La saga Le Parrain Francis Ford Coppola ce soir sur Arte

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Arte-Chaîne de Télévision Culturelle Franco-Allemande
La saga Le Parrain Francis Ford Coppola, ce dimanche soir dès
20h45 sur Arte

Publié le
5 févr. 2017 à 18:02

A l'occasion de la diffusion du troisième et dernier volet de la saga Le Parrain, ce dimanche soir dès 20h45 sur Arte, CINE EN QUESTIONS. Nous allons vous faire une proposition que vous ne pourrez pas refuser. A savoir vous parler du Parrain, film culte de Francis Ford Coppola, diffusé ce dimanche dès 20h45 sur Arte. Prêts ? Ça parle de Marlon Brando ?Francis Ford Coppola
1. Une fin moins violente que prévue
A l'origine, Francis Ford Coppola souhaitait faire mourir Michael Corleone (alias Al Pacino) à la fin du Parrain 3, lors d'une fusillade sanglante devant une église. Le film devait d'ailleurs s'intituler La mort de Michael Corleone. Mais jugé spoilant (et surtout trop violent) par la production, le titre fut abandonné. Il en fut de même pour la mort brutale de Michael Corleone, qui finalement n'arrivera que bien des années plus tard dans le récit.En 1972, Francis Ford Coppola signe un chef d’œuvre absolu : Le Parrain, adaptation du roman éponyme de Mario Puzo sorti en 1969, et qui a donné naissance à l'un des personnages les plus cultes du septième art : Don Corleone, incarné par l'immense Marlon Brando. Mais saviez-vous que l'acteur était loin d'être le favori pour le rôle ? En effet, quand Francis Ford Coppola a évoqué le nom de Brando pour incarner Vito Corleone, les studios de la Paramount ont dit... Non ! En cause ? La mauvaise réputation de Marlon Brando sur les tournages. Devant l’insistance du réalisateur, les studios ont fini par accepter que Brando passe une audition. La légende raconte que Coppola a alors fait passer un (faux) "test maquillage" à Brando. Ce dernier s’est mis du cirage sur les cheveux et du coton à l’intérieur des joues, car il voulait que le personnage ressemble à un bulldog. Il a allumé un cigare et a commencé à marmonner. Don Corleone était né. Mais d'ailleurs, si le film est adapté d'un roman, Vito Corleone a-t-il réellement existé ? Découvrez la réponse, et bien d'autres infos encore dans notre ciné en questions consacré au Parrain.

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Ce soir sur ARTE soirée à l'actrice française Leslie Caron

Ce soir sur ARTE soirée à l'actrice française Leslie Caron

Les aventures de Gigi, jeune demi-mondaine, dans le Paris de la Belle Époque... Une fastueuse comédie musicale signée Vincente Minnelli, avec Leslie Caron et Maurice Chevalier.

Paris à la Belle Époque. Élevée par sa grand-mère, Mme Alvarez, et sa grand-tante Alicia, Gigi est une adolescente malicieuse dont le destin semble tout tracé : elle sera femme galante. Gaston Lachaille, neveu d’Honoré, ancien séducteur qui a conservé des relations amicales avec Mme Alvarez, vient souvent rendre visite aux deux dames. Gaston est séduit par le charme juvénile de la jeune fille qui le sauve de l’ennui de sa vie, pourtant bien remplie de succès amoureux et de richesses. Il rompt sa relation avec Liane d’Exelmans et invite Gigi et sa grand-mère à passer une semaine aux bains de mer…Happy musical"Chant du cygne du producteur Arthur Freed et de la comédie musicale à la MGM, Gigi se distingue avant tout par la mise en scène aérienne de Minnelli et la touche raffinée de Cecil Beaton aux costumes et aux décors, très inspirés. Durant la première moitié du film, chaque séquence appelle un décor nouveau, l’appartement rouge de Gigi constituant une pause dans cette ronde effrénée. Rétro avant l’heure, Minnelli décrit avec une ironie attendrie mais sans illusion un mode de vie à la fois frivole et cruel, dont la disparition totale rend caduc le procès qu’on pourrait vouloir lui faire. Les parties chantées sont magnifiques. La séquence "I Remember it well", où Maurice Chevalier et Hermione Gingold évoquent le passé devant le crépuscule rose de la plage de Trouville, est l’une des plus belles de toutes. Non seulement le passé y est embelli, sacralisé par la mémoire et le souvenir, mais le présent à son tour semble basculer dans ce passé, dans le rêve imprécis et nostalgique des personnages, comme s’il était aspiré par la force contagieuse de cette douce mélancolie" (d’après le Dictionnaire du cinéma, Éd. Robert Laffont).

Générique
Auteur :Colette
Image :Joseph Ruttenberg
Montage :Adrienne Fazan
Musique :Frederick Loewe
Production :MGM, Arthur Freed Production
Producteur/-trice :Arthur Freed
Réalisation :Vincente Minnelli
Scénario :Alan Jay Lerner

Avec : Leslie Caron
Maurice Chevalier
Louis Jourdan
Hermione Gingold
Eva Gabor
Jacques Bergerac
Isabel Jeans
John Abbott
Pays :Etats-Unis
Année :1958
Origine :ARTE F