Les philosophes dont la rhétorique verse dans de telles foutaises croient-ils aussi détenir leur illumination crapuleuse de la volonté divine ?
Quel misérable poids peuvent-ils peser aux yeux d'un Isidore Ducasse,Comte de Lautréamont qui décrit Chateaubriand en mohican mélancolique,Senancour en homme-en-jupon,Jean-Jacques Rousseau en socialiste guincheur, Edgar Poe en Mameluck des rêves d'alcool,George Sand en Hermaphrodite circoncis,Théophile Gautier en incomparable épicier, Leconte en captif du diable,Goethe en suicidé pour pleurer, Lamartine en cigogne larmoyante,Victor Hugo en funèbre échalas vert et Byron en Hippopotame des jungles infernales ?
Surtout que certains parmi eux ont toujours repris les affirmations humanistes de ces grands hommes pour les remplacer par des négations nombrilistes.
" Ces écrivains pervers,dont la corruption est si dangereuse,si active,qu'ils n'ont pour but, en imprimant leurs affreux systèmes, que d'étendre au-delà de leur vie,la somme de leurs crimes " ( Le Marquis de Sade )
Pour ce qui est de l'influence extérieure qu'ils subissent, elle n'y est pour rien...
Elle les écrase seulement comme des cafards !
Combien parmi eux n'ont réussi qu'à se construire des prisons mentales dans quoi,en désespoir " d'insignifiance " ils signent leurs sales oeuvres par une marque de destruction.
Et pour mieux polluer leur entourage,ils puent comme " la grenouille qui reste après le biologiste qui passe " de Jean Giono.
Quel misérable poids peuvent-ils peser aux yeux d'un Isidore Ducasse,Comte de Lautréamont qui décrit Chateaubriand en mohican mélancolique,Senancour en homme-en-jupon,Jean-Jacques Rousseau en socialiste guincheur, Edgar Poe en Mameluck des rêves d'alcool,George Sand en Hermaphrodite circoncis,Théophile Gautier en incomparable épicier, Leconte en captif du diable,Goethe en suicidé pour pleurer, Lamartine en cigogne larmoyante,Victor Hugo en funèbre échalas vert et Byron en Hippopotame des jungles infernales ?
Surtout que certains parmi eux ont toujours repris les affirmations humanistes de ces grands hommes pour les remplacer par des négations nombrilistes.
" Ces écrivains pervers,dont la corruption est si dangereuse,si active,qu'ils n'ont pour but, en imprimant leurs affreux systèmes, que d'étendre au-delà de leur vie,la somme de leurs crimes " ( Le Marquis de Sade )
Pour ce qui est de l'influence extérieure qu'ils subissent, elle n'y est pour rien...
Elle les écrase seulement comme des cafards !
Combien parmi eux n'ont réussi qu'à se construire des prisons mentales dans quoi,en désespoir " d'insignifiance " ils signent leurs sales oeuvres par une marque de destruction.
Et pour mieux polluer leur entourage,ils puent comme " la grenouille qui reste après le biologiste qui passe " de Jean Giono.
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