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Les pyramides berberes decouvertes en Algerie

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  • #16
    On les a toujours appelé ,les ruines romaines ?????
    je te propose lire les dernier recherche archéologique de FATIMA KADRA KADRIA

    l’auteur Sabah Ferdi a publier un bon ouvrage un hommage à la mémoire de Madame Fatima Kadra Kadria. sous le titre (L’affirmation de l’identité dans l’Algérie antique et médiévale. COMBATS & RÉSISTANCES) un hommage à Kadria Fatima Kadra qui a décédée en janvier 2012, cette femme éminente fut la première femme archéologue de l’Algérie indépendante .

    on a aussi les travaux de l'historien et d’Archéologie de Jean-Pierre Laporte avec Fatima kadra
    Dernière modification par katiaret, 23 octobre 2016, 00h26.
    dz(0000/1111)dz

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    • #17
      (L’héritage chrétien en Afrique du Nord ) de Robin Daniel c'est une étude historique à partir du premier siècle jusqu’au moyen Âge qui nous plusieur idées sur l'histoire du christianisme dans les villes anciennes nord-africaines dans la période antique

      Nom ancien .........Nom moderne
      Abitina .....Chaoud
      Caesarea (Césarée) .....Cherchell
      Calama..... Guélma
      Cirta .....Constantine
      Cuicul ....Djemila
      Curubis .....Korba
      Cyrene (Cyrène).... Chahat
      Gummi .....Mahdiya
      Hippo (Hippone).... Annaba
      Icosium ......Alger
      Lambaesis (Lambèse)..... Tazoult
      Lixus..... Larache
      Madaura .......Mdaourouch
      Milevis .....Milève
      Sala (Salé).... Salé
      Scillium..... Kasserine
      Sicca..... El Kef
      Sitifis... Sétif
      Sufetula ....Sbeïtla
      Thagaste .....Souk Ahras
      Thamugadi ....Timgad
      Theveste..... Tébessa
      Thugga.... Dougga
      Thysdrus ....El Djem
      Thabraca ....Tabarka
      Tingis ....Tanger
      Tipasa ....Tipasa
      Utica .....(Utique) Utique
      Volubilis .....Oualili
      dz(0000/1111)dz

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      • #18
        on va dire que le vent a éroder la pyramide
        la civilisation a vraiment pour berceau l’Afrique du Nord ...mais du côté de son flanc Est vers le Nil .
        dans l'oasis de Siwa beaucoup de tradition ressemble a les notre en Algérie

        dz(0000/1111)dz

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        • #19
          Ruines Romaines au nord de tiaret

          l'Anonyme de Ravenne a placé dans la Mauretanie Tingitane les stations Cadum castra ,actuellement OUED R'HIOU, Mina,Relizane.

          La vallée de la Mina, depuis le Kherbet Bent- Sarah, près de sa source, est bordée de villes et de châteaux jusqu'à Mina (Bel-Hacel), Enfin, depuis Tiaret jusqu'à Ammi-Mousa, les vallées de l'Oued-Riou. MINA.
          Mina, autrement Minna, appartenait à la Maurétanie césarienne, comme le montre la notice de 482, laquelle est confirmée par l'Itinéraire d'Antonin, où l 'on voit que Mina se trouvait à seize milles de Ballene. Caecilius Minnensis, évêque de Mina, en Maurétanie Césarienne, dans la deuxième partie du Ve siècle selon la Notitia, MC 49. Caelestinus,
          En 525, un seul évêque de Maurétanie Césarienne, celui de Mina, peut assister au concile de Carthage, les autres sont retenus par les nécessités de la guerre. Des états indépendants se développent en Maurétanie, où vivent Romains et berbères.

          MINA , ville de la Mauritanie césariense , dans les terres , vers la source d'une rivière de méine nom. L'itinèraire d'Antonin la met sur la route de Gala a Riiuccurum , entre Ballene prtrfídium, & Gadanm castra, à seize milles de la première, & à vingt-cinq milles de la seconde.Mina , rivière d'Afrique , dont fait mention VAnonyme de Ravenne, L. 111, t. 8: elle mouilloit la ville de Mina, &prenant son cours du sud an nord , elle alloit se jetter dans la Méditerranée. Ptolemée nomme cette rivière ChyUmath.

          La Mina est cette rivière que les Indigènes appellent encore Mina, comme aux plus ancieanciennes époques de leur histoire.

          Ce sera la rivière la plus importante entre le Chelef et la Mina, c'est-à-dire Ouêd Rihou.

          Ruines Romaines du CASTELLUM de KAOUA,prrés de Ain Tarik.patrimoine classé et protégé.


          Là, le soleil déjà vigoureux mais encore assez sage inondait les fabuleuses ruines romaines, ravivait l'ocre des colonnes . La roule de Mostaganem a Relizanc,

          La présence de nombreuses ruines romaines témoigne de l'existence d'une ancienne cité sur ce point.Près d' Ammi-Moussa se voient des ruines romaines assez bien conservées. Selon Léon l'Africain , qu'à peu de distance de Mazouna, sur l'Oued Ouarissa, à deux lieues au nord du Schellif, des inscriptions et des restes considérables d'édifices marquent l'emplacement d'une cité romaine qui était ou le Fundus Muzucanus, selon quelques géographes, ou la colonia Auynsta Snccabar, d'après la description qu'en donne le géographe arabe Bekri.
          Suivant Léon l'Africain, on y voyait encore, au commencement du xvie siècle , de nombreux vestiges d'édifices antérieurs à la domination mahométane; et Marmol assure également qu'il y existait de grandes ruines romaines, avec beaucoup d'inscriptions latines.

          Une seule de ces inscriptions, contenant le nom ancien de ce lieu, fixerait l'incertitude des géographes concernant la direction de la voie militaire romaine qui, partant de Mina, à neuf lieues sud-est de Mostaganem,l'emplacement des stations intermédiaires de la route, jusqu'aux environs de Mina.

          Des fouilles entreprises avec intelligence feraient certainement découvrir des fondations et d'autres ruines d'édifices, des cippes et des monnaies.
          C'est donc là un point qui se recommande spécialement aux recherches de la commission archéologique.

          Il paraît que sur la crête ou sur la pente des montagnes qui, depuis les sources de Tisser, se prolonge jusqu'au Djebel Ouennaseris, il y avait à l'époque romaine une chaîne de postes militaires, formant un grand système de défense contre les tribus insoumises, voisines du lac el-Schott, qui venaient de temps à autre exercer des rapines sur les bords de la Mina et du Schellif.

          Ces postes étaient des camps retranchés, des forts bâtis en pierres, ou même quelquefois de simples tours, dont les ruines doivent encore aujourd'hui être assez apparentes.

          Cette vaste et fertile vallée renfermait jadis un grand nombre de villes florissantes, dont les ruines mutilées gisent éparses au milieu des champs, ou sont couvertes par des broussailles ou par des alluvions.
          dz(0000/1111)dz

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