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Définition d’Arabe

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  • vous pouvez pas vous ignoré un peu
    c'est la voix de la sagesse même, c'est ce que je vais faire car ça aboutit à rien...

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    • TMSN, peut-être que les Banu Hilal ne les trouvaient pas si belles qu'on le dit les femmes Berberes.

      Banu Hilal ©
      Par contre pour l'humour il faudra repasser c'est pas encore ça.

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      • moi je pense qu'il faut aller au delà de ces vieilles identités "ethniques" et basées sur la langue , pour passer à l'identité nationale , car c'est la seule qui a un sens aujourd'hui , officiellement il n'existent que des pays , il faut donc s'identifier à un pays et lui etre fidèle , et pas s'identifier à une sorte d'identité bidon , basée sur une langue et une soit disant origine ethnique datant du moyen age ... si j'étais autochtone d'un pays qu'on appelle l'arabie , alors là je me dirais arabe et je défendrais mon identité arabe, mais comme je suis autochtone de l'algérie je me dis algérien et je défends mon algérianité, c'est simple , non ?

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        • s'ils veulent préserver leur pays et protéger son unité et sa cohésion, les algériens devront éviter de se considérer comme des arabes ou comme des amazighs ou toute autre identité moyen-ageuse , et se considérer en premier lieu comme des algériens , le reste vient bien après . car finalement si on commence à s'identifier à des origines datant du moyen age et d'avant , alors on n'est pas sorti de l'auberge , nous sommes tous un mélange (meme ceux qui se prennent pour de purs amazighs comme les kabyles ou les chaouis sont en fait un mélange), ça ne sert à rien de perdre son temps à essayer de déterminer qui est d'origine quoi , ce qui compte aujourd'hui c'est que nous sommes tous algériens et c'est ça l'identité à laquelle il faut nous accrocher et que nous devons défendre.

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          • Sarutobi,
            ce n'était pas de l'humour, certains dont toi accepte une comparaison entre l'immigration récente kabyle en france, et celle des banu hilal en afrique du nord. Tout d'abord y'a comme un vide chronologique entre les deux phénomènes, et si on peut aisément associer les kabyles de france/us/libanais aux algériens, c'est quasiment impossible pour les banu hilal & les régions saoudiennes, il n'y a plus de "banu hilal aoc" en dzrie

            peut-être que les Banu Hilal ne les trouvaient pas si belles qu'on le dit les femmes Berberes.
            Comme si ils se faisaient livrer leurs femmes en flux tendu Ils se sont serré des femmes locales, étaient en petit nombre relativement, et aujourd'hui sont fondus dans la population. Ils parlent jerja.
            A croire que c'est parce que :
            - que les hilal viennent d'arabie,
            - les algériens parlent une langue +/- ressemblante
            - et une infime partie de ceux-ci comporte dans son ascendance quelques immigrés arabes
            que cela fait d'eux des arabes et justifiera presque l'arabité de l'algérie entière... O_o
            C'est faux, et les rêves politiques n'y changeront rien

            comme des amazighs ou toute autre identité moyen-ageuse , et se considérer en premier lieu comme des algériens
            les amazighs ne sont pas des fossiles merci et c'est à l'état de revoir sa définition de l'algérianité, pas à moi de changer ma veste pour faire zizir à je ne sais pas qui
            Dernière modification par TMSN, 04 mai 2009, 10h11.

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            • @tmsn

              Donc, en gros, les algériens qui se considèrent comme étant arabes, soit une bonne partie de la population du pays, sont invites a se reformater, et même que vous leur avez préparé un moule tout prêt !

              C'est cela le programme ?
              "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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              • Donc, en gros, les algériens qui se considèrent comme étant arabes, soit une bonne partie de la population du pays, sont invites a se reformater, et même que vous leur avez préparé un moule tout prêt !
                Lol...
                C'est le gouvernement dz qui doit changer ses manières, et les "algériens" se retrouveront tous dans l'algérianité, plus personne ne précisera amazigh(chawi, wahrani, kabyle...) ou arabe
                Plus de moule

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                • gens qui sont européens (ethniquement) et qui parlent arabe
                  Peux tu me dire qu'est ce que tu entends dire par ethniquement!?
                  Et il y a difference entre parler Arabe et avoir Arabe pour langue mere.
                  un kabyle née en france reste un kabyle
                  S'il a pour langue mere le Français il est Français et non Kabyle,exemple: le footbaleur Zinedine Zidane
                  Comme si ils se faisaient livrer leurs femmes en flux tendu Ils se sont serré des femmes locales, étaient en petit nombre relativement, et aujourd'hui sont fondus dans la population. Ils parlent derdja.
                  Ya t'il des Arabes au monde qui ne parlent pas leur ''daridja''?
                  La population de l'Afrique du nord est constituee de personnes descendantes du brassage de plusieurs ethnies qui sont arrivees par differents flux migratoires a travers l'histoire humaine.
                  Grossomodo,il y a ceux venus d'Afrique sub-saharienne portant le haplotype (E)et ils forment
                  la majorite,mais sont extincts ethniquement(=langue mere) en s'assimilant.
                  Il y a ceux venus du moyen orient portant le haplotype (J)Berberes puis Arabes et formeraient 35-40% et sont encore presents ehniquement(=langue mere).
                  Et ceux venus d'Europe et portant le haplotype (R),5-10%et se sont aussi extincts ethniquement.
                  C'est aussi simple que ça.
                  Pour ceux qui maitrisent l'Anglais ils peuvent lire le texte en bas(surtout les places en gras)
                  Biensur il y a d'autres populations mais moins importantes numeriquement.


                  http://www*geocities*/therapeuter200...dispersal.html
                  1/Afro-Asiatique
                  An even more interesting connection between PIE and PAA is Bomhard’s 318 "Proto" roots. According to the above revised version of the phonetic constituents, Bomhard found 318 roots of both proto-languages that had almost exact correspondence in both sound and meaning. This is some of the evidence that leads him to conclude that
                  Indo-European and Afroasiatic bear a stronger affinity, both in their phonological systems and in their vocabularies, than could possibly have been produced by accident–so strong, indeed, that no linguist could examine them without believing them to have sprung from a common source. (1984:2)
                  The presence of Afroasiatic speakers in North Africa is due to successive waves of expansion from the Near East, each representing a contemporary form of post-Afroasiatic. In the earliest phase, the language may have been close to contemporary Indo-European, having the same SOV syntactic order inherited from Nostratic, and presumably much the same morphology, but already exhibiting the characteristic Afroasiatic feminine in t, which seems to be peculiar to this family. This wave, with its early Nostratic language, must have represented the first flush of Mesolithic influence in Africa, preceding the advent of the agricultural Neolithic in that region. It extended as far as the Ethiopian highlands and the Chad Basin to the Northwest of them, but there bogged down after converting the local African peoples to Nostratic speech as represented by the Cushitic, Omotic, and Chadic speakers of today… It is probable that the Cushitic and Omotic languages still retain traces of early Nostratic morphology…
                  “Later Southward waves of Afroasiatic speakers occurred at times when the old SOV pattern had changed – or was in process of changing – to the historically observed VSO pattern, accounting for the Berber and Old Egyptian speakers, the Semites of Syria, Palestine, Arabia, and Ethiopia, and eventually the Arabic expansion of the present era.
                  Thus, the diversity of the Cushitic and Omotic languages is not due to their speakers’ occupying the original homeland of Afroasiatic expansion,but simply to the fact that these languages represent remnants of early Afroasiatic extended to its Southernmost extreme and evolving in relative isolation from currents of change in the major part of the Afroasiatic speaking world. There is a parallel situation in Northeastern Siberia, where such highly differentiated languages as Gilyak and Chukchi have evolved in isolation from their relatives in the rest of Siberia…” (p. 158 - 59).
                  The evolution of the Afroasiatic family is then similar to that of the Sinic: as the proto-language spread outward from a center, the outwardmost extensions of the language, being the earliest to depart from the ancestral center, was the most conservative and the most preservative of the elements of the ancestral language, while the language-form of the ancestral homeland went through so much radical changes that the descendant, modern-day form in the area of the ancestral homeland looks hardly like anything of the proto-language.

                  The Afroasiatic family is special here in being the most divergent from the rest of Nostratic and consequently “has some features that seem to be peculiar and ancient. These include the feminine in t, the second-person pronominal affix k, and perhaps the prefix conjugation of the verb. It may be that Afroasiatic represents a transitional form between a local (Caucasic) version of Dene-Caucasian and the rest of Nostratic, properly speaking. In this sense, Afroasiatic could indeed be the ‘oldest’ of the Nostratic families…” (p. 159).4
                  “…I conclude that the syntactic structure of the simple sentence in the earliest Nostratic, and probably much of the ancestral Dene-Caucasian as well, was undoubtedly SOV” (p. 159).

                  The Nostratic focal expansion, the third "out of Near East", is thus: beginning at 15,000 BP, a local Dene-Caucasian village south of Caucasus began to expand as the Mesolithic expansion. It split into proto-Afro-Asiatic at the west and the ancestral group of the rest of the Nostratic at the east. (Or the alternative interpretation that the local Dene-Caucasian subgroup split into the proto-Afro-Asiatic on the west and the Nostratic proper on the east.) The proto-Afro-Asiatics have been identified by archaeologists with the Natufians in the territories of Syria and Palestine. “Judging solely from their lexicon, it appears that the Natufians were relatively advanced: they built fortified structures from stone; they cultivated land, raised cattle and hunted with bow and arrow… The Natufians also developed a market system, evident in the existence of words for buy, sell, and price, and they waged war on (kih) and raided (ghwar) their neighbors. Prehistoric poets – or perhaps lawyers – were known for their ability to ‘draw magic signs on sand.’ [Compare these with the emblems the Yang-Shao peoples carved on their potteries.] There were even Natufian haves and have-nots: the rich, who owned w-s-r, or expensive things; those who s-r-kk, or stole; and others made a living by pawning stolen goods…” (Shevoroshkin, ibid., p. 23 – 4.) These proto-Afro-Asiatics, whose linguistic state was still that of general Nostratic (or late Dene-Caucasian subgroup locally), the SOV type, then during their first wave of expansion covered up all of Syriac/ Arabic/ Palestine area and all of North Africa, from the tip of Somalia at the east to the west coast of North Africa. These new colonizers of Africa were of caucasian surface-phenotype; and as their tribes encountered the native Africans, genetic admixtures took place with the natives contributing the major part to the genetic constitution of their common descendants and the new comers the minor part. In linguistic respect however the colonizers had the upperhand, converting native Africans to their Afro-Asiatic speech while the native tongues of North Africa were lost in the process. This is similar to the manner in which the (nuclear) genetic composition of the Ethiopians, for example, was constituted, which constitution however may have been the result of a slow process of admixture since the first wave but not completed until historical times,5 and which consists in a majority of African frequencies plus a minority of Caucasian, reflecting an original mixture of a majority of native Africans with a minority of Caucasians.6 Then a second wave of Afro-Asiatic expansion exploded from the Palestine-Syriac center (the Afro-Asiatic "homeland"), probably for reasons associated with the genesis of agriculture, which would locate this expansion at about 10,000 BP. The new expansion into North Africa again virtually covered up the entire area of the first Afro-Asiatics' north African settlement. By this date, 5000 years after, the Afro-Asiatic dialect in the center ("homeland") had already evolved into the VSO structure recognized today as characteristic of it, seen most conspicuously in the Semitic (e.g. Arabic and Hebrew). Most of the North African speakers of Afro-Asiatic dialects who were descended from the first wave were converted to the speech of the new Afro-Asiatic colonizers, their languages being lost from history. Those Afro-Asiatic dialects from the first wave that survived are located on the periphery: the Cushitic, the Omotic and the Chadic. (See the genealogical tree above left.) The genealogy shows that during the possibly 5,000 years before the second expansion the Afro-Asiatic language field of North Africa had first split into a western dialect, whose modern descendant is the Chadic group, and an eastern dialect, which then split into its western Omotic and eastern Cushitic groups.7 The second wave split into the western Berber groups8 and the eastern Egyptian, which configuration persisted into historic times. Within the central ("homeland") region, there must have been a third, Semitic expansion to cover up a large portion of the Near East and Arabia. The latest Afro-Asiatic expansion, that of the Arabs from the Arabian peninsula ca. 600 A.D., again intruded into North Africa to convert the Egyptian and many of the Berber speakers to the Arabic language. Thus focal expansion occurred repeatedly just within the Afro-Asiatic family itself.
                  Dernière modification par humanbyrace, 04 mai 2009, 12h15.
                  يا ناس حبّوا الناس الله موصّي بالحبْ ما جاع فقير إلا لتخمة غني¡No Pasarán! NO to Fascism Ne olursan ol yine gel

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                  • ETHNIE: Groupement humain qui possède une structure familiale, économique et sociale homogène et dont l'unité repose sur une communauté de langue et de culture.

                    (c) Larousse.
                    S'il a pour langue mere le Français il est Français et non Kabyle,exemple: le footbaleur Zinedine Zidane
                    Cette logique appliquée nous donnerait ceci:

                    Les enfants de noirs nés en Amérique sraient des américains... donc peut être des blancs!

                    Non, l'éthnie n'est pas déterminée pas la langue maternel: Un turc né en allemagne est peut être citoyen allemand, un kabyle né en France est vraissemblablement citoyen français.

                    Mais dans les deux cas, il reste que le Turc est Turc et le Kabyle est kabyle....

                    L'exemple de Zidane est simple (tout comme la ministre Fadela Amara): nés en France, citoyens français... culturellement vraissemblablement proches des français... mais nul anthropologue s'aventurerait à dire qu'ils ne sont pas kabyles.

                    Tenez, je parle et écris l'anglais surement mieux que l'immense majorité des anglophones... au point où tout le monde crois que je suis né parmi eux: Mais ça ne fait pas de moi un anglais ni américains: je suis kabyle car qu'on le veuille ou nom, je reste membre du groupe humain qui se définit comme kabyle !
                    Dernière modification par Avucic, 04 mai 2009, 12h22.
                    L'homme parle sans réféchir...Le miroir réfléchit sans parler!

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                    • Voila la traduction Française depuis google:

                      Un lien encore plus intéressant entre l'AAP et PIE est Bomhard la 318 "Proto" racines. Selon la version révisée de la phonétique électeurs, 318 Bomhard trouvé les racines de ces deux proto-langues qui n'avaient presque exacte correspondance dans les deux sons et de sens. Il s'agit d'une partie de la preuve qui l'amène à conclure que
                      Indo-européen et afroasiatiques supporter une plus forte affinité, à la fois dans leurs systèmes phonologiques et dans leurs vocabulaires, que pourrait avoir été produit par accident si forte, en effet, que le linguiste ne peut les examiner sans croire à leur ont surgi d'une source commune . (1984:2)
                      La présence d'orateurs afroasiatiques en Afrique du Nord est due à des vagues successives de l'expansion du Proche-Orient, dont chacun représente une forme contemporaine de l'après-afroasiatiques. Dans la première phase, la langue de mai ont été contemporains à proximité de indo-européenne, ayant le même ordre SOV syntaxiques héritées de Nostratic, et probablement à peu près la même morphologie, mais présentant déjà les caractéristiques afroasiatiques féminin en t, ce qui semble être propre à cette famille. Cette vague, avec ses premières Nostratic langue, doivent être représentés de la première chasse de Mesolithic influence en Afrique, avant l'avènement de l'agriculture néolithique dans cette région. Elle s'est élargie dans la mesure où l'Ethiopie et le Tchad au bassin du Nord-Ouest d'entre eux, mais il s'enlise, après la conversion des populations locales africaines au discours Nostratic représentée par le couchitiques, Omotic et Tchadique orateurs d'aujourd'hui ... Il est probable que le couchitiques Omotic langues et conservent des traces des premiers Nostratic morphologie ...
                      »Plus tard vers le sud des vagues de afroasiatiques orateurs ont eu lieu au moment où l'ancien SOV avait changé - ou était en train de changer - à l'historique observé VSO modèle, de la comptabilité pour le berbère et le Vieux-égyptien orateurs, les Sémites de la Syrie, de Palestine, d'Arabie, et l'Éthiopie, et éventuellement l'expansion arabe de l'époque actuelle. Le sémitique expansions semblent avoir été relativement tardive puisque leurs langues sont moins diversifiées que dans les autres branches. Ceci est en harmonie avec la suggestion que le début ... Indo-Européens et les Sémites étaient voisins dans ou près de l'une fée du Caucase à la fin de période.
                      "Ainsi, la diversité des langues couchitiques Omotic et n'est pas en raison de leur haut-parleurs d'occupation de la patrie d'origine de l'expansion afroasiatiques [le rejet de quelque peu" non conventionnelles "proposition], mais simplement au fait que ces langues représentent des restes de la petite afroasiatiques étendue à son extrême sud et de l'évolution dans un relatif isolement des courants de changement dans la majeure partie de la afroasiatiques saxons. Il ya un parallèle situation dans le nord de Sibérie, où ces langues très différenciés Gilyak Chukchi et ont évolué dans l'isolement de leurs proches dans le reste de la Sibérie ... »(p. 158 - 59).
                      L'évolution de la famille afroasiatiques est alors similaire à celle de la SINIC: comme le proto-langue propagation vers l'extérieur d'un centre, les extensions outwardmost de la langue, qui est la plus ancienne de s'écarter du centre ancestrales, est la plus conservatrice et la plus de conservation des éléments de la langue ancestrale, tandis que la langue de la patrie ancestrale est passé par tant de changements radicaux que le descendant, forme moderne dans le domaine de la patrie ancestrale ressemble guère comme quelque chose de la proto-langue.

                      Le afroasiatiques famille est ici, en particulier d'être les plus différents du reste de Nostratic et, par conséquent, "a des caractéristiques qui semblent être particulière et ancienne. Il s'agit notamment de la femme en t, la deuxième personne pronominal apposer k, et peut-être le préfixe de la conjugaison du verbe. Il mai afroasiatiques que représente une forme de transition entre un réseau local (Caucasic) version de Dénés du Caucase et le reste de Nostratic, à proprement parler. En ce sens, afroasiatiques pourrait en effet être la plus ancienne »de la Nostratic familles ...» (p. 159) .4
                      "... Je conclus que la structure syntaxique de la phrase simple à la plus ancienne Nostratic, et probablement la plus grande partie de l'ancestral Dene du Caucase, ainsi, SOV est sans aucun doute" (p. 159).

                      L'expansion Nostratic focal, le troisième "de Proche-Orient», est donc: à BP 15000, un village déné-caucasiennes du sud du Caucase a commencé à s'élargir à mesure que l'expansion Mesolithic. Il divise en proto-afro-asiatique à l'ouest et le groupe ancestral du reste de la Nostratic à l'est. (Ou l'autre interprétation que le déné-caucasiennes local divisé en sous-groupe de la proto-afro-asiatique sur l'ouest et le Nostratic bon à l'est). Le proto-afro-Asiatics ont été identifiés par les archéologues de l'Natufians dans les territoires de Syrie et Palestine. "Juger uniquement de leur lexique, il semble que les avancées ont été relativement Natufians: ils ont construit des structures de pierre fortifiés, ils cultivaient la terre, le bétail et a soulevé avec la chasse à l'arc ... Le Natufians a également développé un système de marché, manifeste dans l'existence de mots pour acheter, vendre, et le prix, et ils ont mené la guerre sur (KIH) et une descente (ghwar) de leurs voisins. Prehistoric poètes - ou peut-être les avocats - sont connus pour leur capacité à «tirer la magie des signes sur le sable." [Les comparer avec les emblèmes de Yang-Shao peuples gravés sur leurs poteries.] Il ya même des Natufian nantis et les démunis: les riches , qui possédait WSR, ou des choses chères, ceux qui sr-kk, ou volé, et d'autres fait une vie par la mise en gage des biens volés ... "(Shevoroshkin, ibid., p. 23 - 4.) Ces proto-afro-Asiatics, dont linguistique que l'État était encore de Nostratic général (ou à la fin de Dene-caucasienne du sous-groupe local), le type SOV, puis au cours de leur première vague d'expansion a couvert l'ensemble des syriaque et arabe et la Palestine et l'ensemble de la zone Afrique du Nord, de la pointe de la Somalie à l'est de la côte ouest de l'Afrique du Nord. Ces nouveaux colonisateurs de l'Afrique ont été de surface caucasian-phénotype, et que leurs tribus rencontrées natif les Africains, les mélanges génétiques ont eu lieu avec les autochtones qui contribuent à la majeure partie de la constitution génétique de leurs descendants et les nouveaux venus de la partie mineure. En matière linguistique mais les colonisateurs ont eu l'upperhand, la conversion des Africains à leur discours afro-asiatique, alors que la langue maternelle de l'Afrique du Nord ont été perdus dans le processus. Ceci est similaire à la manière dont le (nucléaire) de la composition génétique des Éthiopiens, par exemple, a été constitué, qui cependant constitution mai ont été le résultat d'un lent processus de mélange depuis la première vague, mais pas terminé avant les temps historiques, 5 et qui consiste dans la majorité des pays africains de fréquences en plus d'une minorité de race blanche, ce qui reflète un mélange original de la majorité des Africains natifs avec une minorité de Caucasians.6 Puis une deuxième vague d'afro-asiatique a explosé expansion de la Palestine-syriaque centre (le afro-asiatique "patrie"), probablement pour des raisons liées à la genèse de l'agriculture, de localiser ce qui serait l'expansion à environ 10000 BP. La nouvelle expansion en Afrique du Nord à nouveau pratiquement couvert la totalité de la zone de la première Afro-Asiatics' Afrique du Nord règlement. À cette date, 5.000 ans après, le dialecte afro-asiatique dans le centre ( «patrie») avait déjà évolué dans la structure VSO aujourd'hui reconnu comme une caractéristique de celui-ci, apparaît le plus notablement dans le sémitique (par exemple, en arabe et en hébreu). La plupart des orateurs de l'Afrique du Nord de l'afro-asiatique des dialectes qui étaient les descendants de la première vague ont été convertis à la parole de la nouvelle afro-asiatique des colonisateurs, leurs langues sont perdues de l'histoire. Les afro-asiatique, les dialectes de la première vague qui ont survécu sont situés à la périphérie: la couchitiques, le Omotic et la Tchadique. (Voir l'arbre généalogique ci-dessus à gauche). La généalogie montre que, éventuellement, au cours de l'année 5000 avant la deuxième expansion de la langue afro-asiatique, le terrain de l'Afrique du Nord a d'abord divisé en un dialecte de l'ouest, dont le moderne est le descendant Tchadique groupe, et de l'est dialecte, qui a scindé en ouest et l'est de Omotic couchitiques groups.7 La deuxième vague divisé en berbère de l'Ouest et l'Est groups8 égyptien, qui a persisté dans la configuration historique fois. Dans le central ( «patrie»), la région, il doit y avoir eu un troisième, sémitiques expansion de couvrir une grande partie du Proche-Orient et en Arabie. La dernière expansion afro-asiatique, que des Arabes de la péninsule arabique ca. AD 600, de nouveau pénétré dans l'Afrique du Nord à convertir l'Egypte et de nombreux intervenants de l'berbère à la langue arabe. Ainsi, l'expansion s'est produite à maintes reprises focal seulement au sein de la famille afro-asiatique lui-même.
                      يا ناس حبّوا الناس الله موصّي بالحبْ ما جاع فقير إلا لتخمة غني¡No Pasarán! NO to Fascism Ne olursan ol yine gel

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                      • Cette logique appliquée nous donnerait ceci:

                        Les enfants de noirs nés en Amérique sraient des américains... donc peut être des blancs!

                        Non, l'éthnie n'est pas déterminée pas la langue maternel: Un turc né en allemagne est peut être citoyen allemand, un kabyle né en France est vraissemblablement citoyen français.

                        Mais dans les deux cas, il reste que le Turc est Turc et le Kabyle est kabyle....

                        L'exemple de Zidane est simple (tout comme la ministre Fadela Amara): nés en France, citoyens français... culturellement vraissemblablement proches des français... mais nul anthropologue s'aventurerait à dire qu'ils ne sont pas kabyles.

                        Tenez, je parle et écris l'anglais surement mieux que l'immense majorité des anglophones... au point où tout le monde crois que je suis né parmi eux: Mais ça ne fait pas de moi un anglais ni américains: je suis kabyle!
                        Mais de quoi se mele la couleur de peau de la personne dans sa langue mere et culture,on parle de culture et non de pigmentaion de la peau qui ne compte en rien.
                        Mais quelle anthroplogie!?existe t'il des genes Kabyles Arabes ou Turcs!!??
                        (disons que Zidane a fait un test genetique et il s'est avere qu'il porte le haplotype sub-saharien[E] ou celui Europeen[R]qu'est ce que cela impliquerait ou changerait de la donne culturelle!?)
                        Je parle de langue mere et self identification pas de langues parlees.
                        L'idee est que toute la population du monde est originaire de migrations successives et continues dans le temps d'une part du monde vers une autre.
                        cad le Français de ''souche''lui meme est peut etre descendant d'un ancien Berbere ou Arabe ou Proto-berbere ou Semite ou Celte ou Polonais etc etc...
                        Donc ce qui compte est la culture et non les ''genes''cad la langue mere et l'auto identification actuelle de la personne en question precisement.
                        Dernière modification par humanbyrace, 04 mai 2009, 12h29.
                        يا ناس حبّوا الناس الله موصّي بالحبْ ما جاع فقير إلا لتخمة غني¡No Pasarán! NO to Fascism Ne olursan ol yine gel

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                        • certains dont toi accepte une comparaison entre l'immigration récente kabyle en france, et celle des banu hilal en afrique du nord.

                          Faux


                          Si la lignée paternelle est respectée l'Algérien de la n-ième génération est Arabe.
                          Dernière modification par Invité, 04 mai 2009, 21h20.

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                          • humanbyrace,

                            je suis de langue mère française (et maîtrise aussi la langue arabe),


                            "Français" est la dernière "ethnie" dont je revendiquerais l'appartenance. Votre discours de tient pas la route.
                            Dernière modification par Invité, 04 mai 2009, 21h30.

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                            • Mais dans les census a caractere ethnique c'est la langue mere qui sert de critere pour le recensement.
                              Mais evidemment chaque personne peut avoir sa propre conception pour sa propre auto-identification ethnique,parlant sur une echelle individuelle.
                              Dernière modification par humanbyrace, 04 mai 2009, 22h51.
                              يا ناس حبّوا الناس الله موصّي بالحبْ ما جاع فقير إلا لتخمة غني¡No Pasarán! NO to Fascism Ne olursan ol yine gel

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                              • TMSN, peut-être que les Banu Hilal ne les trouvaient pas si belles qu'on le dit les femmes Berberes
                                L'autre fois, en mettant la chaîne Art, je suis tombé sur le championnat Saoudien et il y'avait une présentatrice en compagnie du présentateur ( Noir de type yamanite)...franchement en supposant, que les saoudien n'ont pas vraiment changé ethniquement (voir les théories des anthropologues)...j'aurais même pris une tunisienne si j'étais un bénou hillal de hadak el wakt.

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