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Yasmina Khadra voit rouge

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  • #31
    Zwina

    tu vois, tout le monde le connait

    Citoyen, vous jouez au rami?

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    • #32
      >>>Citoyen, vous jouez au rami?

      Oui mais bon c'est un jeu de hasard, à la belotte je le réduits en miettes, mais questions littéraires, aucune chance.

      Ce type lui manque tout de même une case, ne sait-il pas que le plus grand succès pour un écrivain est d'être lu le plus possible. Qu'en a t-il à faire d'une médaille en chocolat ?

      L'estime qu'il avait gagné jusqu'ici sera certainement égratiné.

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      • #33
        Zyriab

        Sauf que ceux qui le connaissent ne lui consacrent pas autant de posts que toi et surtout restent honnêtes tel Citoyen :

        Oui mais bon c'est un jeu de hasard, à la belotte je le réduits en miettes, mais questions littéraires, aucune chance.
        citoyen : Ce type lui manque tout de même une case, ne sait-il pas que le plus grand succès pour un écrivain est d'être lu le plus possible. Qu'en a t-il à faire d'une médaille en chocolat ?
        Rien cela est certain vu son talent mais comme tout artiste il a besoin de la reconnaissance. Il est sujet à de nombreuses critiques aujourd'hui non pas à cause de ses livres (car nul ne peut nier qu'il a une belle plume) mais à cause du Centre culturel algérien où il a choisit de relever un défi qui est loin d'être évident. Tout le monde sait que lorsque l'on est au Centre culturel algérien, à Paris pourtant, nous sommes en territoire algérien. Il est interdit depuis toujours d'y critquer le pouvoir algérien et d'aller contre sa volonté, Khadra a cru qu'il pouvait changer cela sauf que les critiqueurs sont nombreux et les soutiens rares pour comprendre ce qu'il se passe en coulisse.


        Zyriab : je te met au défi de parler tel que tu le fais sur FA de la même façon FACE à Khadra. Je le connais tellement bien que je peux même prétendre t'organiser un RDV avec lui que je suis certaine il ne refusera pas surtout après avoir lu tes écrits
        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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        • #34
          excusez moi tout le monde, j'aimerai juste savoir : Yasmina Khadra est un homme ??

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          • #35
            Insomniak Bonjour.

            Yasmina Khadra s'appelle de son vrai nom Mohamed Moulessehoul,

            Voilà son site officiel (un petit résumé Biographique)



            Ça c'est pour Zyriab
            “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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            • #36
              No comment

              L'imprévisible....

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              • #37
                Zyriab : je te met au défi de parler tel que tu le fais sur FA de la même façon FACE à Khadra. Je le connais tellement bien que je peux même prétendre t'organiser un RDV avec lui que je suis certaine il ne refusera pas surtout après avoir lu tes écrits
                Qui ne connais-tu pas donc, chère Zwina? Tu le connaitrais aussi bien que tu le prétends, je t'assure que tu n'aurais pas tant de verve à le défendre!
                Mais, c'est une juste et logique chose, de ta part, chère Zwina, de défendre toujours à l'aveugle....

                Quoi qu'il en soit, la chose à retenir de l'article initialement prétexte à ce débat qui s'est transformé en MOI ZWINA QUI SAIT TOUT, est qu'aujourd'hui les langues se délient autour du personnage Khadra.

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                • #38
                  L'imprévisible

                  C'est justement l'interview dont je parlais avec Karim Sarroub.
                  Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

                  Commentaire


                  • #39
                    Zyriab

                    Quoi qu'il en soit, la chose à retenir de l'article initialement prétexte à ce débat qui s'est transformé en MOI ZWINA QUI SAIT TOUT, est qu'aujourd'hui les langues se délient autour du personnage Khadra.
                    La chose surtout à retenir c'est qu'il a bien les mains liées par le pouvoir algérien et qu'il est pourtant à Paris. Quant à moi qui sait tout, la video confirme mes propos car la polémique sur son rôle au centre culturel algérien vient bien de l'interview avec Karim Sarroub. Quant aux langues qui se délient autour de Khadra, cela aurait été n'importe qui d'autres cela aurait été pareil car les choses se sont toujours passées ainsi au centre culturel algérien.
                    Dernière modification par zwina, 04 novembre 2008, 11h31.
                    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                    • #40
                      boudiouuu ! même les ecrivains et nos intellectuels propagent de fausses informations. dans la première video, khadra, chevalier et preu defenseur des faibles, nous dit que les arabes sont les traducteurs des grecs, les inventeurs de si de ça...

                      mais quand feront nous enfin la part des choses ? ce sont pas les arabes les inventeurs, mais des peuples issus du monde musulman. ceux qu'on dit "arabe" sont en réalité des intellectuels perses, syriens, palestiniens, bagdadi, turc et kurdes ! les arabes de la peninsule arabique ont été très minoritaires dans les apports scientifiques et les inventions de cette époque, en très grande majorité c'était des commerçants, des caravaniers ou des guerriers faisant la rezzou pour survivre ! les intellos se trouvaient en syrie (liban et palestine confondu), en irak, en egypte, en perse.

                      quand est-ce que ce genre d'intellectuel va faire un effort pour expliquer les choses, pour que nos jeunes arrêtent de fantasmer sur cette civilisation arabe qui en a que le nom, et qui en réalité est une civilisation musulmane, regroupant une confederation de peuples allant du maghreb jusqu'à l'inde !

                      faut arreter de revasser et s'atteler à dire des faits scientiques prouvables, faut faire des bibliotheques partout sur le territoire national afin d'apporter la lumière là où il y a qu'ombre et confusion !

                      nos jeunes n'ont pas à avoir honte de leurs origines, à envier ou a heroiser un peuple qui en réalité etait fait de commerçants et de guerriers à l'épée. nous devrions envier un peu plus la civilisation iranienne, indienne ou irakienne, egyptienne, mais pourquoi toujours preter à la peninsule arabique un rôle qu'elle n'a jamais joué ?

                      la dernière fois que les arabes ont réalisés quelque chose de valable c'était à l'époque de la "reine de saba" !! (plus l'intermede du prophete mohamed mais qui est d'une autre nature).

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                      • #41
                        Yasmina khadra et l'oppositin

                        Dans un entretien paru en France: Yasmina Khadra charge l'opposition
                        par L'un De Nos Correspondants A Paris: S. Raouf
                        «Ma probité intellectuelle n'est pas négociable».

                        Ainsi s'exprimait, au soir de décembre 2007, dans les colonnes du Quotidien d'Oran, l'écrivain Yasmina Khadra. Nommé quelques semaines plus tôt à la tête du Centre culturel algérien - institution officielle s'il en est -, l'ancien officier de l'armée pestait, à l'époque, contre ceux qui l'accusaient d'avoir troqué son statut de contestataire contre un costume de «diplomate assimilé».

                        Dans une interview accordée de fraîche date à l'Humanité, l'auteur de «Ce que le jour doit à la nuit» (Julliard) se livre à une critique au mortier. Recueillis à la veille du 54e anniversaire du 1er Novembre 1954, ses propos sont du genre à lui valoir une réplique enflammée de la «famille révolutionnaire».

                        Sur le ton de «L'indépendance confisquée», le témoignage écrit par Ferhat Abbas au soir de sa vie, l'écrivain n'y va pas de main morte. «L'indépendance n'a pas tenu sa promesse de partage», tonne-t-il. A l'origine de son feu nourri contre le bilan de l'Algérie post-indépendance une question du journal communiste.

                        Quel lien fait Yasmina Khadra entre la page coloniale et la tragédie des années 1990 ? «Je ne peux pas dire que le colonialisme est responsable des dérives que connaît l'Algérie d'aujourd'hui. C'est surtout la désillusion, l'immense déception qui a conduit ce pays dans le cauchemar. Le seul trait commun entre l'Algérie coloniale et l'Algérie contemporaine est peut-être l'inégalité».

                        Propos rarement sinon jamais entendus dans la bouche d'un responsable nommé par un acte officiel (décret ou arrêté), les mots du directeur du CCA vont en s'embrasant. «La nomenklatura, les apparatchiks, le népotisme ont permis le brutal enrichissement d'une minorité, tandis que la majorité est restée à croupir dans la misère».

                        «Du coup, poursuit le directeur-écrivain sur sa lancée, les Algériens n'ont pas eu le sentiment d'appartenir à une nation. A leurs yeux, le colonialisme n'a fait que changer de tête. A la place de monsieur Pierre est venu monsieur Mustapha».

                        Cette évolution a «fragilisé la nation» au risque de l'exposer « à n'importe quel vent de colère». L'islamisme, qui a soufflé violemment sur le pays dans les années 1980 et 1990, «n'est rien d'autre qu'un immense vent de colère qui s'est engouffré dans les esprits, emportant des jeunes, parfois admirables, sur les sentiers de la perdition».

                        «Aujourd'hui encore, les jeunes ne comprennent pas qu'un pays aussi riche que l'Algérie puisse produire des pénuries, des carences, des exclusions, une bureaucratie paralysante, une corruption tentaculaire. Et c'est incompréhensible», dit l'auteur de «Ce que le jour doit à la nuit».

                        Saluant l'»opposition authentique» et les «engagements véritables» qui s'étaient érigés contre l'intégrisme au début des années 1990, Yasmina Khadra déplore l'essoufflement actuel. «Avec le temps, cette ferveur, cette volonté, cette résistance se sont effilochées». La raison tient au fait que les forces qui portaient le combat anti-islamiste «se sont diluées à leur tour dans la prédation». Autant que le pouvoir, l'écrivain assène un violent coup contre «ce qu'on appelle aujourd'hui « opposition en Algérie »». Celle-ci, accuse-t-il, est «constituée de prédateurs, qui pensent que les partis ne servent pas à défendre des idées, mais à assurer une rente aux membres de leurs bureaux politiques. D'un seul coup, toutes les voix se sont tues. C'est qu'on ne parle pas la bouche pleine».

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                        • #42
                          ".........D'un seul coup, toutes les voix se sont tues. C'est qu'on ne parle pas la bouche pleine». "
                          il oublie la reaction du peuple , indifferant jusqu'a la prochaine explosion.
                          "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

                          Commentaire


                          • #43
                            Et il oublie, qu'il est et qu'il était le premier à l'ouvrir sa bouche pour faire des critiques, et qu'aujourd'hui, pleine du pouvoir du CCA il se tait!

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                            • #44
                              Et ça continue...............;



                              Absence inexpliquée de Yasmina Khadra


                              L’actuel directeur du Centre culturel algérien de Paris serait pris par des « engagements ». Son dernier roman Ce que le jour doit à la nuit, paru en France et réédité par Sédia en Algérie, s’est bien vendu. Ce roman serait l’un des rares « grands livres » de la rentrée littéraire en France, selon l’hebdomadaire Paris Match.



                              D’après Naïla Bouchareb de Sédia, éditeur et importateur, filiale du groupe français Hachette, les romans de Yasmina Khadra se sont bien vendus. Anouar Benmalek et Malika Mokkedem sont également des auteurs demandés. Les collections se vendent moins bien. Qu’en est-il des prix ? « Des lecteurs se préparent pour le Salon et mettent de côté un petit budget », dira-t-elle. Sédia, qui commercialise également des ouvrages scolaires, n’a pas mis dans ses rayons de nouvelles publications. « Il faut laisser du temps aux ouvrages qu’on édite. Cela ne sert à rien d’éditer sans promouvoir les ouvrages », précise Naïla Bouchareb. Mohamed Bouslah, dessinateur et artiste peintre, lui, ne se plaint pas de l’adaptation en bande dessinée du polar de Yasmina Khadra Le dingue au Bistouri (paru aux éditions Laphomic en 1990).
                              « C’était un pur hasard. J’ai aimé l’écriture de Yasmina Khadra. Ecriture imagée, facile à lire. On aime ou on n’aime pas. Je voulais adapter en bande dessinée ce roman où il fait naître le personnage du commissaire Llob avec beaucoup de description. Chose qui n’a pas été faite dans Morituri. Je l’ai contacté il y a trois ans au Salon du livre, et il accepté sans condition le projet », explique-t-il entre des signatures de son album paru aux éditions Lazhari Labter. Le romancier lui a parlé d’un autre livre La Foire aux enfoirés, édité en Algérie, et lui a proposé de l’adapter en BD. « Je suis en train de chercher ce livre que je n’ai pas encore trouvé. Je suis intéressé par la proposition », avoue-t-il. Pour cet album, Mohamed Bouslah a reçu le troisième prix, la Bulle de bronze au Festival international de la bande dessinée d’Alger (FIBDA). Mohamed Bouslah regrette de n’avoir pas vu le film Morituri, censuré. Le film n’a été projeté qu’une seule fois à Alger. Il faut, selon lui, encourager les jeunes à faire de la BD et sortir de la culture de « la bakara el haloub » (la vache laitière” !).
                              Le jeune Tewfik Bendaoud, lui, est en colère contre le jury qui a attribué les prix littéraires Sila 2008. Ce reporter-photographe a édité, à compte d’auteur, un beau livre sur le monde arabe cultures et civilisations, cédé à 5000 DA au Salon. « J’ai remis un exemplaire au jury parce que je répondais aux critères. On m’a empêché de participer au motif que le livre est imprimé en France et on m’a dit que l’ouvrage doit être édité en Algérie. Il ont confondu imprimer avec éditer. Mon livre a reçu un dépôt légal et un ISBN algériens, donc édition algérienne. Je ne comprend pas le refus », se plaint-il. Selon lui, Les Cinq fragments du désert de Rachid Boudjedra, retenu par le jury dans sa sélection, a été imprimé en France. « Il y a deux poids, deux mesures », dénonce-t-il.
                              Tewfik Bendaoud envisage de produire un autre beau livre sur la Méditerranée. Boubekeur Zemal marque sa colère à sa manière : il ne dédie à personne son petit livre de proses, Fawattin (attirances), publié par les éditions Barzakh. « Je raconte ma vision de l’amour des femmes. C’est une expérience d’écriture, avec des phrases courtes et simples visant à rapprocher l’idée de l’amour des esprits avec toutes formes. Il y a peu de narration dans mon texte. C’est une forme de chronique », explique-t-il. Boubekeur Zemal a eu une expérience presque similaire en 2007 avec Iyarat hob (calibres d’amour). Aux éditions Chihab, le sociologue Nacer Djabi vient de publier Algérie Etat et élites. « C’est un ensemble de textes sur les couches moyennes, les partis, les mouvements sociaux, les élections.
                              C’est une tentative de comprendre ce qui s’est passé en Algérie comme destruction et terrorisme. J’ai voulu dire que la clef de compréhension peut être l’hétérogéneité de l’élite et pas forcément la situation socio-économique. Une élite marquée par une certaine segmentarité entre arabophones et francophones. Cela a donné lieu à la sectoralité au niveau de l’Etat », explique-t-il. Cet Etat s’est transformé, selon lui, en un assemblage de secteurs selon le segment de l’élite. Dans un stand collectif offert à sept petites maisons d’édition, le jeune Houari Bessol de Média-sport présente la dernière version du Guide du foot-ball au Maghreb, des manuels élaborés par Makhlouf Chettouhi paru aux éditions A livre ouvert, ainsi que des affiches pédagogiques sur les oiseaux et les poissons d’Algérie confectionnées par Silem Salah. Ses affiches, assez originales, sont cédées à 180 DA.
                              Ali Harb, Ali Gresh, Youssef Fadel et les autres
                              Au chapitre des nouveautés, les éditions APIC de Karim Chikh viennent de publier Impérialisme humanitaire de l’universitaire belge Jean Bricmont et Nettoyage ethnique de l’historien israélien Ilan Pappe (qui vit presque en exil en Grande-Bretagne). Les éditions Média-Plus de Yassine Hanachi ont choisi de faire redécouvrir la littérature marocaine, avec la réédition du premier roman du dramaturge Youssef Fadel, Haschish et un essai du critique littéraire Abdelfattah Kilito, Tu ne parleras pas ma langue. Média-Plus ont réédité aussi Palestine 1947, un partage avorté des journalistes français Alain Gresh et Dominique Vidal. Les éditions El Ikhtilef de Bachir Mefti et Assia Moussai ont opté pour la philosophie avec la co-édition, avec Arab Scientific publishers qui basé à Beyrouth, d’un essai du libanais Ali Harb La compromission des contraires, et du français Jacques Derida L’unicité linguistique de l’autre.




                              Par Faycal Metaoui

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                              • #45
                                peut etre que c'est un gourmet qui ne se connais pas.passer des rations alimentaires militaires (cinq cinq)a la cuisine française .dure d'ouvrir le bec des fois que le camenbert lui echappe
                                "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

                                Commentaire

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