Annonce

Réduire
Aucune annonce.

"Zineb et Tahar, les amoureux de l’école coranique", poème de Cheikh Bouzid

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #16
    Bonsoir Makhlouka,
    La légende est connue. Avec la publication de la qcida, elle passe de l'oral à l'écrit, de la mémoire capricieuse des hommes aux mémoires plus sûres sur papier et supports électroniques (s'est-on finalement dit que "al 'ilmou fil kourrass la fi rrass wahdahou")
    "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

    Commentaire


    • #17
      Salut benam,

      Je ne connaissais pas... il y a beaucoup de similarités avec le conte mis en chanson par Doukkali dans Kan ya ma kan, où les amoureux furent lapidés et enterrés dans une même tombe, près de laquelle poussèrent un arbre pour leur donner de l'ombre et deux roses entrelacées...

      Je remarque que beaucoup de ces poèmes d'expression populaire semblent avoir la même structure, celle du moussammatt (مـسـمّـط).

      Envoyé par Discus
      egorgé tout court !! meme les legendes se doivent d'etre un petit chewia convaincante saufi si c'est destiné a l'export ..
      Ça n'a pas à être convaincant... Je crois que ces contes ne sont que la mise en paroles de l'archétype des amours interdites, à l'instar des Qays et Layla, Tristan et Yseult, Khosrow et Shirin, et cetera, où la tragédie n'est pas nécessairement celle de la mort des amoureux, mais peut-être plutôt celle de l'impossibilité de ces amours.
      Dernière modification par Sidi Noun, 21 mars 2015, 17h17. Motif: grammaire
      ¬((P(A)1)¬A)

      Commentaire


      • #18
        Salut Sidi Noun
        il y a beaucoup de similarités avec le conte mis en chanson par Doukkali dans Kan ya ma kan, où les amoureux furent lapidés et enterrés dans une même tombe, près de laquelle poussèrent un arbre pour leur donner de l'ombre et deux roses entrelacées...
        Effectivement, l'auteur de l'anthologie signale que Saïm EL-Hadj s'est inspiré de cette légende pour écrire les paroles de la chanson kan ya ma kan de Doukkali.
        "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

        Commentaire


        • #19
          Merci benam... je croyais que kan ya ma kan était inspiré d'un conte marocain.
          ¬((P(A)1)¬A)

          Commentaire

          Chargement...
          X