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L’avocat de la terreur, le film documentaire sur Jacques Vergés, de l’Allemand Berbet Schnoëder a été projeté avant hier à la salle l’Algeria...
On l’a classé, le film le plus fascinant du Festival de Cannes 2007. Selon certains, c’est l’un des plus puissants et l’un des plus importants documentaires depuis “Le chagrin et la pitié” de 1969,Comme le chef d’œuvre de Marcel Ophuls,”L’Avocat de la terreur” réduit en cendres sur son passage un demi-siècle d’idées reçues, de jugements hâtifs et de platitudes morales. Un documentaire passionnant et une réflexion totalement inédite sur les prémisses d'une réalité tout à fait contemporaine à laquelle personne n'échappe aujourd'hui.
Communiste, anticolonialiste, d’extrême droite ? Quelle conviction guide Jacques Vergès ?
Barbet Schroeder mène l’enquête pour élucider le « mystère ».
Au départ de la carrière de cet avocat énigmatique : la guerre d’Algérie et Djamilah Bouhired, la pasionaria qui porte la volonté de libération de son peuple. Le jeune homme de loi épouse la cause anticolonialiste, et la femme. Puis disparaît huit ans. À son retour, Vergès défend les terroristes de tous horizons (Magdalena Kopp, Anis Naccache, Carlos) et des monstres historiques tels que Barbie.
D’affaires sulfureuses en déflagrations terroristes, Barbet Schroeder suit les méandres empruntés par « L’avocat de la terreur », aux confins du politique et du judiciaire.
Le cinéaste explore, questionne l’histoire du « terrorisme aveugle » et met à jour des connexions qui donnent le vertige.
''J’aurais pris la défense de Hitler et de Bush s’ils auraient plaidé coupable''
L’avocat de la terreur, le film documentaire sur Jacques Vergés, de l’Allemand Berbet Schnoëder a été projeté hier à la salle l’Algeria. Le long métrage de 2h15 minutes est alimenté de témoignages sur le parcours de Vergés, l’ex-époux de Djamila Bouhired. La disparition de cet avocat sur la scène politique et publique depuis 1972 à 1978, comme en témoignent les politiques et ses amis, dont Boumaâza, Magdalena Kopp, Klaus Barbie, le terroriste international Carlos, des journalistes français et allemands, d’historiens et autres, suscita un grand intérêt chez le cinéaste qui réalisa son portrait. Le documentaire rapporte des images et des témoignages montrant la relation de Vergès avec le terroriste international Carlos et son épouse Magdalena. Il montre aussi, les étapes qui se sont déroulé, lors de l’accord pris pour défendre l’amie de Carlos suite à son arrestation pour acte terroriste, dans l’attentat qu’ils avaient organisé, en 1982 en France. Dans un passage, Vergès qui a pris la défense de terroristes célèbres dont témoigne "L’avocat de la terreur", dira : "Il y a quelqu’un qui m’a dit: “Si Hitler était vivant, est ce que vous auriez pris sa défense ? J’ai dit : je prendrais même la défense de Bush s’il plaide coupable".
- La depeche de Kabylie
On l’a classé, le film le plus fascinant du Festival de Cannes 2007. Selon certains, c’est l’un des plus puissants et l’un des plus importants documentaires depuis “Le chagrin et la pitié” de 1969,Comme le chef d’œuvre de Marcel Ophuls,”L’Avocat de la terreur” réduit en cendres sur son passage un demi-siècle d’idées reçues, de jugements hâtifs et de platitudes morales. Un documentaire passionnant et une réflexion totalement inédite sur les prémisses d'une réalité tout à fait contemporaine à laquelle personne n'échappe aujourd'hui.
Communiste, anticolonialiste, d’extrême droite ? Quelle conviction guide Jacques Vergès ?
Barbet Schroeder mène l’enquête pour élucider le « mystère ».
Au départ de la carrière de cet avocat énigmatique : la guerre d’Algérie et Djamilah Bouhired, la pasionaria qui porte la volonté de libération de son peuple. Le jeune homme de loi épouse la cause anticolonialiste, et la femme. Puis disparaît huit ans. À son retour, Vergès défend les terroristes de tous horizons (Magdalena Kopp, Anis Naccache, Carlos) et des monstres historiques tels que Barbie.
D’affaires sulfureuses en déflagrations terroristes, Barbet Schroeder suit les méandres empruntés par « L’avocat de la terreur », aux confins du politique et du judiciaire.
Le cinéaste explore, questionne l’histoire du « terrorisme aveugle » et met à jour des connexions qui donnent le vertige.
''J’aurais pris la défense de Hitler et de Bush s’ils auraient plaidé coupable''
L’avocat de la terreur, le film documentaire sur Jacques Vergés, de l’Allemand Berbet Schnoëder a été projeté hier à la salle l’Algeria. Le long métrage de 2h15 minutes est alimenté de témoignages sur le parcours de Vergés, l’ex-époux de Djamila Bouhired. La disparition de cet avocat sur la scène politique et publique depuis 1972 à 1978, comme en témoignent les politiques et ses amis, dont Boumaâza, Magdalena Kopp, Klaus Barbie, le terroriste international Carlos, des journalistes français et allemands, d’historiens et autres, suscita un grand intérêt chez le cinéaste qui réalisa son portrait. Le documentaire rapporte des images et des témoignages montrant la relation de Vergès avec le terroriste international Carlos et son épouse Magdalena. Il montre aussi, les étapes qui se sont déroulé, lors de l’accord pris pour défendre l’amie de Carlos suite à son arrestation pour acte terroriste, dans l’attentat qu’ils avaient organisé, en 1982 en France. Dans un passage, Vergès qui a pris la défense de terroristes célèbres dont témoigne "L’avocat de la terreur", dira : "Il y a quelqu’un qui m’a dit: “Si Hitler était vivant, est ce que vous auriez pris sa défense ? J’ai dit : je prendrais même la défense de Bush s’il plaide coupable".
- La depeche de Kabylie