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Définition de berbère

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  • #16
    LA definition d'un bérbère?
    Le berbère est un arabe du 21em siècle..
    ca c'est sure, pour le monde entier, tout ce qui vient du sud de la mediterané, est soit arabe ou africain.
    S'il n'est pas noir, c'est qu'il est arabe avec des nuuances de couleur, c'est comme cela que le monde voit l'Afrique.
    .

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    • #17
      Nous sommes majoritairement de souche berbère
      Le haplotype majoritaire en Afrique du nord est le haplogoupe "E" subsharaien et non "J" moyen oriental.
      يا ناس حبّوا الناس الله موصّي بالحبْ ما جاع فقير إلا لتخمة غني¡No Pasarán! NO to Fascism Ne olursan ol yine gel

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      • #18
        Le haplotype majoritaire en Afrique du nord est le haplogoupe "E" subsharaien et non "J" moyen oriental.
        http://upload.wikimedia.org/wikipedi...plogroup_E.png
        c'est ça oui , et nous sommes majoritairement des noirs aussi , stp évite de trop vouloir brouiller les pistes à chaque fois .
        les cartes génétiques comme celle que tu as présenté ne sont que pour un gène en particulier , or nous en avons des milliers (de gènes), un seul gène n'est pas représentatif de la composition génétique d'une population ou des affinités génétiques entre différentes populations , tu peux avoir d'autres cartes comme ça pour d'autres gènes et ça donnerait des distributions et des affinités génétiques complètement différentes, pour avoir une carte crédible sur les degrés de parenté génétique entre différentes populations il faut faire des analyses sur TOUS les gènes et comparer les différentes populations sur tous les gènes..
        Dernière modification par awtul, 05 mai 2009, 23h27.

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        • #19
          Imagine une population "noire" isolee(par le sahara)et qui reçoit sans arret des flux migratoires du moyen orient et d'Europe ça donne l'actuel population maghrebine.
          Si tu remarques bien,la ou la concentration du haplogroupe(E)est la plus importante(Mauritanie et sud-ouest Maghreb)il y a une majorite de couleur de peau mate,et vice versa la ou ce haplogroupe(E)a une concentration moins importante(nord du Maghreb)
          يا ناس حبّوا الناس الله موصّي بالحبْ ما جاع فقير إلا لتخمة غني¡No Pasarán! NO to Fascism Ne olursan ol yine gel

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          • #20
            l'algérie doit éviter de se définir comme un état ethnique ou religieux , et se baser sur l'universalité .
            il faut arreter ce genre de considérations comme "pays arabe" "pays musulman" ..etc , ça n'a aucun sens, ça ne fait qu'exclure les algériens qui ne se considèrent pas arabes , ou qui ne sont pas musulmans.
            le pays doit se définir par des considérations géographiques , et non ethniques,
            et pour la langue officielle il faut que ça soit la langue que le peuple parle , c'est à dire l'arabe dialectal algérien , et le tamazight qui englobe les variétés algériennes de cette langue.
            les pays qui réussissent ne se définissent pas par des critères ethniques ou religieux , ils se définissent simplement par leur position géographique et reconnaissent l'égalité et la liberté de tous leurs habitants quelque soit leur religion , leur langue , ou autre.
            C'est intéressant ce que tu dis, ce serait magnifique. Un état qui ne prétend rien d'autre que servir le peuple qui habite sa géographie et investit dans les besoins de celui-ci, par exemple qui n'a pas besoin qu'on manifeste et qu'on se saigne pour introduire l'amazighité dans l'espace public... Ca demanderai une refonte du système algérien et ça me semble utopique, à moyen terme en tout cas.

            Pour le moment je préfère militer pour une assise juridique à l'amazighité (officialisation et tutti) et la mise en oeuvre de moyens concrets. Bref, composer avec les courants actuels quoi... la démocratie viendra en même temps ^^
            Dernière modification par TMSN, 05 mai 2009, 23h33.

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            • #21
              es pays qui réussissent ne se définissent pas par des critères ethniques ou religieux , ils se définissent simplement par leur position géographique et reconnaissent l'égalité et la liberté de tous leurs habitants quelque soit leur religion , leur langue , ou autre.
              tout est dit dans cette phrase et tt autre consideration ne fait qu'"encourager l'"exclusion

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              • #22
                les 100 blagues?

                LA definition d'un bérbère?
                Le berbère est un arabe du 21em siècle..
                On en découvre des choses ici.
                je vous raconte une anecdote.
                un groupe d'investisseurs locaux en algerie qui a rencontré des patrons Americains pour d'éventuelles opportunités de partenariats ;au cours du dejeuner quelle a été la surprise et l'indignation de certains patrons algériens quand les Americains ont posé certaines questions indelicates et surtout la meilleur est celle ci :are you berbere? ils ont mis comme condition de faire des affaires avec seulement des berberes!!!!ça m'a été rapporté par une interpréte de Ain tmouchent (arabophone) qui etait presente a ce dejeuner a l'hotel sheraton d'oran.
                _NB:j'ai hésité avant d'envoyer ça ,mais au final je sais que les Forumistes vont comprendre le sens de mon intervention dans son contexte et qu'ils ont assez de sensibilité pour ne pas dénaturer mes propos.donc je ne cherche nullement a soutenir des conneries du genre les kabyles sont superieurs aux autres a tatabatata,mais ceci pour repondre aux 100 blagues qui se deversent sur ce topic comme quoi on est persus par le monde comme arabe.ce ci est faux et c'a a été le desir de la France coloniale.encore mieux les etrangers sont conscient de notre berberité et perçoivent le berbere comme plus serieux que les arabes dans les affaires.
                mais l'essentiel c'est comment on se perçoit nous même.en tant qu'algeriens,hein MYRA?
                ...et maintenant?

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                • #23
                  humanbyrace, arrête de manipuler les études génétique à ta guise, tu n'as absolument, mais absolument rien compris au sujet, à aucune étude d'ailleurs (au vu des "conclusions" que tu postes).

                  E1b1b1b est un haplogroupe récent (bien après l'homme ibéro-maurusien), marquant la venue de la langue berbère en Afrique du nord, cette haplogroupe dérive de E1b1b qui lui marque l'expansion des langues afroasiatiques (berbere, sémitique, egyptien, couchitique..etc) à partir de l'afrique de l'est/moyen orient. Par dérive génétique E1b1b s'est trouvé majoritaire en Afrique du nord, avec pour particularisme E1b1b1b spécifique aux populations berbères. Ceci s'est passé il y a longtemps, bien avant la venue des arabes, et la preuve qu'il y a eu arabisation de l'afrique du nord c'est que les arabes d'afrique ont autant de E1b1b1b que les berbères.

                  Dire que E1b1b était present avant la venue des proto-berberes, comme tu le répète dans chaque sujet, est du délire total. E1b1b est venue de l'est et non du sahara.

                  Aussi tu confonds
                  E1b1b avec les autre dérivés de l'haplogroupe E venant d'afrique subsahariennes, Les rifains sont à 99% E1b1b, pourquoi sont ils moins mate que les mauritaniens (qui eux possedent à 60% les autres dérivés de l'haplogroupe E)? les grecs ont 30% de E1b1b, pourquoi sont ils moins mate que les kowetiens?

                  Donc stp arrete de raconter n'importe quoi.



                  Omar m'a tuer.

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                  • #24
                    tout est dit dans cette phrase et tt autre consideration ne fait qu'"encourager l'"exclusion
                    Hmm, à ce que je sache les gens doivent communiquer entre eux, non? quand ils communiquent, les gens parlent, et quand ils parlent ils utilisent ce qu'on appelle une langue. A notre époque, une langue sert à beaucoup de choses : éducation, médias, administration.

                    Les Kabyles veulent que leur langue soit officielle chez eux. Absolument rien a voir avec la race. Donc oui nous excluons toute promotion d'une langue qui n'est pas du Kabyle pour la Kabylie.

                    Tant que l'état algérien s'obstine à nier le peuple Kabyle, son aire géographique, ses spécificités politiques et culturelles, il sera impossible d'officialiser la langue Kabyle. On officialise pas une langue X pour des gens qui n'ont pas pour langue maternelle cette langue X, c'est stupide et inutile.

                    Conclusion: la seule solution pour officialiser tamazight sous ses différentes variantes passent par le reconnaissances des minorités berbères, et par la régionalisation. L'autonomie de la Kabylie est une condition sine qua non pour l'officialisation de la langue Kabyle et de sa sauvegarde.
                    Omar m'a tuer.

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                    • #25
                      On peut imaginer un état-idéal sans parti pris et qui encourage tout ce qui se trouve dans son territoire
                      Mais ça reste une utopie ^^ (d'ailleurs les états auquel fait référence atwul ont une situation "socioculturelle" différente de la notre)

                      La langue reste un aspect fon-da-men-tal de ma culture.

                      Mais j'accepte que des arabophones, germanophones s'identifient à l'amazighité (mais qu'on n'identifie pas l'amazighité à l'arabité, l'européeanité, ou que sais-je..)

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                      • #26
                        un dialecte tamazight ?
                        c'est une LANGUE a part entière qu'il faut préserver et faire perdurer
                        pour les générations a venir

                        nous devons d'abord nous définir par notre pays , puis par notre région,
                        entièrement d'accord avec toi pour dire que
                        avant tout nous sommes Algériens (nes) de tel ou tel région

                        mais tu connais le dicton diviser pour mieux régner..

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                        • #27
                          humanbyrace, arrête de manipuler les études génétique à ta guise, tu n'as absolument, mais absolument rien compris au sujet, à aucune étude d'ailleurs (au vu des "conclusions" que tu postes).
                          Dire que E1b1b était present avant la venue des proto-berberes, comme tu le répète dans chaque sujet, est du délire total. E1b1b est venue de l'est et non du sahara.
                          Peux tu nous donner des sources de ces hypotheses mr Izno et des tests genetiques que tu cites.
                          Et comment peux tu expliquer que les peuples Semites de la famille nostratique sont majoritairement (J)et qu'une partie des Indo-europeenes qui sont un autre groupe nostratique portent le haplotype (J) aussi.
                          E1b1b est bien venu du sud(sud-est).
                          Et comment peux tu expliquer la grande concentration du haplotype(J)[presque 40%]en Afrique du nord alors qu'il n'ya pas eu une arrivee si massive des Arabes.
                          Si tu maitrises l'Anglais tu peux lire ce texte pour avoir plus d'idee(surtout le passage en rouge tire du livre"the nostratic macrofamily de bomhard et kerms"),car effectivement l'hypothese que tu cites etait encore acceptee(et ecnore par certains de nos jours)il n'ya pas longtemps.
                          Dernierement je ne raconte pas n'importe quoi,ce sont des theses d'anthroplogues et linguistes,stp ne personnalise pas le debat et qu'il reste dans une ambiance bon enfant sans les "raconter n'importe quoi"et"manipuler les etudes a ta guise"

                          http://www*geocities*/therapeuter200...dispersal.html
                          1/Afro-Asiatique
                          An even more interesting connection between PIE and PAA is Bomhard’s 318 "Proto" roots. According to the above revised version of the phonetic constituents, Bomhard found 318 roots of both proto-languages that had almost exact correspondence in both sound and meaning. This is some of the evidence that leads him to conclude that
                          Indo-European and Afroasiatic bear a stronger affinity, both in their phonological systems and in their vocabularies, than could possibly have been produced by accident–so strong, indeed, that no linguist could examine them without believing them to have sprung from a common source. (1984:2)
                          The presence of Afroasiatic speakers in North Africa is due to successive waves of expansion from the Near East, each representing a contemporary form of post-Afroasiatic. In the earliest phase, the language may have been close to contemporary Indo-European, having the same SOV syntactic order inherited from Nostratic, and presumably much the same morphology, but already exhibiting the characteristic Afroasiatic feminine in t, which seems to be peculiar to this family. This wave, with its early Nostratic language, must have represented the first flush of Mesolithic influence in Africa, preceding the advent of the agricultural Neolithic in that region. It extended as far as the Ethiopian highlands and the Chad Basin to the Northwest of them, but there bogged down after converting the local African peoples to Nostratic speech as represented by the Cushitic, Omotic, and Chadic speakers of today… It is probable that the Cushitic and Omotic languages still retain traces of early Nostratic morphology…
                          “Later Southward waves of Afroasiatic speakers occurred at times when the old SOV pattern had changed – or was in process of changing – to the historically observed VSO pattern, accounting for the Berber and Old Egyptian speakers, the Semites of Syria, Palestine, Arabia, and Ethiopia, and eventually the Arabic expansion of the present era. The Semitic expansions seem to have been relatively late since their languages are less diverse than in the other branches. This is in harmony with the suggestion… that the early Indo-Europeans and Semites were neighbors in or near the Caucasus at a fairy late period.
                          “Thus, the diversity of the Cushitic and Omotic languages is not due to their speakers’ occupying the original homeland of Afroasiatic expansion [the rejected somewhat ‘unconventional’ proposal], but simply to the fact that these languages represent remnants of early Afroasiatic extended to its Southernmost extreme and evolving in relative isolation from currents of change in the major part of the Afroasiatic speaking world. There is a parallel situation in Northeastern Siberia, where such highly differentiated languages as Gilyak and Chukchi have evolved in isolation from their relatives in the rest of Siberia…” (p. 158 - 59).
                          The evolution of the Afroasiatic family is then similar to that of the Sinic: as the proto-language spread outward from a center, the outwardmost extensions of the language, being the earliest to depart from the ancestral center, was the most conservative and the most preservative of the elements of the ancestral language, while the language-form of the ancestral homeland went through so much radical changes that the descendant, modern-day form in the area of the ancestral homeland looks hardly like anything of the proto-language.
                          The Nostratic focal expansion, the third "out of Near East", is thus: beginning at 15,000 BP, a local Dene-Caucasian village south of Caucasus began to expand as the Mesolithic expansion. It split into proto-Afro-Asiatic at the west and the ancestral group of the rest of the Nostratic at the east. (Or the alternative interpretation that the local Dene-Caucasian subgroup split into the proto-Afro-Asiatic on the west and the Nostratic proper on the east.) The proto-Afro-Asiatics have been identified by archaeologists with the Natufians in the territories of Syria and Palestine. “Judging solely from their lexicon, it appears that the Natufians were relatively advanced: they built fortified structures from stone; they cultivated land, raised cattle and hunted with bow and arrow… The Natufians also developed a market system, evident in the existence of words for buy, sell, and price, and they waged war on (kih) and raided (ghwar) their neighbors. Prehistoric poets – or perhaps lawyers – were known for their ability to ‘draw magic signs on sand.’ [Compare these with the emblems the Yang-Shao peoples carved on their potteries.] There were even Natufian haves and have-nots: the rich, who owned w-s-r, or expensive things; those who s-r-kk, or stole; and others made a living by pawning stolen goods…” (Shevoroshkin, ibid., p. 23 – 4.) These proto-Afro-Asiatics, whose linguistic state was still that of general Nostratic (or late Dene-Caucasian subgroup locally), the SOV type, then during their first wave of expansion covered up all of Syriac/ Arabic/ Palestine area and all of North Africa, from the tip of Somalia at the east to the west coast of North Africa. These new colonizers of Africa were of caucasian surface-phenotype; and as their tribes encountered the native Africans, genetic admixtures took place with the natives contributing the major part to the genetic constitution of their common descendants and the new comers the minor part. In linguistic respect however the colonizers had the upperhand, converting native Africans to their Afro-Asiatic speech while the native tongues of North Africa were lost in the process. This is similar to the manner in which the (nuclear) genetic composition of the Ethiopians, for example, was constituted, which constitution however may have been the result of a slow process of admixture since the first wave but not completed until historical times,5 and which consists in a majority of African frequencies plus a minority of Caucasian, reflecting an original mixture of a majority of native Africans with a minority of Caucasians.6 Then a second wave of Afro-Asiatic expansion exploded from the Palestine-Syriac center (the Afro-Asiatic "homeland"), probably for reasons associated with the genesis of agriculture, which would locate this expansion at about 10,000 BP. The new expansion into North Africa again virtually covered up the entire area of the first Afro-Asiatics' north African settlement. By this date, 5000 years after, the Afro-Asiatic dialect in the center ("homeland") had already evolved into the VSO structure recognized today as characteristic of it, seen most conspicuously in the Semitic (e.g. Arabic and Hebrew). Most of the North African speakers of Afro-Asiatic dialects who were descended from the first wave were converted to the speech of the new Afro-Asiatic colonizers, their languages being lost from history. Those Afro-Asiatic dialects from the first wave that survived are located on the periphery: the Cushitic, the Omotic and the Chadic. (See the genealogical tree above left.) The genealogy shows that during the possibly 5,000 years before the second expansion the Afro-Asiatic language field of North Africa had first split into a western dialect, whose modern descendant is the Chadic group, and an eastern dialect, which then split into its western Omotic and eastern Cushitic groups.7 The second wave split into the western Berber groups8 and the eastern Egyptian, which configuration persisted into historic times. Within the central ("homeland") region, there must have been a third, Semitic expansion to cover up a large portion of the Near East and Arabia. The latest Afro-Asiatic expansion, that of the Arabs from the Arabian peninsula ca. 600 A.D., again intruded into North Africa to convert the Egyptian and many of the Berber speakers to the Arabic language. Thus focal expansion occurred repeatedly just within the Afro-Asiatic family itself.
                          Dernière modification par humanbyrace, 06 mai 2009, 14h00.
                          يا ناس حبّوا الناس الله موصّي بالحبْ ما جاع فقير إلا لتخمة غني¡No Pasarán! NO to Fascism Ne olursan ol yine gel

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                          • #28
                            Les berbères arabophones ont perdu le droit ou plutôt abandonné d'appartenir à cette culture

                            Qu'en est-il des berbères Francophones ou anglophones ?

                            Commentaire


                            • #29
                              salam

                              Oui chère naw un constantinois n’a plus rien a avoir avec jughurtha sauf peut être des gènes
                              C’est un musulman mais surtout surtout c’est un arabophone ou arabe … jughurtha n’était rien de tout ça.


                              Cher gironimo!! Pourquoi surtout surtout un arabophone !!! donc jughurtha n a rien avoir avec toute l’Algérie arabophone et berbérophone, puisque la langue de la NUMIDIE était le punique, ni l'arabe ni le berbère!!

                              Suivant cette logique, tout le monde sur cette terre n’ont rien a voir avec leurs passés, les italiens rien avoir avec rome (religion et langue) les perses, les grecques, les egyptiens, les mexicains…………etc. tout ce bon monde ………… !!


                              c'est une LANGUE a part entière qu'il faut préserver et faire perdurer
                              pour les générations a venir


                              le dialecte amazight en question est le kabyle!! j'ai pas parlé de la langue tamazight!!!


                              Commentaire


                              • #30
                                .
                                Quoi qu'il en soit, la langue kabyle est une langue à part entière en Kabylie et est un dialecte en Algerie.
                                En Algerie, un arabe ou un meme amazighe considerera la langue tamazighte (hormis la sienne) comme un dialecte.
                                .

                                Commentaire

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