Wilson : »Je crois que Dieu a présidé à la naissance de cette nation et que nous sommes choisis pour montrer la voie aux nations du monde dans leur marche sur les sentiers de la liberté »
George W. Bush : »Et il ne fait pour moi pas un doute que lorsque l’histoire sera écrite, la dernière page dira la victoire a été obtenue par les États-Unis d’Amérique, pour le bien du monde entier.’
Nous sommes témoins d’une étape décisive caractérisée par le déboussolèrent, la désorientation et par l’effritement des échelles de valeurs. C’est cette anarchie insupportable orchestrée par la symphonie du chaos planifié que viennent investir avec la violence d’un séisme, les obsessions meurtrières de tous ces fous de la pureté originelle. Nous vivons une étape étrange où les tenants du néolibéralisme le plus sauvage s’appuient de plus en plus sur les fanatismes religieux devenus plus porteurs plus propices aux manipulations.
L’intégrisme religieux, commandité et manipulé par le sionisme mondial, est une séparation qui impose à l’homme, proie facile de la manipulation, de dédaigner son vécu pour retrouver le faux chemin de dieu. La modernité, avec toutes ses nuances idéologiques, n’a cessé de déconnecter totalement l’Homme de sa place dans le monde en le soumettant aux pulsions d’un ego inassouvissable. Deux visions du monde diamétralement opposées se rejoignent en déniant à l’Homme sa véritable identité. Cette dimension duelle, tout à la fois matérielle et spirituelle, est seule capable d’assurer à la tendance néolibérale l’équilibre salvateur.
La machine de la mort néolibérale qui a entamé sa course effrayante avec l’invasion de l’Afghanistan et de l’Irak, tente non seulement de mettre la main sur les ressources naturelles mais de disloquer irréversiblement le tissu social, la culture, la tradition, l’histoire et d’anéantir les états de ces pays. Tous nos peuples révoltés du Maghreb et du Proche Orient s’éveillant de leur euphorie, se retrouvent pris dans le pire des cauchemars. Un tel enchainement de violences n’est autre que l’œuvre et le fruit de la stratégie du choc et s’inscrit dans la pensée des néo-conservateurs américains :
‘Seuls les moments de crises aiguës, réelles ou provoquées, sont en mesure de bouleverser l’ordre établi et de réorienter l’humanité dans le sens voulu par le mouvement sioniste.
C’est à partir de 1973, date de la guerre de l’Egypte contre l’état sioniste et du blocus pétrolier engagé par le roi saoudien Abdelaziz contre l’Occident, que selon la stratégie de choc, le monde arabo-musulman est piégé dans »le capitalisme du désastre ». Catastrophes naturelles ou guerres sont autant de chocs permettant paralyser les résistances et d’imposer les dérégulations néolibérales. Historiquement, cette stratégie du choc s’appuie généralement sur une violente agression armée, servant à priver l’adversaire de toute capacité à agir et à réagir; elle est suivie immédiatement par un traitement de choc économique visant un ajustement structurel radical. Cette politique de la terreur sévit depuis voilà quarante ans et se répand un peu partout dans notre région endiablé par l’hystérie néolibérale.
Avec la scène cinématographique de l’attentat du 11 septembre 2001, l’empire sioniste venait de franchir un nouveau palier dans la gestion de l’horreur. Beaucoup de penseurs, affirment que le gouvernement des Etats Unis connaissait des mois à l’avance les menaces d’attentats sur le World Trade Center, pire encore c’était les services secrets américains qui ont commandité et magouillé cet attentat. Le traitement de choc ne se limitait plus à susciter la terreur dans le camp ennemi mais aussi dans son propre camp dans le but de terroriser sa propre population et de lui imposer les nouvelles règles du jeu. C’est ainsi qu’en un clic de doigt que furent votées les lois du Patriot Act et les budgets nécessaires à l’invasion de l’Afghanistan et de l’Irak, … et c’est les pays arabes qui financent !
Cherche-t-on vraiment à dynamiser quoi que ce soit ?
Plus de quarante ans de pratique de la manipulation n’ont pu dynamiser l’économie mondiale et la dégager du marasme dans lequel s’est enfoncé le capitalisme productif. La relance et redynamisation de l’économie au lieu d’être la panacée tant escomptées ont au contraire plongé le monde dans une crise systémique couronnée par le crise retentissante de 2008. Cette domination de la finance libéralisée a démontré en définitive que les mar*chés sont incapables de s’autoréguler. Ce qu’on constate aujourd’hui n’est autre qu’une économie usuraire, obsédée par l’immédiateté du profit et convaincue du fait que l’argent rapporte à lui seul et sans délai de d’argent, … drôle d’hypocrisie occidentale :
»Le néolibéralisme est une vaste opération calamiteuse et spéculative visant le transfert massif des richesses vers une grande bourgeoisie occidentale atteinte de thésaurisation compulsive, obnubilée par ses désirs de destruction, nos peuples se trouvent piégés dans ce tourbillon de l’autoreproduction du capital. »
L’agonie du capitalisme productif s’accompagne d’une déliquescence toujours du politique occidental et de ses pions arabes
Après la sécularisation du religieux, il semble de nos jours que c’est au tour du politique de subir le même sort. Notre époque a été le témoin de ces »religions séculières » qui ont fait du politique un objet de foi et le fascisme qui a été la forme exacerbée de ce culte voué au politique. Avec l’effondrement du mur de Berlin l’institution politique commence à s’ébrécher et semble complètement se déliter de nos jours. Le politique occidental a fini par être totalement vassalisé par l’économique; l’état n’a pour fonctions aujourd’hui que de promouvoir l’économique et d’assurer sa sécurité. Dans un pays comme les États Unis une bonne partie de l’armée est tombée entre les mains des multinationales.
L’ego ainsi libéré de toute transcendance succombe à ses pulsions destructrices. La fièvre de la dérégulation qui s’empare du monde n’est pas synonyme de libéralisation comme le prétendent les ultralibéraux mais d’abolition systématique des règles et des lois qui ont toujours régi et organisé la société des hommes. Si le clivage traditionnel bipolaire tournait autour du partage de la plus-value au sein d’une société régulée même si elle soufrait d’injustice, le clivage actuel oppose régulation et dérégulation et laisse présager l’avènement d’un monde chaotique.
Mue par la pulsion narcissique de la toute puissance, l’oligarchie mondialiste nie toute altérité et s’engage frénétiquement dans un nihilisme destructeur parachevant de la sorte la trajectoire d’une modernité fondée entre autre sur la divinisation de l’ego, la compétition et la chosification de l’humain. Ce narcissisme délirant, pur produit du messianisme inhérent à l’histoire et à la culture nord-américaine a toujours caractérisé l’élite anglo-saxonne étasunienne. Une élite qui ne cesse depuis le milieu du 19 ème siècle d’arborer sa destinée glorieuse.
Depuis deux décennies, l’élite néolibérale semble irréversiblement atteinte de perversion narcissique où se mêlent haine et mépris de l’altérité, volonté de puissance, sadisme et manipulation à notre encontre. Les guerre menées contre notre monde arabe et les restrictions des libertés en Occident annoncent l’univers stalinien dont rêve les forces sionistes. Avec le néolibéralisme, nous passons d’une économie de l’exploitation du travail à une économie de la dépossession, … du vol manifeste. La combinaison de l’endettement public, de l’endettement privé et de la spéculation financière constitue l’outil privilégié de ce vol à l’occidentale, … c’est l’épisode le plus calamiteux de notre histoire.
Les conditions de remboursement sont arrangées de telle sorte qu’elles ne puissent aboutir qu’à la faillite des débiteurs, qu’ils soient individus ou états. Une pratique systématique de l’usure : des plans d’ajustement structurel, des paradis fiscaux, des délocalisations, … sont autant d’armes pour démanteler les frontières nationales au profit d’une minorité avare de multinationales et d’institutions financières mondiales (FMI, BM, …).
Ils manipulent notre consentement
Face à cette capitulation, l’oligarchie mondiale a renforcé encore plus sa domination en récupérant tout en les pervertissant un ensemble de valeurs libertaires. Dans les pays occidentaux, le démantèlement du politique s’effectue non par la coercition mais par la puissance douce permettant une domination consentie, voire même désirée. C’est ainsi que l’idéal anarchiste, égalitaire et antiétatisme fut complètement faussé par l’idéologie néolibérale.
Les anarchistes néolibérales haïssant et chassant les principes et les fondements de l’état souverain considèrent que le marché est seul en mesure de réguler l’économique et le social. Déjà à partir des années soixante l’idée du marché autorégulateur commençait à prendre de l’ampleur. Ainsi du mythe d’une société sans classes des années soixante dix on succombe au nom de la liberté aux charmes d’une société éclatée faite d’individus atomisés.
Ce modèle de l’ego, synonyme de désintégration de toutes les formes de solidarité, constitue la pierre angulaire de la pensée capitaliste anarchique. Ces derniers n’hésitent pas de défendre le droit au suicide, à la prostitution, à la drogue et à la vente de ses organes. Ils vont jusqu’à défendre l’idée que l’enfant a le droit de travailler, de quitter ses parents, de se trouver d’autres parents s’il le souhaite.
C’est ce champs de libertés débridées et démesurées qui commande désormais nos liens sociaux et ruine nos fondements culturels construits de longue date. Ayant cassé tous ces liens traditionnels de solidarité, l’individu s’offre aujourd’hui pieds et poings esclave d’une ploutocratie avide, sure de sa surpuissance et déchaînée. Si la stratégie néolibérale triomphe de nos jours, c’est bien parce qu’elle a su gagner cette guerre de position en menant à bien son offensive idéologique, … et nous leur avons laissé le champs libre !
Cette machine de désintégration du politique s’investit et s’acharne beaucoup plus lorsqu’elle s’applique à nos pays. Le plan du Grand Moyen Orient mis en œuvre depuis l’invasion de l’Irak et qui continue de fleurir dans les pays du printemps arabe combine à la fois la manipulation et la coercition. Dans notre monde arabe, on tente par la fomentation des haines ethniques et religieuses de désintégrer nos sociétés et de les plonger dans les ténèbres du chaos.
George W. Bush : »Et il ne fait pour moi pas un doute que lorsque l’histoire sera écrite, la dernière page dira la victoire a été obtenue par les États-Unis d’Amérique, pour le bien du monde entier.’
Nous sommes témoins d’une étape décisive caractérisée par le déboussolèrent, la désorientation et par l’effritement des échelles de valeurs. C’est cette anarchie insupportable orchestrée par la symphonie du chaos planifié que viennent investir avec la violence d’un séisme, les obsessions meurtrières de tous ces fous de la pureté originelle. Nous vivons une étape étrange où les tenants du néolibéralisme le plus sauvage s’appuient de plus en plus sur les fanatismes religieux devenus plus porteurs plus propices aux manipulations.
L’intégrisme religieux, commandité et manipulé par le sionisme mondial, est une séparation qui impose à l’homme, proie facile de la manipulation, de dédaigner son vécu pour retrouver le faux chemin de dieu. La modernité, avec toutes ses nuances idéologiques, n’a cessé de déconnecter totalement l’Homme de sa place dans le monde en le soumettant aux pulsions d’un ego inassouvissable. Deux visions du monde diamétralement opposées se rejoignent en déniant à l’Homme sa véritable identité. Cette dimension duelle, tout à la fois matérielle et spirituelle, est seule capable d’assurer à la tendance néolibérale l’équilibre salvateur.
La machine de la mort néolibérale qui a entamé sa course effrayante avec l’invasion de l’Afghanistan et de l’Irak, tente non seulement de mettre la main sur les ressources naturelles mais de disloquer irréversiblement le tissu social, la culture, la tradition, l’histoire et d’anéantir les états de ces pays. Tous nos peuples révoltés du Maghreb et du Proche Orient s’éveillant de leur euphorie, se retrouvent pris dans le pire des cauchemars. Un tel enchainement de violences n’est autre que l’œuvre et le fruit de la stratégie du choc et s’inscrit dans la pensée des néo-conservateurs américains :
‘Seuls les moments de crises aiguës, réelles ou provoquées, sont en mesure de bouleverser l’ordre établi et de réorienter l’humanité dans le sens voulu par le mouvement sioniste.
C’est à partir de 1973, date de la guerre de l’Egypte contre l’état sioniste et du blocus pétrolier engagé par le roi saoudien Abdelaziz contre l’Occident, que selon la stratégie de choc, le monde arabo-musulman est piégé dans »le capitalisme du désastre ». Catastrophes naturelles ou guerres sont autant de chocs permettant paralyser les résistances et d’imposer les dérégulations néolibérales. Historiquement, cette stratégie du choc s’appuie généralement sur une violente agression armée, servant à priver l’adversaire de toute capacité à agir et à réagir; elle est suivie immédiatement par un traitement de choc économique visant un ajustement structurel radical. Cette politique de la terreur sévit depuis voilà quarante ans et se répand un peu partout dans notre région endiablé par l’hystérie néolibérale.
Avec la scène cinématographique de l’attentat du 11 septembre 2001, l’empire sioniste venait de franchir un nouveau palier dans la gestion de l’horreur. Beaucoup de penseurs, affirment que le gouvernement des Etats Unis connaissait des mois à l’avance les menaces d’attentats sur le World Trade Center, pire encore c’était les services secrets américains qui ont commandité et magouillé cet attentat. Le traitement de choc ne se limitait plus à susciter la terreur dans le camp ennemi mais aussi dans son propre camp dans le but de terroriser sa propre population et de lui imposer les nouvelles règles du jeu. C’est ainsi qu’en un clic de doigt que furent votées les lois du Patriot Act et les budgets nécessaires à l’invasion de l’Afghanistan et de l’Irak, … et c’est les pays arabes qui financent !
Cherche-t-on vraiment à dynamiser quoi que ce soit ?
Plus de quarante ans de pratique de la manipulation n’ont pu dynamiser l’économie mondiale et la dégager du marasme dans lequel s’est enfoncé le capitalisme productif. La relance et redynamisation de l’économie au lieu d’être la panacée tant escomptées ont au contraire plongé le monde dans une crise systémique couronnée par le crise retentissante de 2008. Cette domination de la finance libéralisée a démontré en définitive que les mar*chés sont incapables de s’autoréguler. Ce qu’on constate aujourd’hui n’est autre qu’une économie usuraire, obsédée par l’immédiateté du profit et convaincue du fait que l’argent rapporte à lui seul et sans délai de d’argent, … drôle d’hypocrisie occidentale :
»Le néolibéralisme est une vaste opération calamiteuse et spéculative visant le transfert massif des richesses vers une grande bourgeoisie occidentale atteinte de thésaurisation compulsive, obnubilée par ses désirs de destruction, nos peuples se trouvent piégés dans ce tourbillon de l’autoreproduction du capital. »
L’agonie du capitalisme productif s’accompagne d’une déliquescence toujours du politique occidental et de ses pions arabes
Après la sécularisation du religieux, il semble de nos jours que c’est au tour du politique de subir le même sort. Notre époque a été le témoin de ces »religions séculières » qui ont fait du politique un objet de foi et le fascisme qui a été la forme exacerbée de ce culte voué au politique. Avec l’effondrement du mur de Berlin l’institution politique commence à s’ébrécher et semble complètement se déliter de nos jours. Le politique occidental a fini par être totalement vassalisé par l’économique; l’état n’a pour fonctions aujourd’hui que de promouvoir l’économique et d’assurer sa sécurité. Dans un pays comme les États Unis une bonne partie de l’armée est tombée entre les mains des multinationales.
L’ego ainsi libéré de toute transcendance succombe à ses pulsions destructrices. La fièvre de la dérégulation qui s’empare du monde n’est pas synonyme de libéralisation comme le prétendent les ultralibéraux mais d’abolition systématique des règles et des lois qui ont toujours régi et organisé la société des hommes. Si le clivage traditionnel bipolaire tournait autour du partage de la plus-value au sein d’une société régulée même si elle soufrait d’injustice, le clivage actuel oppose régulation et dérégulation et laisse présager l’avènement d’un monde chaotique.
Mue par la pulsion narcissique de la toute puissance, l’oligarchie mondialiste nie toute altérité et s’engage frénétiquement dans un nihilisme destructeur parachevant de la sorte la trajectoire d’une modernité fondée entre autre sur la divinisation de l’ego, la compétition et la chosification de l’humain. Ce narcissisme délirant, pur produit du messianisme inhérent à l’histoire et à la culture nord-américaine a toujours caractérisé l’élite anglo-saxonne étasunienne. Une élite qui ne cesse depuis le milieu du 19 ème siècle d’arborer sa destinée glorieuse.
Depuis deux décennies, l’élite néolibérale semble irréversiblement atteinte de perversion narcissique où se mêlent haine et mépris de l’altérité, volonté de puissance, sadisme et manipulation à notre encontre. Les guerre menées contre notre monde arabe et les restrictions des libertés en Occident annoncent l’univers stalinien dont rêve les forces sionistes. Avec le néolibéralisme, nous passons d’une économie de l’exploitation du travail à une économie de la dépossession, … du vol manifeste. La combinaison de l’endettement public, de l’endettement privé et de la spéculation financière constitue l’outil privilégié de ce vol à l’occidentale, … c’est l’épisode le plus calamiteux de notre histoire.
Les conditions de remboursement sont arrangées de telle sorte qu’elles ne puissent aboutir qu’à la faillite des débiteurs, qu’ils soient individus ou états. Une pratique systématique de l’usure : des plans d’ajustement structurel, des paradis fiscaux, des délocalisations, … sont autant d’armes pour démanteler les frontières nationales au profit d’une minorité avare de multinationales et d’institutions financières mondiales (FMI, BM, …).
Ils manipulent notre consentement
Face à cette capitulation, l’oligarchie mondiale a renforcé encore plus sa domination en récupérant tout en les pervertissant un ensemble de valeurs libertaires. Dans les pays occidentaux, le démantèlement du politique s’effectue non par la coercition mais par la puissance douce permettant une domination consentie, voire même désirée. C’est ainsi que l’idéal anarchiste, égalitaire et antiétatisme fut complètement faussé par l’idéologie néolibérale.
Les anarchistes néolibérales haïssant et chassant les principes et les fondements de l’état souverain considèrent que le marché est seul en mesure de réguler l’économique et le social. Déjà à partir des années soixante l’idée du marché autorégulateur commençait à prendre de l’ampleur. Ainsi du mythe d’une société sans classes des années soixante dix on succombe au nom de la liberté aux charmes d’une société éclatée faite d’individus atomisés.
Ce modèle de l’ego, synonyme de désintégration de toutes les formes de solidarité, constitue la pierre angulaire de la pensée capitaliste anarchique. Ces derniers n’hésitent pas de défendre le droit au suicide, à la prostitution, à la drogue et à la vente de ses organes. Ils vont jusqu’à défendre l’idée que l’enfant a le droit de travailler, de quitter ses parents, de se trouver d’autres parents s’il le souhaite.
C’est ce champs de libertés débridées et démesurées qui commande désormais nos liens sociaux et ruine nos fondements culturels construits de longue date. Ayant cassé tous ces liens traditionnels de solidarité, l’individu s’offre aujourd’hui pieds et poings esclave d’une ploutocratie avide, sure de sa surpuissance et déchaînée. Si la stratégie néolibérale triomphe de nos jours, c’est bien parce qu’elle a su gagner cette guerre de position en menant à bien son offensive idéologique, … et nous leur avons laissé le champs libre !
Cette machine de désintégration du politique s’investit et s’acharne beaucoup plus lorsqu’elle s’applique à nos pays. Le plan du Grand Moyen Orient mis en œuvre depuis l’invasion de l’Irak et qui continue de fleurir dans les pays du printemps arabe combine à la fois la manipulation et la coercition. Dans notre monde arabe, on tente par la fomentation des haines ethniques et religieuses de désintégrer nos sociétés et de les plonger dans les ténèbres du chaos.

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