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Boumediène, le temps des Hommes

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  • Boumediène, le temps des Hommes

    Je continue de clamer que le sursaut révolutionnaire – que je fête tout seul chaque 19 juin ! — continuera de nous rappeler que l’Algérie avait, un jour, retrouvé le chemin de sa glorieuse Révolution et repoussé la nuit de l’islamo- socialisme rampant et des faux prophètes ; un chemin qui mène à l’indépendance authentique, à la dignité et au progrès !
    Ce jour-là, le soleil venait de pénétrer dans les sombres gourbis de l’Ouarsenis ; ses rayons inondaient la Kabylie radieuse recevant son premier programme spécial qui installa routes, écoles, dispensaires et autres infrastructures indispensables à la vie. J’étais là-bas, quelques années plus tard, pour voir les premiers travaux du stade du 1er-Novembre et de la salle omnisports. J’étais là-bas pour voir la petite ville de Tizi-Ouzou se transformer et prendre les allures d’un grand centre urbain moderne. La Kabylie était devenue une ruche. Comme j’étais chargé de faire la comparaison avec le programme du Titteri, qui traînait en longueur, le wali m’expliquait que tous les Kabyles étaient mobilisés pour assurer le succès des différentes opérations, y compris les émigrés. L’un d’eux s’était proposé pour envoyer les fauteuils du cinéma, introuvables en Algérie ! La JSK continue de jouer sur le stade construit par Boumediene et la JSMB évolue sur celui édifié par Chadli ! A Alger, c’est la honte ! Toutes les capitales d’Afrique ont eu leurs nouveaux stades conçus aux normes modernes, mais on continue d’aller au stade du 5-Juillet pour les grandes rencontres sportives. Construit par qui, ce stade ? Boumediene ! Ainsi que la salle blanche posée comme une soucoupe volante au milieu du parc omnisports devenu Complexe Mohamed- Boudiaf. Inauguré en 1972, lors de la finale de la coupe d’Algérie remportée par l’USM Annaba face à l’USM Alger, ce stade est le seul digne d’intérêt de la capitale. 32 ans après la mort de Boumediene, aucun pouvoir n’a pensé à édifier une autre enceinte digne de ce nom ! Nous allions au cinéma et nous achetions journaux, revues et tout type de publications sans nous ruiner ! L’étudiant pouvait aller au restaurant chaque semaine, avec sa petite bourse… Aujourd’hui, elle ne suffit même pas à lui assurer un fast-food par mois ! Soyons fiers du travail de nos cadres ! Quand je passe devant le complexe sidérurgique d’El Hadjar, j’étouffe ma colère de le voir aujourd’hui aux mains d’une multinationale, et je me sens fier : voilà le chemin que nous aurions dû poursuivre ! Nous en serions à un autre stade de développement ! Et dire que certains continuent de nous asséner des bêtises du genre : l’Algérie aurait dû s’occuper d’agriculture et de tourisme ! Comme si nous étions un petit pays sans ressources, sans matières premières et sans ambitions. L’Algérie a un destin de Canada, d’Australie et de Brésil. C’est un pays grand en tout : sa superficie, ses richesses naturelles (pétrole, gaz, fer, phosphate, cuivre, manganèse, plomb, mercure, or, zinc, uranium et peut-être même du diamant !) Toute la politique de Boumediene, menée sous la houlette du ministre de l’Industrie et des Mines, M. Belaïd Abdesselem, était orientée vers l’arrêt de l’exportation des matières brutes pour leur transformation ici même ! Ainsi est née cette grande entreprise qui permit à notre pays de lancer une industrie pétrochimique unique dans le monde arabe et d’installer l’un des deux grands complexes sidérurgiques d’Afrique, l’autre se trouvant dans le pays de l’apartheid. Ainsi est née la grande industrie textile fortement intégrée (du mouton aux costumes) et certains grands couturiers mondiaux n’hésitaient pas à venir chercher, chez nous, les coupons de laine d’une qualité inégalable ! Les anciens se souviennent certainement du succès des vestes en cuir algériennes. La laine partait vers les ateliers de filage et de tissage, alors que les peaux prenaient le chemin des tanneries, dont la célèbre unité de Jijel ! Où sont tous ces complexes aujourd’hui ? Fermés ! De grandes masses de béton et de ferrailles qui dorment au moment où le pays est inondé de chiffons venus de Chine ! La fripe était interdite ! L’Algérien digne ne pouvait pas porter les vêtements jetés par l’Américain ! Evoquons aussi les industries mécaniques ! Le camion monté par Sonacome gagnait à Dakar et rentrait en première et deuxième positions ! Et devant qui, s’il vous plaît ? Renault, Saviem, Man, Mercedes… Les ouvriers de Rouiba avaient ébahi l’Afrique. J’y étais ! Les jeunes Africains venaient nous applaudir. A Bamako, Gao, Niamey, Ouagadougou, Dakar ; nos camions étaient barrés d’une grande inscription : « Sonacome, constructeur africain »… Les premiers cars, les premiers autobus… Les tracteurs de Constantine, les moissonneuses de Sidi Bel-Abbès, les wagons de chemins de fer d’El Allelick (Annaba), exportés vers plusieurs pays… les machines outils de Oued Smar (Constantine), les grues de Béjaïa, les vannes de Berrouaghia (Médéa), les vélos et la céramique de Guelma, le marbre de Filfila (Skikda), les téléviseurs de Bel-Abbès, les cuisinières et frigos de Tizi, le sucre de Mostaganem et tous les produits de l’industrie privée qui avait pris pour principale base Oran… Air Algérie, la Cnan, la SNTV…
    ...../.......
    عيناك نهر من جنون... عيناك أرض لا تخون

  • #2
    Le démarrage était visible partout ! Bien entendu, il y eut des erreurs, des excès ! Nous étions bien contents d’aller prendre un gâteau dans une pâtisserie « socialiste » située à la rue Abane- Ramdane, près du journal. Mais, en réalité, c’était une erreur de nationaliser une telle enseigne… Comme il y eut des erreurs dans l’application de la révolution agraire : les nationalisations des terres céréalières, imaginées dans les bureaux, n’avaient pas tenu compte de la valeur réelle des 50 hectares proposés comme fourchette ! Mais qu’ils étaient beaux ces villages socialistes, avec leurs équipements collectifs et leurs maisons impeccablement alignés. On y construisait partout des mosquées, des bibliothèques, des centres de santé et, nécessairement, des cinémas ! L’Université qui formait des lumières ! A propos de cinéma, c’est à cette époque que l’Algérie arracha sa première et dernière Palme d’or au Festival de Cannes, avec Chroniques des années de braise de Mohammed Lakhdar Hamina ! Nous avions les meilleurs réalisateurs et techniciens du continent africain et chaque nouveau film algérien était un événement salué par la critique internationale ! Qui se souvient des 2 Ecrans, revue dirigée par Abdou B. et où exerçaient des plumes en or (Djamel Eddine Merdaci et d’autres) ? Aujourd’hui, il n’y a plus rien ! Ni cinéma, ni vrai théâtre, ni débats à la Cinémathèque algérienne. La culture se balade d’Année arabe en Année islamique, de ville en ville, sans réel impact sur les masses, ni valeur esthétique ou pédagogique. C’est un immense gâchis : la « gasba » de Khenchela à Mostaganem et le « galal » de Tiaret à Annaba : c’est la foire au folklore, abêtissant et sans intérêt, qui fait courir quelques artistes locaux avides de voyages et de prises en charge dans les hôtels, des applaudisseurs professionnels. Les vrais artistes sont presque toujours écartés. Ceux qui dérangent par leurs textes ou leurs musiques… Sur le plan international, on a voulu rééditer le Festival panafricain, mais on avait oublié que c’était la rencontre d’un art renaissant, sous les couleurs de la révolution et du socialisme, et pas un gala pour jet-set improvisés, un ramassis d’anciennes gueux et d’anciennes sans-le-sou propulsés par la grâce du système au grade de « milliardaires »… Dans les universités, on formait de vrais et grands médecins, des ingénieurs qualifiés, des architectes qui laisseront des traces, des pilotes qui émerveilleront les passagers étrangers par leurs compétences et leur haut niveau professionnel. Ils ont les cheveux blancs aujourd’hui, mais ce sont toujours de grands professeurs de médecine, installés ici ou à l’étranger, souvent à la tête d’institutions célèbres. Les cadres formés à cette époque font aujourd’hui le bonheur des compagnies étrangères ! L’Armée nationale populaire s’occupait du développement du pays. A ce titre, elle n’a jamais autant mérité son titre de « populaire » qu’à cette époque bénie ! Elle édifiait le Barrage vert, de Tébessa à El Bayadh, dans l’enthousiasme juvénile et la mobilisation révolutionnaires. Les enfants de Tizi, Tlemcen, Ouargla, Bab El Oued et Constantine faisaient corps commun et n’avaient qu’un seul mot à la bouche : « Algériens ». Je me souviens encore de leurs frimousses égayées par le film comique que l’on projetait dans un campement du côté de Djelfa. J’ai revu le même optimisme et la même ferveur à Aflou, N’gaouès et Tébessa ! Des chercheurs et des experts étrangers venaient étudier notre expérience. Il fallait voir grand pour décider d’édifier un barrage contre l’avancée du Sahara ! Ces jeunes étaient aussi sur les chantiers de construction des villages socialistes, de la route transsaharienne ! Les Algériens construisaient l’Algérie et l’on n’avait pas encore besoin de Chinois ou de Sri-Lankais pour réaliser une route ! Et cela au moment où des millions de jeunes sont au chômage ! Temmar sur la voie de… Boumediène ! Depuis que l’on a élevé l’importation au rang d’unique stratégie économique, le pays est devenu un dépotoir. Nos milliards s’envolent à l’étranger et tous les produits importés ne sont pas toujours indispensables. Il nous faut nécessairement revenir à la politique de Boumediène : produire ici tout ce dont nous avons besoin ! Cela sera-t-il facile avec toutes ces maffias de l’import, contrôlées souvent par des pontes ? La proposition de M. Temmar, qui semble revenir à de meilleurs sentiments, est un retour pur et simple à l’esprit des années 1970. Oui, nous n’avons pas besoin de l’argent des investisseurs étrangers. L’Etat en a beaucoup. Il peut injecter une somme colossale dans la relance industrielle qui réhabilitera d’anciennes unités et en créera d’autres. Nous avons besoin de savoir-faire étranger. C’était l’idée des usines clefs en mains réalisées avec l’argent algérien et les compétences étrangères. Mais, très vite, les Algériens prenaient entièrement en charge les centres de production, après une formation à l’étranger et une autre sur site. Nos grands complexes étaient dirigés par des Algériens et cela donnait des résultats satisfaisants. Depuis qu’il est aux mains de la multinationale ArcelorMittal, le combinat d’El Hadjar, dirigé désormais par des Français – on a éliminé petit à petit les cadres algériens — n’arrive pas à atteindre la production qui fut la sienne à l’époque où il relevait du secteur public ! Pourquoi ne pas pavoiser et citer en fanfare de tels résultats, acquis par des Algériens et pourquoi ne voir en nous que des fainéants et des incompétents ? De tels exemples peuvent être cités par milliers ! Au temps de sa splendeur, le Complexe de téléphonie de Tlemcen avait une cadence de travail meilleure que celle du produit mère en Espagne ! Les téléviseurs ENIE ont longtemps tenu la dragée haute aux produits importés, avant que des Algériens ne se lancent, à Sétif et à Bordj, dans la production de produits technologiques. Aujourd’hui, nous devons être fiers de ces nouveaux pionniers qui, dans les années 2000 et en peu d’années, ont transformé la région des Hauts-Plateaux de l’est du pays en zone de haute technologie. Le secteur privé a une grande place chez nous ; c’est le complément naturel du secteur étatique qui, en amont, doit se charger de la transformation des matières premières et des domaines stratégiques, fournissant aux zones industrielles des produits semi-finis.

    Par Maâmar Farah ..le soir d'algerie
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    • #3
      Commer quoi il y a ceux qui le dénigre (hizb-frança) et les autres qui l'adules (les nationalistes) cherchez l'erreur......

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      • #4
        Commer quoi il y a ceux qui le dénigre
        Ceux qui le dénigrent lui reprochent la nationalisation des richesses nationales , son soutien actif aux causes justes notamment en Palestine et au Sahara occidental et sa politique d'arabisation du pays !


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        • #5
          Commer quoi il y a ceux qui le dénigre (hizb-frança) et les autres qui l'adules (les nationalistes) cherchez l'erreur......
          ceux qui l'adules ce sont les grand voleurs formé par lui dans un fameux discour ou il dit travaillé ne volé pas avec le coufin volé avec les sacs c'est plus interessant depuis ce discourt que des détournements de fonds de la corruption et l'approbation des fausses listes des anciens moukharibines a la place des vraies moudjahid digne de ce nom et qui n'on jamais profité de quoi que ce soit a ce jour

          et en plus les gens qui s'opposent a ce régime pour dire une vérité ont les traitent de contre révolutionnaires

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          • #6
            ...Et pourquoi, s'il vous plaît, Les autres patriotes et révolutionnaires comme ceux, bien sur, qui ont échappés aux complots d'assassinats ourdis pendant la révolution et aprés n'auront pas la faculté, l'intelligence, le patriotisme, le courage et l'honnêteté d'entrevoir et de faire pénétrer le soleil dans les gourbis de l'Ouarsenis et les autres contrées d'Algérie ???
            "C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attend jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)

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            • #7
              ...Et pourquoi, s'il vous plaît, Les autres patriotes et révolutionnaires comme ceux, bien sur, qui ont échappés aux complots d'assassinats ourdis pendant la révolution et aprés n'auront pas la faculté, l'intelligence, le patriotisme, le courage et l'honnêteté d'entrevoir et de faire pénétrer le soleil dans les gourbis de l'Ouarsenis et les autres contrées d'Algérie ???
              __________________
              La majorité étaient des exilés et considérés comme des contres révolutionnaire et était pourchassée par les assains sous ordre du régime de boumedienne et l'histoire le dit

              Ceux qui le dénigrent lui reprochent la nationalisation des richesses nationales , son soutien actif aux causes justes notamment en Palestine et au Sahara occidental et sa politique d'arabisation du pays !
              oui les gens qui le dénigrent lui reprochent qu'on s'entretuer pour avoir un kilogramme de pomme de terre un boite de tomate deux cent cinquante grammes de café -- la viande bulgare se partagent entre les autorités locale et le reste en s'entretuent pour avoir un morceau de viande congélé et plain de graisse a la cuisson comme un morceau de glace fondu
              tu peut avoir confirmation auprés de tes parents ou ton entourage ou les voisins qui ont vécu cette période pour confirmation des domaines inestimable vendu pour un dinars symbolique va voir les services des domaines de ta ville pour confirmation voila pourquoi on le dénigrent
              plus les fausses attestations pour les anciens moukharibine a la place des vrais moudjahide qui n'on rien bénéficié jusqu"a ce jour
              Politique basé sur les hydrocarbures voila le résultat est la le pays dans un cata
              une simple image a la télévision en noire est blanc et pas nette parcontre pour les habitant du golfe etc avec parabole etc il a imposé l'arabe pour les pauvres et leurs enfants étudient dans divers pays étranger la preuvent aujourd'hui ils ne veulent plus revenir a leurs pays et leurs parent actuellement ils sont comme des chiens érrants avec leur villesse et des maladie que je n'ose meme pas citée etc.

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              • #8
                Ceux qui le dénigrent lui reprochent la nationalisation des richesses nationales , son soutien actif aux causes justes notamment en Palestine et au Sahara occidental et sa politique d'arabisation du pays !
                euh ils le dénigrent surtout pour ça dictature ... sa politique économique catastrophique ... sinon ces soutiens "aux causes justes" on en avait rien a battre.

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                • #9
                  euh ils le dénigrent surtout pour ça dictature
                  C'est l'époque qui le voulait , on lui doit l'unité nationale ; chaque chef de guerre voulait faire sa loi , grace à sa poigne , l'Algérie a échappé une somalisation certaine et il a surtout réussi à faire comprendre à nos voisins qui voulaient tous leur part d'Algérie qu'il ne transigeait pas avec l'intégrité territoriale , il a meme réussi à faire signer à Hassan II le traité sur le bornage de nos frontières communes !
                  sa politique économique catastrophique ...
                  Personne ne nie qu'il a fait des erreurs dans les choix économiques mais à l'epoque , l'idée répandue etait que seul le socialisme pourrait aider au developpement rapide du pays et l'Algérie avait besoin de tout , on lui doit beaucoup de réalisations !
                  ces soutiens "aux causes justes" on en avait rien a battre.
                  Tu parles pour toi car moi j'y tiens et je l'admire beaucoup pour ça !

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                  • #10
                    Boumediene est la plus grande imposture de l'Algerie indépendante. Il a détruit l'Algerie, Bouteflika son copain l'a achevée!

                    S'il y avait encore quelque chose qui fonctionnait à l'époque de Boumediene c'etait bien ce qui restait encore de l'administration coloniale quand d'anciens fonctionaires algeriens aguéris à la tâche et formés par les pieds noirs ont assuré la continuité pour notre grand bien. La poste, l'electricité, les impots, les services taxis avec leur costume gris et casquette, les agents de la RSTA avec leur terbouche et bien d'autres services legs de la France donnaient à la vie en Algerie une certaine qualité quand Boumediene s'affairait à coté à batir les bases du déclin avec ses idées farfelues d'un arabiste, un parvenu ignorant mais grand comploteur devant l'éternel.

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                    • #11
                      C'est l'époque qui le voulait , on lui doit l'unité nationale ; chaque chef de guerre voulait faire sa loi , grace à sa poigne , l'Algérie a échappé une somalisation certaine
                      On aimerait bien savoir qui sont ils ces chefs de guerre dont tu parles? Aucune guerre n'a eu lieu entre les wilayate de l'interieur. Aucune wilaya n'a usé de la force contre une autre.

                      Seul Boumediene a usé de la force en entrant de force prendre le pouvoir à Alger. C'est grace à la sagesse des reponsables de l'intérieur qui ont demandé à leur troupes de laisser passer Boumediene pret à massacrer le peuple que le pire a été évité.


                      et il a surtout réussi à faire comprendre à nos voisins qui voulaient tous leur part d'Algérie qu'il ne transigeait pas avec l'intégrité territoriale , il a meme réussi à faire signer à Hassan II le traité sur le bornage de nos frontières communes !
                      C'est bien grace à la wilaya III avec le colonel Mohand Oulhadj que le Maroc a reculé lors de la Guerre des Sables. L'Armée de Boumediene était tout juste bonne pour réprimer les algeriens à Annaba, en Kabylie et à Sour El Ghozlane.

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                      • #12
                        Bonne soirée alex et bonne soirée a toi baba merzoug

                        tes réponses ont étaient un régal pour moi je te prie de continuer

                        Commentaire


                        • #13
                          Citation:
                          @DZone.
                          C'est l'époque qui le voulait , on lui doit l'unité nationale ; chaque chef de guerre voulait faire sa loi , grace à sa poigne , l'Algérie a échappé une somalisation certaine et il a surtout réussi à faire comprendre à nos voisins qui voulaient tous leur part d'Algérie qu'il ne transigeait pas avec l'intégrité territoriale , il a meme réussi à faire signer à Hassan II le traité sur le bornage de nos frontières communes !
                          Là c'est le discours, les justificatives et les faux arguments de tous les dictateurs de part le monde; surtout africain, arabes et les autres pays du tiers monde. (désolé Dzone, loin de porter un jugement sur ton propre argument)
                          "C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attend jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)

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                          • #14
                            Boumediene est la plus grande imposture de l'Algerie indépendante. Il a détruit l'Algerie, Bouteflika son copain l'a achevée!

                            S'il y avait encore quelque chose qui fonctionnait à l'époque de Boumediene c'etait bien ce qui restait encore de l'administration coloniale quand d'anciens fonctionaires algeriens aguéris à la tâche et formés par les pieds noirs ont assuré la continuité pour notre grand bien. La poste, l'electricité, les impots, les services taxis avec leur costume gris et casquette, les agents de la RSTA avec leur terbouche et bien d'autres services legs de la France donnaient à la vie en Algerie une certaine qualité quand Boumediene s'affairait à coté à batir les bases du déclin avec ses idées farfelues d'un arabiste, un parvenu ignorant mais grand comploteur devant l'éternel.
                            C'est ça ! Vive le temps béni des colonies!
                            Alger n'est pas l'Algérie , s'il y avait des agents avec terbouche dans une grande ville comme Alger qui etait peuplée d'européens , il n y avait rien à l'interieur du pays!
                            Je n'ai pas l'habitude de répondre à des gens qui transpirent la haine , mais là je le fais car j'ai une grande admiration pour le Président Boumediène , Allah yarhemou!
                            Je pense que le problème vient du fait que la politique de son successeur a consisté à défaire tout ce qui a été fait auparavent au lieu de corriger ce qui n'allait pas!
                            On aimerait bien savoir qui sont ils ces chefs de guerre dont tu parles?
                            Je pense à la tentative de putch de Zbiri entre autres !!!
                            C'est bien grace à la wilaya III avec le colonel Mohand Oulhadj que le Maroc a reculé lors de la Guerre des Sables.
                            Tu mélanges tout , c'est surement la haine qui t'aveugle , je n'ai pas parlé de la guerre des Sables , j'ai parlé du traité de 1972 qui délimitait nos frontières ouest !

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                            • #15
                              tes réponses ont étaient un régal pour moi je te prie de continuer
                              Tu portes mal ton pseudo , tu aurais du choisir "le jayeh" ou plutot "le boukhourou" qui a besoin d'autrui pour répondre à sa place!
                              Ecoute , je n'ai rien contre toi , je ne peux pas te répondre car je ne comprends jamais ce que tu racontes !
                              Dernière modification par DZone, 16 avril 2010, 22h27.

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