"Et rappelle; car le rappel profite aux croyants
Sourate Al-Dariyat, verset 55"
En juin 1982, l’entité sioniste envahissait le Liban avec pour objectif « officiel » de détruire la résistance palestinienne et arabe.
A l’époque, la cible principale était l’OLP de Yasser Arafat qui représentait la cause nationale de libération de la Palestine. Beyrouth-Ouest fut assiégée pendant plus de 3 mois consécutifs, ce qui causa la mort de plus 30 000 personnes dont 12 000 enfants.
L’armée sioniste sous commandement d’Ariel Sharon entra finalement dans la ville et arma les milices maronites phalangistes (kataëb), dirigées par Bachir Gemayel, qui se lancèrent du 16 au 18 septembre à l’assaut des camps de réfugiés palestiniens de Sabra et Chatila à Beyrouth. Les Phalangistes massacrèrent plus de 3 500 hommes, femmes, enfants et vieillards.
Ce qui a été décrit comme une simple « complicité » de l’armée sioniste est en réalité un mensonge qui couvre le caractère commandité du massacre commis sous le patronage de l’entité sioniste.
Dans la continuité des massacres de Deir Yassine en 1948 ou de Kfar Kassem en 1956, les sionistes commettent cette infamie pour poursuivre leur longue entreprise d’éradication des Palestiniens, pour effacer toute trace de leur présence, et pour nier tout ce qui n’est pas juif. Faisant preuve d’un cynisme sans nom, Ménahem Begin, alors Premier ministre de l’entité, déclarait ainsi : « Ce n’est pas notre affaire, des Goyims (non juif) tuent des Goyims ».
Le massacre de Palestiniens à l’extérieur de la Palestine démontre toute la haine sioniste qui veut annihiler tout espoir de retour d’un peuple chassé de ses terres en 1948. Les sionistes ne se contentent pas de massacrer les Palestiniens dans leur pays mais également lorsqu’ils sont réfugiés en dehors de la Palestine et qu’ils continuent à résister dans l’espoir de libérer leurs terres.
Ce déchaînement de haine nous prouve que l’entité sioniste est réellement un cancer au cœur de la oumma islamique. Tant qu’elle existera, elle ne cessera de détruire et spolier tout ce qui possède une identité arabe et islamique.
Il est de notre devoir de nous remémorer ce massacre, d’honorer la mémoire de ces victimes et, pour elles, poursuivre la lutte de libération de la Palestine.
Ni pardon, ni oubli.
Qu’Allah couvre de Sa plus grande miséricorde les martyrs.
Le MIL
mouvement islamique de libération 16 septembre 2015
Sourate Al-Dariyat, verset 55"
En juin 1982, l’entité sioniste envahissait le Liban avec pour objectif « officiel » de détruire la résistance palestinienne et arabe.
A l’époque, la cible principale était l’OLP de Yasser Arafat qui représentait la cause nationale de libération de la Palestine. Beyrouth-Ouest fut assiégée pendant plus de 3 mois consécutifs, ce qui causa la mort de plus 30 000 personnes dont 12 000 enfants.
L’armée sioniste sous commandement d’Ariel Sharon entra finalement dans la ville et arma les milices maronites phalangistes (kataëb), dirigées par Bachir Gemayel, qui se lancèrent du 16 au 18 septembre à l’assaut des camps de réfugiés palestiniens de Sabra et Chatila à Beyrouth. Les Phalangistes massacrèrent plus de 3 500 hommes, femmes, enfants et vieillards.
Ce qui a été décrit comme une simple « complicité » de l’armée sioniste est en réalité un mensonge qui couvre le caractère commandité du massacre commis sous le patronage de l’entité sioniste.
Dans la continuité des massacres de Deir Yassine en 1948 ou de Kfar Kassem en 1956, les sionistes commettent cette infamie pour poursuivre leur longue entreprise d’éradication des Palestiniens, pour effacer toute trace de leur présence, et pour nier tout ce qui n’est pas juif. Faisant preuve d’un cynisme sans nom, Ménahem Begin, alors Premier ministre de l’entité, déclarait ainsi : « Ce n’est pas notre affaire, des Goyims (non juif) tuent des Goyims ».
Le massacre de Palestiniens à l’extérieur de la Palestine démontre toute la haine sioniste qui veut annihiler tout espoir de retour d’un peuple chassé de ses terres en 1948. Les sionistes ne se contentent pas de massacrer les Palestiniens dans leur pays mais également lorsqu’ils sont réfugiés en dehors de la Palestine et qu’ils continuent à résister dans l’espoir de libérer leurs terres.
Ce déchaînement de haine nous prouve que l’entité sioniste est réellement un cancer au cœur de la oumma islamique. Tant qu’elle existera, elle ne cessera de détruire et spolier tout ce qui possède une identité arabe et islamique.
Il est de notre devoir de nous remémorer ce massacre, d’honorer la mémoire de ces victimes et, pour elles, poursuivre la lutte de libération de la Palestine.
Ni pardon, ni oubli.
Qu’Allah couvre de Sa plus grande miséricorde les martyrs.
Le MIL
mouvement islamique de libération 16 septembre 2015

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