matteï et Chronique d’une mort annoncée du réalisateur italien Francesco Rosi, à qui le festival a décidé de rendre hommage.

    Le Point Afrique.

    "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
    Socrate.

  • #2
    azul Afelak el familia,

    j ai été au hasard vers la fin de la 5eme min, il n'a pas l'accent kabyle quand il lit

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    • #3
      Wach Elissar ?

      Azul,

      Ce n'est pas du kabyle, ou c'est du kabyle libyen si tu veux. Cela s'appelle tanefusit, de la région de Nefousa.

      Et puis, ça existe du kabyle sans accent kabyle.


      Tamagit (identité) court-métrage de Azro Magora & Hammou Hasnaoui.

      "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
      Socrate.

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      • #4
        Une très belle sélection, j'aurais bien aimé en voir certains.

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        • #5
          Oui Jasmyne,

          Apparemment même le jury était épaté. Alors que les organisateurs avaient prévu deux distinctions, les membres du jury ont dû créer un troisième prix (un prix spacial), tellement ils avaient du mal à départager les films.

          Les prix:

          "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
          Socrate.

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          • #6
            Et puis, ça existe du kabyle sans accent kabyle.
            lol oui ça doit donner comme moi si j’essaye de le parler

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            • #7
              Pas que toi, Elissar...et puis cela est un bon signe pour une langue; cela veut dire qu'elle est diffusée et qu'elle est parlée au-delà de ses fiefs.


              Un parmi les films sélectionnés; Aghrabou d'Ahmed Baidou.

              "Le film raconte le quotidien des habitants dans un village côtier du sud du Maroc, où les habitants recherchent comme partout la paix et la sérénité. Le film se compose principalement, de trois histoires qui se développent et se croisent autour de la même thématique : militer contre l’humiliation et l’injustice d’Amghar (le conseiller du chef du village) et ses hommes". Amazighnews.

              "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
              Socrate.

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              • #8
                pas évident pour certaine prononciation ! ( et pourtant j ai essayé lol ), en réalité c'est plus facile à entendre que de la parler pour un non berberophone : )


                le film me semble interessant, s'il y a full version, let me know !

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                • #9
                  Azul El Familia

                  La vidéo du film Aghrabou
                  Est magnifique je reconnait Mirleft
                  C'est la region des berbères de Ait Baamaran
                  Dont certains villages fantôme sont nombreux.
                  Ce n'est pas loin de Sidi Ifni d'ou la révolte des habitants
                  Ils sont délaissé par l'état un manque important d'infrastructures et pourtant Nass dial Ait Baamaran ont combattu contre les Espagnols
                  De grand guerrier Amazight mais
                  Depuis
                  Ils ont tous pour la plupart fuit les campagnes pour la ville
                  Merci pour ce partage
                  Ça fait plaisir de voire la richesse cinématographique des films Amazight
                  Dernière modification par fadwasoussya, 19 juin 2015, 10h08.

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                  • #10
                    Festival Films Berbères
                    Quelque cinq longs métrages, neuf documentaires et pas moins d'une quinzaine de courts-métrages sont de la partie dans cette deuxième édition.

                    Deux distinctions sont promises : un Grand prix du festival pour les longs métrages, un Prix du meilleur film pour les documentaires et les courts-métrages. Pour rassembler les films qui vont concourir, il a fallu faire un choix parmi près de 150 films. Selon les organisateurs du festival, "le comité de sélection a privilégié des réalisations singulières et atypiques, afin de permettre au public de découvrir à la fois la culture berbère, sa langue mais aussi les enjeux que traverse l'histoire du peuple amazigh".

                    À noter qu'à cette sélection, s'ajouteront des films hors compétition, dont Timbuktu d'Abderrahmane Sissako, L’Oranais et Mascarades de Lyes Salem, L'Affaire Matteï et Chronique d’une mort annoncée du réalisateur italien Francesco Rosi, à qui le festival a décidé de rendre hommage.

                    Ce sera chouette, je ne connais pas (sauf l'affaire Matteï et chronique d'une mort annoncée), il faudrait que je prenne le temps...

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                    • #11
                      Sba7 el Khir


                      Il y a quelques années, lors du festival du film à Cannes, j'avais assisté à la projection des films kabyles (heureusement qu'il y avait les sous titres ) nous avions aussi rencontré les réalisateurs, et à la fin on a eu droit à un concert très animé du chanteur Idir.

                      Ce n’était pas dans le cadre compétitif mais ils avaient reçu de bonnes critiques. Tout ça pour dire que le film berbère a fit un long chemin pour mériter son festival.
                      Il n’y a rien de noble à être supérieur à vos semblables. La vraie noblesse, c'est être supérieur à votre moi antérieur.
                      Hemingway

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