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Fac de Bab-Ezzouar :
L’université de Bab-Ezzouar a été conçue par l’architecte brésilien Oscar Niemeyer. Quant au Parc Tito (Bab- Ezzouar), il doit son nom à l’ancien président de l’ex-République de Yougoslavie.
Climat-de- France :
Le premier film de Merzak Allouache Omar Gatlato(1976) a eu pour cadre le quartier de Climat-de-France. Omar, le personnage principal (incarné par Boualem Bennani), habitait l’immeuble des 200 Colonnes, cité conçue par l’architecte Fernand Pouillon.
Dely-Ibrahim :
Ce quartier doit son nom à un jeune officier de l’armée ottomane, dont la vie, dit-on, fut des plus tourmentées. Alors qu’il entretenait une liaison amoureuse avec l’une des favorites du harem de son supérieur militaire, il fut pris la main dans le sac. Aussitôt, le mari fait décapiter la belle volage. Fou de douleur, Ibrahim perd la raison. Et comme si cela ne suffit pas, son chef le jette en prison pour le punir d’avoir piétiné ses plates bandes.
Après quelques mois à l’ombre, Ibrahim réussit à prendre la clef des champs. Il installe son «guitoun» sur l’une des collines du futur village de Dely-Ibrahim. Comme sa dulcinée, l’ex-officier déchu connaîtra une mort violente. En juin 1832, il est fusillé par l’armée française sur la place publique de Dely- Ibrahim.
Pépé le Moko :
C’est un décor de La Casbah d’Alger qui a servi au tournage du film Pépé le Moko de Julien Duvivier en 1937. Un film avec Jean Gabin.
Musée Ali La Pointe :
Au n°5 de la rue des Abderrames (Casbah) se trouve l’ancienne demeure où sont tombés quatre héros de la guerre de libération, lors de la bataille d’Alger. Le 8 octobre 1957, les parachutistes français ordonnent à Ali Ammar alias Ali La Pointe, Hassiba Ben Bouali, Mahmoud Bouhamidi et le jeune Yacef Omar, dit le Petit Omar, de se rendre.
Refusant de céder, quitte à mourir en héros, ils vivent leurs derniers instants, serrés les uns contre les autres. Les parachutistes plastiquent la cachette où sont réfugiés Ali La Pointe et ses camarades d’armes. Désormais, ce lieu historique où sont tombés ces martyrs abrite le Musée Ali La Pointe, appelé également Musée des Martyrs. Inauguré en juillet 2006, il retrace un pan de l’histoire de notre pays.
Ouvert tous les jours de la semaine (excepté le vendredi), il accueille des escouades d’écoliers, scouts et autres touristes, selon le gardien. Seule une partie de la «douéra» a été réhabilitée, le rez-de-chaussée. On y trouve un petit patio agrémenté de plantes vertes.
Sur les murs, l’emblème national et une série de photos de martyrs de la Révolution : Mohamed Belouizdad, Abane Ramdane, Krim Belkacem, Ahmed Zabana, Didouche Mourad… et bien sûr, Ali La Pointe, Hassiba Ben Bouali, Mahmoud Bouhamidi et Omar Yacef.
Le soir DZ
L’université de Bab-Ezzouar a été conçue par l’architecte brésilien Oscar Niemeyer. Quant au Parc Tito (Bab- Ezzouar), il doit son nom à l’ancien président de l’ex-République de Yougoslavie.
Climat-de- France :
Le premier film de Merzak Allouache Omar Gatlato(1976) a eu pour cadre le quartier de Climat-de-France. Omar, le personnage principal (incarné par Boualem Bennani), habitait l’immeuble des 200 Colonnes, cité conçue par l’architecte Fernand Pouillon.
Dely-Ibrahim :
Ce quartier doit son nom à un jeune officier de l’armée ottomane, dont la vie, dit-on, fut des plus tourmentées. Alors qu’il entretenait une liaison amoureuse avec l’une des favorites du harem de son supérieur militaire, il fut pris la main dans le sac. Aussitôt, le mari fait décapiter la belle volage. Fou de douleur, Ibrahim perd la raison. Et comme si cela ne suffit pas, son chef le jette en prison pour le punir d’avoir piétiné ses plates bandes.
Après quelques mois à l’ombre, Ibrahim réussit à prendre la clef des champs. Il installe son «guitoun» sur l’une des collines du futur village de Dely-Ibrahim. Comme sa dulcinée, l’ex-officier déchu connaîtra une mort violente. En juin 1832, il est fusillé par l’armée française sur la place publique de Dely- Ibrahim.
Pépé le Moko :
C’est un décor de La Casbah d’Alger qui a servi au tournage du film Pépé le Moko de Julien Duvivier en 1937. Un film avec Jean Gabin.
Musée Ali La Pointe :
Au n°5 de la rue des Abderrames (Casbah) se trouve l’ancienne demeure où sont tombés quatre héros de la guerre de libération, lors de la bataille d’Alger. Le 8 octobre 1957, les parachutistes français ordonnent à Ali Ammar alias Ali La Pointe, Hassiba Ben Bouali, Mahmoud Bouhamidi et le jeune Yacef Omar, dit le Petit Omar, de se rendre.
Refusant de céder, quitte à mourir en héros, ils vivent leurs derniers instants, serrés les uns contre les autres. Les parachutistes plastiquent la cachette où sont réfugiés Ali La Pointe et ses camarades d’armes. Désormais, ce lieu historique où sont tombés ces martyrs abrite le Musée Ali La Pointe, appelé également Musée des Martyrs. Inauguré en juillet 2006, il retrace un pan de l’histoire de notre pays.
Ouvert tous les jours de la semaine (excepté le vendredi), il accueille des escouades d’écoliers, scouts et autres touristes, selon le gardien. Seule une partie de la «douéra» a été réhabilitée, le rez-de-chaussée. On y trouve un petit patio agrémenté de plantes vertes.
Sur les murs, l’emblème national et une série de photos de martyrs de la Révolution : Mohamed Belouizdad, Abane Ramdane, Krim Belkacem, Ahmed Zabana, Didouche Mourad… et bien sûr, Ali La Pointe, Hassiba Ben Bouali, Mahmoud Bouhamidi et Omar Yacef.
Le soir DZ
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