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Le Baiser

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  • Le Baiser

    ...c'est le nom de ce beau tableaux que j'ai vu ressement et qui m'a enormement plut !! j'ai cherché a m'aquerir une imitatin mais j'ai pas trouvé sur le Web vu que je connais pas le nom de l'artiste !!

    Alors je vous demande qui sait l'artiste ?



  • #2
    es tu sur du nom du tableau ?

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    • #3
      Theberge Claude

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      • #4
        Je crois oui, enfin c'est ce que j'ai lu sur une sorte de carte que j'ai enmené avec moi il y a quelques jours !!

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        • #5
          http://users.ez2.net/kona99/images/etreinte.jpg

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          • #6
            Claude Théberge, artiste peintre québecois
            Un talent découvert au niveau international
            Claude Théberge a grandi à Rivière Bleue dans la région du Témiscouata, province du Québec. Il étudia aux Beaux-Arts à Québec. Son talent fut remarqué lors de sa 2ème année, alors qu’il gagna le premier prix d’un concours international d’affiche pour la paix mondiale parrainé par les Nations Unies.

            Paris, ville des arts
            Le Docteur Dubé de Notre-Dame-du-Lac (Témiscouata), prit sous son aile ce jeune artiste et lui a permis de découvrir Paris et l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts dès l’âge de 19 ans, puis l’Ecole des Arts décoratifs et l’Ecole du Musée du Louvre.

            C’est à ce moment que commença sa période abstraite sur le plan artistique, et c’est durant cette période qu’il peignit Le couple (1957).



            Un idéalisme qui prend de l'envergure
            A son premier retour d’Europe, sous l’influence des idées socialistes fraichement reçues, il était convaincu qu’il fallait sortir l’art des musées et des salons des snobs pour le faire descendre dans la rue. Il fonda avec des amis artistes un atelier d’art dont la mission était d’intégrer l’art à l’architecture. Il réalisa alors sculptures, vitraux et murales que l’on retrouve aujourd’hui dans plusieurs lieux publics du Québec, notamment le complexe H de la Cité Parlementaire à Québec, la cathédrale de Gaspé, les stations de métro Vanier, Rosemont, Papineau à Montréal, l’Eglise St-Jean-Baptiste de Lasalle à Montréal, le hall du Capitol à Québec. (Eglise de notre-Dame)





            Claude Théberge et Réal Voisine, maire de Notre-Dame-du-Lac
            et père de Roch Voisine.

            1980, se ressourcer en Gaspésie
            Suite à la fermeture du son bureau de design intérieur à Montréal, il vécut de moments très pénibles tant au niveau professionnel que personnel. Il décida d’aller se ressourcer à Percé en Gaspésie. Selon lui, c’est là qu’il retrouva la Foi et un sens à la vie.

            Le retour, adoption d'un style figuratif
            A son retour à Montréal, il recommença à dessiner et à peindre dans un style résolument figuratif.
            Ses premiers tableaux représentaient des foules avec des écharpes, héritage du climat gaspésien ou encore des hivers à Rivière-Bleue.
            Quant aux parapluies, il voulait démontrer à quel point les humains sont préoccupés par leurs petits problèmes temporels, ne songeant pas à refermer leur parapluie, même lors d’une éclaircie. Avec le temps, le symbole du parapluie est aussi devenu une sorte d’enveloppe où l’on peut se retrouver, loin de la bêtise humaine.

            Le message
            Mais par dessus tout, le message que Claude Théberge souhaite transmettre se traduit par une seule phrase « Sachez voir, sachez entendre et aimez-vous les uns les autres ».
            Par le « Sachez voir » il faut entendre « observez les gouttes de pluie ou les goutelettes de rosée… Comme elles peuvent être belles ! La goutte de pluie s’éclaire par elle-même, comme si une force mystérieuse l’animait de l’intérieur… »


            Sources : l'article de Marie-Josée Tardif, paru dans le magazine Vivre, volume 2 #3, déc 2002-jan 2003.

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            • #7
              Ah super Alya tu m'as sauvés merci et un gros bisous pour toi !!

              j'ai bien aimé les coouleurs et l'elan qui se degage de ses tableaux !!

              Maintenant faut chercher s'il y des imitations ou au moins des posters de lui

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              • #8
                Cela va être difficile d'avoir une copie

                Entoiler n'est pas contrefaire
                La Cour suprême donne raison aux galeristes

                Stéphane Baillargeon
                Édition du vendredi 29 mars 2002


                C'est par une décision partagée (à quatre juges contre trois) que la Cour suprême donne raison aux galeristes que poursuivait l'artiste Claude Théberge pour contrefaçon de ses oeuvres. L'arrêt rendu hier annule la saisie des toiles en litige et les restitue aux marchands d'art.






                Le jugement s'avère particulièrement intéressant pour l'analyse qu'il propose des implications juridiques des nouvelles techniques de reproduction des oeuvres d'art. Claude Théberge prétendait que l'entoilage de ses affiches pouvait être assimilé à des exemplaires contrefaits.

                L'affaire remonte à 1999. L'artiste québécois cède alors par contrat à un éditeur le droit de publier des reproductions, des cartes "ainsi que d'autres produits de papeterie" représentant certaines de ses toiles. La galerie du Petit Champlain, la galerie Yves Laroche et la galerie d'art Laroche, Denis inc. et Serge Rosa achètent ensuite de l'éditeur certaines de ces cartes, photographies et affiches pour les entoiler. L'entoilage est un procédé qui permet de prélever d'un support papier les encres imprimées pour les reporter sur une toile. Cette technique laisse le papier vierge et ne permet pas d'augmenter le nombre des reproductions, chacune changeant simplement de support.

                Claude Théberge y voit plutôt un accroc à la Loi sur le droit d'auteur, notamment à l'article sur la contrefaçon, décrite comme "toute reproduction, y compris l'imitation déguisée, qui a été faite contrairement à la présente loi ou qui a fait l'objet d'un acte contraire à la présente loi". Il obtient un ordre de saisie avant jugement et entame devant la Cour supérieure du Québec un recours en injonction, reddition de comptes et dommages-intérêts.



                Cette instance a d'abord conclu que l'entoilage d'une reproduction papier autorisée n'équivaut pas à la contrefaçon au sens de la Loi sur le droit d'auteur et accorde une mainlevée des saisies. La Cour d'appel, décidant au contraire qu'il y avait contrefaçon, a infirmé le jugement et maintenu la saisie. Hier, l'instance suprême du pays a renversé la décision et donné tort à l'artiste plaignant.




                "L'image "fixée" dans l'encre sur les affiches n'a pas été reproduite, écrivent les juges majoritaires. Elle a été transférée d'un support à l'autre. [...] Il faut garder à l'esprit la portée historique de la notion de "reproduction" figurant dans la Loi sur le droit d'auteur. La reproduction est généralement définie comme l'action de produire des copies supplémentaires. [...] Il y a eu en l'occurrence transfert matériel et mécanique sans multiplication."



                Les juges dissidents (L'Heureux-Dubé, Gonthier et LeBel) ont plutôt tranché en affirmant que l'artiste avait autorisé de façon très détaillée la reproduction de ses oeuvres par ses éditeurs sans avoir l'intention de céder la totalité de ses droits.

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                • #9
                  C'est un très beau tableau Tizi! Et merci Alya pour les infos.

                  Il m'a fait penser au "Baiser de l'hotel de ville" de Doisneau :
                  Baiser de l'Hotel de Ville
                  "Qu'est-ce que la tolérance ? C'est l'apanage de l'humanité. Nous sommes tous pétris de faiblesses et d'erreurs ; pardonnons-nous réciproquement nos sottises, c'est la première loi de la nature."

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                  • #10
                    Ah super Alya !! je viens juste de lire ton mesage sur l'artiste ! je crois que je commence a aimer cette personne :

                    « observez les gouttes de pluie ou les goutelettes de rosée… Comme elles peuvent être belles ! La goutte de pluie s’éclaire par elle-même, comme si une force mystérieuse l’animait de l’intérieur… »

                    C'est en quelque sorte enlever les lunettes prescrites par les regles de la soit-disant "civililité" et "mondanité" et voir de plus pret la nature y comprit les Hommes leurs sentiments, joie, remords et leurs reves !!!

                    C'est un message que je comprend bien !!

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                    • #11
                      Kitty

                      Il est beau ton baiser

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                      • #12
                        le baiser...

                        baiser et bisou bisou d'amour big uppppppppppppppppppp...

                        @+

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                        • #13
                          Il est superbe ce tableau et tellement vivant !
                          Bravo à l'artiste
                          Merci Alya pour les infos, ça peut servir
                          La tour Eiffel et les Aurès.
                          Irène Fatima Zohra.

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