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Cannes, "le Bleu du Caftan" film Marocain primé

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  • Cannes, "le Bleu du Caftan" film Marocain primé


    Projeté en avant-première mondiale à Cannes, dans la sélection officielle «Un Certain regard», «Le Bleu du caftan» de Maryam Touzani a reçu le Prix de la Critique Internationale.

    Nouvelle consécration pour le cinéma marocain.


    Le film de la réalisatrice Maryam Touzani, « Le Bleu du caftan » vient de remporter le Prix de la Critique Internationale (FIPRESCI) du Festival de Cannes. C'est la première fois que le Maroc remporte cette récompense internationale à Cannes.

    « Le Bleu du caftan » a été projeté en première mondiale jeudi 26 mai et a reçu un très bel accueil avec une standing ovation de plus de 15 minutes.

    Produit par Nabil Ayouch et co-produit par Amine Benjelloun, « Le Bleu du Caftan" est un long-métrage poignant, qui parle de transmission, de tradition et d'amour, au sens le plus large du terme.




    Synopsis:



    Dans la médina de Salé, au Maroc, ce sosie sexy d’Edwy Plenel (le Palestinien Saleh Bakri) est le dernier artisan à perpétuer un savoir-faire traditionnel dans l’assemblage et la broderie de tuniques. (Ad Vitam)

    Broderie dans un film tout en délicatesse, ­Maryam Touzani dépeint un ­triangle d’amours ­contrariées.

    Penché sur une généreuse pièce de tissu bleu pétrole, un couturier tend une paire de ciseaux à son apprenti en lui pointant la petite marge qui sépare la ligne de découpe et le patron du caftan qu’il devra assembler. «C’est le centimètre du mâalem», dit le maître artisan. C’est dans cette bande étroite que Halim mène sa vie. Dans la médina de Salé, au Maroc, ce sosie sexy d’Edwy Plenel (le Palestinien Saleh Bakri) est le dernier artisan à perpétuer un savoir-faire traditionnel dans l’assemblage et la broderie de tuniques. Tandis qu’il passe ses journées affairé en silence dans l’arrière-boutique, sa femme, Mina, douche avec splendeur les petits caprices de la bourgeoisie marocaine peu habituée aux délais qu’impose le travail manuel. Tout irait pour le mieux si Halim n’aimait pas les hommes et si Mina n’était consumée par un cancer hors de contrôle. Si le désir de Halim n’était pas déconnecté de l’amour qu’il porte à Mina.






    .


    J'ai hâte qu il sorte en salle....à suivre

    .






  • #2
    qui parle de transmission, de tradition
    a savoir ce qu'il s'y dit sur la transmission

    Commentaire

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