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C'est vrai que Sansal a trouvé le filon d'intéresser les lecteurs français, particulièrement les nostalgiques de l’Algérie française ce qu'expliquait le grand succès libraire de son roman "Le Sermon des barbares" en écorchant l'aura de la révolution algérienne et montrait un certain penchant nostalgique à l’époque coloniale, position expliquée dans son dernier roman en partie biographique où il aborde tendrement la vie de sa "DJEDHA" qui après la première grande guerre a eu la clairvoyance ou le flair de la fin de l'ancien monde et son lancement dans les "affaires" où elle a régné en matrone impitoyablement sur son village et sa tribu ainsi que ses accointances plus que douteuses avec les colons et les puissants maîtres d’Algérie dans son "Rue Darwin"
Et dernièrement, il récidive avec "Le journal des frères Shiller" où il a fignolé dans l'exploitation de la Shoah à la nausée; livre que j'ai lu depuis peu et je l'ai trouvé assez moyen par ce procédé mesquin de surpasser Primo Levi dans la décortication détaillée et insistante sur les crimes nazis ce qui a rendu la lecture un peu lourde à la longue...
Ceci dit j'ai lu pas mal de ses publications et j'ai beaucoup apprécié "Poste restante: Alger lettre de colère et d'espoir à mes compatriotes"...;et "Éloge à la mémoire" que je conseille vivementDernière modification par pioto, 18 décembre 2012, 13h33.
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Boycotter ses livres est un geste de solidarité envers les victimes palestiniennes et syriennes de l'entité coloniale sioniste.
Avant sa "visite" à l'entité criminelle, je cherchais à lire ses livres, mais plus maintenant, plus jamais.
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Je crois que c'est une mauvaise idée de boycotter les écrits de Sansal ou de n'importe qui, on peut légitimement ne pas aimer ces livres, ses idées, ses actions, ses convictions religieuses ou idéologiques voire même ses tendances sexuelles;mais je reste farouchement contre toute censure que ça vient des suppôts des états dictateurs ou des bien pensants amateurs d'autant que c'est de la fiction et nullement des livres d'histoires!Envoyé par ELGHIFARIBoycotter ses livres est un geste de solidarité envers les victimes palestiniennes et syriennes de l'entité coloniale sioniste.
Avant sa "visite" à l'entité criminelle, je cherchais à lire ses livres, mais plus maintenant, plus jamais.
C'est le boycott a un sens ce serait bien et efficace de commencer par les multinationales franchement sionistes et que chez nous on porte fièrement leurs marques et on s'empiffre sans gêne de leurs produits pas toujours indispensables. Et là c'est une autre affaire!Dernière modification par pioto, 18 décembre 2012, 14h39.
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