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Omar Gatlato

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  • Omar Gatlato

    Bonsoir

    Omar, qu'on surnomme "gatlato" à cause de ses attitudes "redjla" (on dit que la "radjla" le tue, "gatlato" er-radjla, d'ou "gatlato" est un jeune banlieusard qui habite une cité du Climat de France, sur les hauteurs de Bab-el-Oud. Omar travaille au service de fraudes. Parfois il effectue des missions de répression contre les trafiquants d'or et de bijoux: le plus souvent il participe au contrôle routinier des bijouteries. Omar Gatlato a une grande passion pour la musique: il possède une Minicassette et son passe-temps favori consiste à enregistrer des chansons chaabi au cours des soirées, ou à se rendre dans les cinémas ou passent des films hindous pour en enregister les chansons… Un soir, de retour d'une veillée dans un mariage, il est agressé par un groupe de voleurs qui lui dérobent sa minicassette. La perte de cet appareil va constituer une rupture brutale dans le quotidien tranquille de Omar. Moh Smina, un de ses copains, mi-fonctionnaire, mi-trafiquant, va lui procurer une nouvelle minicassette que Omar pourra payer en facilités. Il lui offre en prime une cassette vierge… Ce soir-là entrant en possession de l'appareil, Omar Gatlato, contrairement à tous ses copains ne reste pas longtemps au cercle du Mouloudia. Enfermé dans sa chambre, Omar essaie l'appareil. En enclenchant la cassette "vierge" que lui a fourni Moh Smina, Omar entend une voix, une voix de jeune fille qui dit quelques paroles…

    Fiche technique :

    Réalisation : Merzak ALLOUACHE
    Année: 1976
    Chef opérateur : Smail LAKHDAR HAMINA
    Format: 35 mm
    Chef monteuse: Moufida TLATLI
    Procédé : Couleur EASTMANCOLOR
    Musique : Ahmed MALEK
    Scénario : Merzak ALLOUACHE
    Durée : 1h 30mn
    Interprétation : Boualem BENNANI, Aziz DEGGA, Farida GUENNANECHE.
    Avec le chanteur Abdelkader CHAOU

    Un film qui me rappelle les années 1970.

  • #2
    Je me souviens avoir vu ce film sur ARTE, la qualité d'image de lacopie était excellente. Si je m'en souviens en particulier c'est que d'habitude tous les film Algérien qu'on nous passe sont d'une qualité très mauvaise (ça vous baisse le moral...) Je ne sais pas d'ailleurs si le DVD du film est comme ce que j'ai vu à la télé ou est-ce une copie baclée comme c'est souvent le cas...

    Sinon, ça plonge vraiment dans l'ambiance des années 70 (je ne la connais pas de souvenir), le système Algérien, l'immobilisme etc...

    Pour ce qui de GATLATO, je pensais que c'est GATLATO (elle l'a tuée) la fille dont il est en quelque sorte amoureux...à l'Algérienne bien sûr

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    • #3
      durée 1h 28 mn

      Omar Gatlatou ( roujla )

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      • #4
        réplique :

        "Guaa labnat i3achqou fi hadaq loubnani bou lahya"...

        La musique du film est pas mal...

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        • #5
          mdrrrrrrrrrrr j'adore ce film mon pére et moi on aime trop le regardé ensemble sa lui rapelle sa jeunesse et moi sa me permet de le charier sur leur look pat edeph et col pelle a tarte
          « Ça m'est égal d'être laide ou belle. Il faut seulement que je plaise aux gens qui m'intéressent. »
          Boris Vian

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          • #6
            alors , on attend fritta qu'elle s'inspire de safia elli 3acheqa fe boulahya le lebanais


            safia l'amoureuse du barbu libanais

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            • #7
              Bonsoir

              Merci sensib

              @ lilha
              Moi aussi j'adore ce film car il me rapelle beucoup de souvenirs.

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              • #8
                J'ai vu le film sur ARTE il y a dix ans environ, c'est un beau film.
                C'est l'Algérie des années 70, c'était autre chose.

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                • #9
                  MOI SE QUE J AIME C EST DANS LA FETE DU MARIAGE EN VOIE LA TETE DE AZIOUZ RAIS JEUNE QUI DANCE SOUS LA MUSIQUE DE CHAOU

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                  • #10
                    Bonjour

                    Merzak Allouache

                    Né en 1944 à Alger, Merzak Allouache est formé à l'Institut natio*nal du cinéma de cette même ville. II y rencontre d'autres réalisa*teurs comme Farouk Beloufa, Sid AI[ Mazif et Mohamed Lamine Merbah. Diplômé de l'IDHEC (Paris) en 1967, stagiaire à l'ORTF, il
                    travaille ensuite pour l'Office des actualités algériennes, puis pour le Centre national du cinéma au sein du ministère de l'information et de la Culture. En 1971 et 1972, il est chargé d'une campagne de ciné-bus au moment de la révolution agraire, une expérience qui lui inspire son premier documentaire Nous et la révolution
                    agraire. Deux ans plus tard, il est assistant de Mohamed Slim Riad, pour Vent du Sud.

                    Mais c'est avec son premier film Omar Gotlato (1976), une tranche de vie de quelques jeunes dans un quartier populaire d'Alger; que Merzak Allouache se fait remarquer. Par son ton nouveau, son humour, l'usage alerte du dialecte algérois, le réalisateur dresse le portrait d'un machiste, archétype du jeune méditerranéen, qui n'arrive pas à instaurer une relation normale avec la femme. L'accueil du public algérien est chaleureux, à la mesure de l'emploi par le réalisateur d'une forme narrative faite de connivence. En contre-jour, c'est la société réelle, en proie à l'ennui et à l'aliénation, qui est interpellée par la voix-off du héros. Lors de sa diffusion en 2003, au cours de l'année de l'Algérie, François de la Bretèque écrivait : « Ce premier long-métrage de Merzok Allouache représente un petit miracle. Un quart de siècle a passé et ce film a conservé toute sa fraîcheur. C est un phéno*mène rare dans l'histoire du cinéma ». L'oeuvre, présentée à la Semaine de la Critique en 1977, est explicitement comparée aux grands films néoréalistes. « J'ai choisi de parler de l'Algérie vécue ou quotidien, où il n'était plus question de colonialisme, mais plutôt de savoir ce qu'on allait faire de ce pays et de sa jeunesse », déclare le réalisateur lorsqu'il évoque ses débuts. Son film suivant, Les Aventures d'un héros (1977), est décliné sur un mode beaucoup plus ludi*que, tandis que L'Homme qui regardait les fenêtres (1982) est le portrait presque strindbergien d'un bibliothécaire devenu fou. En l'espace de quelques longs-métrages originaux et très différents, Merzak Allouache devient l'un des cinéastes leaders de l'Afrique du Nord.
                    Le cinéaste séjourne en France où il réalise son quatrième long-métrage, Un amour à Paris (1983). Il retrouve l'Algérie en 1988 secouée par les émeutes d'octobre. Merzak Allouache réalise alors, à titre personnel, des films documentaires pour rendre compte de la nouvelle situation induite par le soulèvement de la jeunesse algérienne. Il sillonne le pays, recueille des témoignages sur la tortu*re, des interviews de militants politiques, dévoile les revendications féminines... L'Après Octobre, L Algérie en démocratie et Femmes en mouvement témoignent de ce travail de fond sur la socié*té civile. En 1993, Merzak Allouache amorce un retour à la « fiction » avec Bob El-Oued City. Tourné en Algérie en pleine crise politique et monté en France, le film est une évocation brillante de la situation troublée de cette période. II est présenté à Cannes dans la section Un Certain Regard.
                    Salut cousin !, présenté lui aussi au festival de Cannes, mais dans la Quinzaine des Réalisateurs, sort en 1996. L'histoire met en scène deux cousins maghrébins à Paris, l'espace de quelques jours. Un jeune Algérien venu en France pour faire du trabendo (petit commerce de contrebande) et un beur, immigré de la seconde génération.
                    Après un documentaire pour Arte (Vie et mort des journalistes algériens) et plusieurs téléfilms, le réalisateur revient au cinéma en 2001 avec L'autre Monde. L'année suivante, il pousse son ami Gad Elmaleh, rencontré sept ans plus tôt sur le tournage de Salut Cousin !, à transposer sur grand écran l'un des personnages de son one-man-show, le travesti romantique Chouchou, dans une comédie dont il assure la mise en scène. Fidèle à ce registre, Merzak Allouache, renoue avec ses racines pour diriger en 2004 le trio Faudel, Samy Naceri et Julie Gayet dans Bab El Web, un film léger avec en toile de fond, les rencontres via Internet en Algérie.

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                    • #11
                      Que de bons souvenirs de cette periode....je me rappele que certains garcons de notre quartier ont Joues quelques petits roles de figurants dans certaines scenes. C'etaient nos heros ......ceci avant la projection...car le jour de sortie du film...la majorite n'ont pas apparues dans le film....WAHD LAHCHOUMA YA KHOUTI!!! Hahahahahah!!!

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                      • #12
                        Mon film algerien préféré
                        d'une subtilité...d'une originalité remarcable!

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                        • #13
                          alors fritta tu t'inspiré de safia elli 3acheqa fe boulahya le lebanais pour écrir souad bent diar chems ?


                          safia l'amoureuse du barbu libanais

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                          • #14
                            J'adore la scene ou on appelle omar parce qu'un etranger regarde trop les fenetres
                            Quand on n'a rien à dire, il vaut toujours mieux citer un vieux proverbe chinois.
                            Proverbe chinois

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