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Hommage à Dahmane El Harrachi
Hommage à Dahmane El Harrachi
Le chantre de la morale est éternel
Pour la même occasion, la Maison de la Presse Tahar Djaout (Alger) a abrité, hier, une conférence de presse animée par Abdelkader Bendâamache, chercheur, musicologue et chef de Département Musique au niveau du Commissariat d’ «Alger, capitale de la culture arabe 2007», Nordine Lardjène, directeur de la diffusion, de la production culturelle et artistique au niveau du ministère de la culture, Kamel Amrani fils du défunt ainsi que le chanteur Hamidou.
Il convient de relever que la date de cet hommage n’est pas choisie au hasard car elle coïncide à quelques jours près, l’inauguration de l’événement culturel de l’année, en l’occurrence « Alger, capitale de la culture arabe 2007». Prenant la parole, Kamel El Harrachi a exprimé sa fierté d’être le digne fils de son père. Il dira, en outre «27 ans après sa mort, je continue à écouter ses chansons par tout au monde et c’est extraordinaire». Et d’ajouter « il m’a laissé quelques chansons que personne n’a chanté. Ce sont quatre nouvelles chansons que notre génération ne connaît pas. Je compte les inclure dans mon prochain album, avec quelques reprises». Rappelant les chefs d’œuvres que l’artiste a laissés derrière lui, Hamidou a, pour sa part, mis en exergue le programme de la soirée qu’il estime à la fois de «souple et riche». L’ouverture de la soirée se fera avec la troupe Zorna «El Afrah» qui sera suivie par la projection de «Saha Dahmane», un film documentaire de 52 mm sur Dahmane El Harrachi, réalisé quelques mois avant sa mort dans un tragique accident de la route à Alger en 1980. Ensuite, c’est au tour de Yacine Ouabed, jeune parolier et auteur de plusieurs chansons, chantées par de nombreux artistes algériens, de réciter trois textes de Dahmane El Harrachi. Sous la houlette du maître Zerrouk Mokdad, l’orchestre national du chaabi interprétera une touchia «jambar Sika». Puis, c’est au tour de Salah Dziri d’interpréter quelques chansons du défunt maître. Hassiba Abderraouf qui n’est autre que la fille de l’un des meilleurs amis du défunt artiste interprétera une chanson hawzi. Toujours pour la même occasion, Rabah Oussadit un jeune prodige âgé de 17 ans interprétera avec la Derbouka trois chansons du défunt maître.
Il y aura, par ailleurs, El Hadj cheikh Nordine qui a eu, rappelons le, le deuxième rôle dans le film consacré à la vie du défunt artiste. La soirée sera clôturée avec Kamel El Harrachi ainsi que Mme Khalida Toumi qui rendront un vibrant hommage au défunt maître, rendu éternel par ses chansons moralisatrices. De son côté, Nordine Lardjène a souligné le lancement de l’enregistrement du patrimoine musical algérien de 1901 jusqu’aux années 1970, sous forme de films documentaires, de coffrets, de CD et de livres portant la biographie des artistes ainsi que les textes de leurs chansons «qu’on va trouver chez les disquaires et les librairies à des prix raisonnables avant la fin de l’année en cours», a-t-il indiqué, en rappelant que «l’opération concerne en première tranche quelques 200 artistes». Et ce «dans le but de sauvegarder le patrimoine de la chanson algérienne», a précisé Lardjène.
Le chantre de la morale est éternel
Pour la même occasion, la Maison de la Presse Tahar Djaout (Alger) a abrité, hier, une conférence de presse animée par Abdelkader Bendâamache, chercheur, musicologue et chef de Département Musique au niveau du Commissariat d’ «Alger, capitale de la culture arabe 2007», Nordine Lardjène, directeur de la diffusion, de la production culturelle et artistique au niveau du ministère de la culture, Kamel Amrani fils du défunt ainsi que le chanteur Hamidou.
Il convient de relever que la date de cet hommage n’est pas choisie au hasard car elle coïncide à quelques jours près, l’inauguration de l’événement culturel de l’année, en l’occurrence « Alger, capitale de la culture arabe 2007». Prenant la parole, Kamel El Harrachi a exprimé sa fierté d’être le digne fils de son père. Il dira, en outre «27 ans après sa mort, je continue à écouter ses chansons par tout au monde et c’est extraordinaire». Et d’ajouter « il m’a laissé quelques chansons que personne n’a chanté. Ce sont quatre nouvelles chansons que notre génération ne connaît pas. Je compte les inclure dans mon prochain album, avec quelques reprises». Rappelant les chefs d’œuvres que l’artiste a laissés derrière lui, Hamidou a, pour sa part, mis en exergue le programme de la soirée qu’il estime à la fois de «souple et riche». L’ouverture de la soirée se fera avec la troupe Zorna «El Afrah» qui sera suivie par la projection de «Saha Dahmane», un film documentaire de 52 mm sur Dahmane El Harrachi, réalisé quelques mois avant sa mort dans un tragique accident de la route à Alger en 1980. Ensuite, c’est au tour de Yacine Ouabed, jeune parolier et auteur de plusieurs chansons, chantées par de nombreux artistes algériens, de réciter trois textes de Dahmane El Harrachi. Sous la houlette du maître Zerrouk Mokdad, l’orchestre national du chaabi interprétera une touchia «jambar Sika». Puis, c’est au tour de Salah Dziri d’interpréter quelques chansons du défunt maître. Hassiba Abderraouf qui n’est autre que la fille de l’un des meilleurs amis du défunt artiste interprétera une chanson hawzi. Toujours pour la même occasion, Rabah Oussadit un jeune prodige âgé de 17 ans interprétera avec la Derbouka trois chansons du défunt maître.
Il y aura, par ailleurs, El Hadj cheikh Nordine qui a eu, rappelons le, le deuxième rôle dans le film consacré à la vie du défunt artiste. La soirée sera clôturée avec Kamel El Harrachi ainsi que Mme Khalida Toumi qui rendront un vibrant hommage au défunt maître, rendu éternel par ses chansons moralisatrices. De son côté, Nordine Lardjène a souligné le lancement de l’enregistrement du patrimoine musical algérien de 1901 jusqu’aux années 1970, sous forme de films documentaires, de coffrets, de CD et de livres portant la biographie des artistes ainsi que les textes de leurs chansons «qu’on va trouver chez les disquaires et les librairies à des prix raisonnables avant la fin de l’année en cours», a-t-il indiqué, en rappelant que «l’opération concerne en première tranche quelques 200 artistes». Et ce «dans le but de sauvegarder le patrimoine de la chanson algérienne», a précisé Lardjène.
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