Hussein-Dey
Dans ce quartier se trouvait la maison de plaisance du dernier Dey d’Alger, c’est ce qui lui valut d'être baptisé ainsi.
Le Ruisseau
Ce quartier tire son nom de Oued Kniss (déformation de la rivière de l’église) qui prenait sa source du massif de Bouzareah, descendait par Hydra, se faufilait par voie souterraine via Birmandreis et le ravin de la Femme sauvage, pour aboutir finalement à la limite des communes d’Alger et d’Hussein-Dey. Ces dernières étaient séparées par la rue Polignac (rue des Fusillés) où était implanté un moulin. Quant aux abattoirs d’Alger, ils ont été bâtis en 1929, prés du pont Polignac où s’élevait le grand immeuble Pernod.
Pointe Pescade (Raïs Hamidou)
Autrefois, cette partie du front de mer s'appelait Mers-ed-debban (port aux mouches), car ces insectes y proliféraient. C’est là que les navires patientaient, le temps d’obtenir l’autorisation d’accoster.
Douaouda
Douaouda fait partie des premiers centres de colonisation aménagés par l’administration française. Réputée pour ses oliviers, ses pins et son importante production maraîchère, Douaouda a d’abord été habitée par d’anciens militaires de l’armée d’Afrique.
Côte-Est
La Pérouse (Tamentfoust), Jean-Bart (El- Marsa) et Surcouf (Aîn Chorb), toutes ces villes du littorel est ont été créées par des marins bretons
Staoueli
C’est dans cette bourgade, à proximité de la mer, que les hauts dignitaires turcs venaient passer leur été pour échapper à la fournaise du centre d’Alger (à l’époque ottomane). Le 19 juin 1830, Staoueli fut le théâtre de la première bataille après le débarquement sur la plage de Sidi-Fredj (ex-Sidi Ferruch).
Le square Maillot
Il se situe dans le grand virage menant au musée du Bardo. Un buste du sculpteur Fulconis y avait été érigé pour rendre hommage à ce médecin qui vulgarisa l’utilisation de la quinine pour lutter contre le paludisme. A la droite de ce square, dont les portes sont aujourd’hui scellées, se dressait une croix qui avait été érigée en 1850.
Le Soir
Dans ce quartier se trouvait la maison de plaisance du dernier Dey d’Alger, c’est ce qui lui valut d'être baptisé ainsi.
Le Ruisseau
Ce quartier tire son nom de Oued Kniss (déformation de la rivière de l’église) qui prenait sa source du massif de Bouzareah, descendait par Hydra, se faufilait par voie souterraine via Birmandreis et le ravin de la Femme sauvage, pour aboutir finalement à la limite des communes d’Alger et d’Hussein-Dey. Ces dernières étaient séparées par la rue Polignac (rue des Fusillés) où était implanté un moulin. Quant aux abattoirs d’Alger, ils ont été bâtis en 1929, prés du pont Polignac où s’élevait le grand immeuble Pernod.
Pointe Pescade (Raïs Hamidou)
Autrefois, cette partie du front de mer s'appelait Mers-ed-debban (port aux mouches), car ces insectes y proliféraient. C’est là que les navires patientaient, le temps d’obtenir l’autorisation d’accoster.
Douaouda
Douaouda fait partie des premiers centres de colonisation aménagés par l’administration française. Réputée pour ses oliviers, ses pins et son importante production maraîchère, Douaouda a d’abord été habitée par d’anciens militaires de l’armée d’Afrique.
Côte-Est
La Pérouse (Tamentfoust), Jean-Bart (El- Marsa) et Surcouf (Aîn Chorb), toutes ces villes du littorel est ont été créées par des marins bretons
Staoueli
C’est dans cette bourgade, à proximité de la mer, que les hauts dignitaires turcs venaient passer leur été pour échapper à la fournaise du centre d’Alger (à l’époque ottomane). Le 19 juin 1830, Staoueli fut le théâtre de la première bataille après le débarquement sur la plage de Sidi-Fredj (ex-Sidi Ferruch).
Le square Maillot
Il se situe dans le grand virage menant au musée du Bardo. Un buste du sculpteur Fulconis y avait été érigé pour rendre hommage à ce médecin qui vulgarisa l’utilisation de la quinine pour lutter contre le paludisme. A la droite de ce square, dont les portes sont aujourd’hui scellées, se dressait une croix qui avait été érigée en 1850.
Le Soir