Lors de la réalisation d’un réseau d’assainissement au mois d’août dernier au lieudit Ath Aâli Oukaci situé à la périphérie du chef-lieu de la commune de Saharidj une pierre plate d’un mètre cinquante (1,50 m) a été déterrée et ramenée à la surface par la pelle extravatrice qui intervenait sur le projet.
En plus d’un dessin rupestre représentant une personne s’apprêtant à se faire passer autour du cou, ce qui s’apparente visiblement à une corde comportant un nœud coulant, un passage du “désespéré” sur le point de se suicider selon un groupe de spécialistes dépêchés dès l’annonce de la découverte de Bouira et gravée en-dessous avec des lettres “Tifinagh” composées uniquement de consonnes sans aucune voyelle, ce qui laisse supposer selon cette première expertise qu’il s’agirait de l’écriture primitive des Berbères remontant à plusieurs dizaines de siècles. Cette pierre, qui avait été déposée au siège de l’APC tout de suite après sa découverte et qui devait être récupérée par le centre archéologique, a énigmatiquement disparu.
- La depeche de Kabylie
En plus d’un dessin rupestre représentant une personne s’apprêtant à se faire passer autour du cou, ce qui s’apparente visiblement à une corde comportant un nœud coulant, un passage du “désespéré” sur le point de se suicider selon un groupe de spécialistes dépêchés dès l’annonce de la découverte de Bouira et gravée en-dessous avec des lettres “Tifinagh” composées uniquement de consonnes sans aucune voyelle, ce qui laisse supposer selon cette première expertise qu’il s’agirait de l’écriture primitive des Berbères remontant à plusieurs dizaines de siècles. Cette pierre, qui avait été déposée au siège de l’APC tout de suite après sa découverte et qui devait être récupérée par le centre archéologique, a énigmatiquement disparu.
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