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10 lectures classiques pour nos enfants

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  • 10 lectures classiques pour nos enfants

    La lecture, enfin un sport indolore qui se pratique dans la bonne humeur : un livre n’a pas besoin d’être rébarbatif pour faire réfléchir.

    Théophile Gautier proclamait que la lecture est la clé de tout, et que la chose la plus merveilleuse, c’est qu’un enfant puisse apprendre à parler et à lire aussi laissait-il la bibliothèque à disposition de ses enfants et les poussait-il à y fouiller souvent. Ses deux filles lurent tôt et énormément.

    LA LECTURE, UN BIENFAIT POUR LE CERVEAU

    Il est admis que le cerveau a besoin d’être stimulé à tout âge pour développer la curiosité et l’esprit critique, pour ralentir, à un âge plus avancé, l’évolution de certaines maladies telle Alzheimer. Le cerveau a besoin d’un entraînement de sportif pour se maintenir actif et vigoureux.

    La lecture, enfin un sport indolore qui se pratique dans la bonne humeur : un livre n’a pas besoin d’être rébarbatif pour faire réfléchir.

    La lecture, un sport qui ne coûte rien : la bibliothèque municipale est là et celles de vos familles et amis aussi.

    Et quel plaisir, le soir, douillettement installé sous la couette, de lire à ses enfants Les contes de Charles Perrault, par exemple.

    ZEN, LA LECTURE !

    Deuxième chose que l’on sait déjà : les écrans sont source de stress. Mais que faire à la place alors ? Prendre des calmants ?

    Non, lire ! Lire détend, lire diminue l’anxiété.

    C’est tout ?

    Eh, oui, c’est aussi facile que cela ! Alors à sept ans, on se met tout seul à lire Les malheurs de Sophie de la comtesse de Ségur. On s’amuse des aventures de ces enfants du 19ème siècle et l’on commence à comparer son enfance à la leur : quelle chance que les fessées ne soient plus à l’ordre du jour ! Début de réflexion sur soi et sur les autres…

    LA LECTURE : TREMPLIN POUR UNE BELLE CARRIÈRE

    Plus on lit, plus on enregistre de connaissances, plus on est armé pour faire face à la vie : on ne peut pas se retrouver sans rien du jour au lendemain, quand la richesse est notre cerveau.

    La lecture accroît le vocabulaire, permet d’exprimer sa pensée et donne confiance en soi.

    Difficile de mener à bien ce grand projet ?

    Allons, à huit ans, lisons Les lettres de mon moulin, d’Alphonse Daudet, et demandons-nous, tout comme La chèvre de M. Seguin par exemple, s’il n’y aurait pas une alternative entre la protection restrictive de la maison parentale et une totale liberté. Et voici le début d’une nouvelle activité du cerveau : l’analyse.

    LA LECTURE : SOURCE DE MÉMOIRE

    Voilà, nous avons dix ans, lançons-nous dans la lecture de La petite Fadette de George Sand.

    Déjà ?

    Et pourquoi pas ? avec peut-être un début de lecture en commun avec papa ou maman, comme ils lisaient pour nous avant nos six ans. Puis après quelques pages, quand la mémoire de notre fabuleux cerveau, entraîné, a enregistré la situation, les personnages, l’action, on termine seul et très fier ; très fier d’avoir créé soi tout seul, avec son livre, de nouvelles connections dans son cerveau : de nouvelles synapses !

    Et que va faire cette super mémoire à court terme ? Nous mettre de bonne humeur : un cerveau bien alimenté est un cerveau heureux.

    TWITTER OU LECTEUR ?

    Emails, Facebook, Twitter, Skype, Messenger et j’en passe, en dix minutes nous sommes capables de répondre à trente-six personnes différentes, venues de trente-six univers différents : copains, famille, boulot… sur trente-six supports de communication différents. Mais se rend-on bien compte du stress, de l’hyperactivité, du manque de concentration que cela génère ?

    Avez-vous cherché la définition de twit sur votre dictionnaire ? Il y en a deux : l’une est le verbe pépier, l’autre est… crétin ! Ne croyez-vous pas que les cerveaux de vos enfants ne soient pas capables d’exprimer plus que quelques cui-cuis ? Qu’ils n’aient pas plus de capacité qu’une cervelle de moineau ou qu’une tête de linotte ? Prenez-vous donc vos enfants pour des crétins ?

    Bien sûr que non ! À onze ans, avec Le tour du monde en 80 jours de Jules Verne, l’attention de leur cerveau est concentrée sur l’aventure, et leur plaisir est d’oublier, pour un temps, le monde autour d’eux. C’est l’effet positif de la lecture sur la capacité de concentration bien nécessaire à l’école ou au travail.

    Alors : lecteur ou twitter ? Les deux : nous sommes au 21ème siècle, tout de même !

    LA LECTURE : UNE OUVERTURE AU MONDE

    Et nous voici au collège. Nous avons, l’air de rien, pris goût à la lecture. À nous les Histoires fantastiques, de Théophile Gautier, Le lion de Joseph Kessel, Les trois mousquetaires d’Alexandre Dumas, Graziella d’Alphonse de Lamartine ou Le journal d’Anne Franck.

    Allez, un petit dernier pour nos grands lycéens qui auraient oublié de lire pendant les vacances : les Cocasseries d’auteurs, recueil d’anecdotes drôlissimes arrivées aux écrivains et poètes célèbres du 19ème siècle. Ces histoires vraies et rocambolesques les feront rire et sourire et changer leur regard sur ces bons vivants. Nombre de jeunes, qui se méconnaissaient en tant que lecteurs, ont trouvé dans ces Cocasseries d’auteurs ce qui manquait à leur cœur et le chemin qui mène à la littérature, voie merveilleuse qui illumine la vie du lecteur.

    À vous, jeunes lecteurs, les belles rédactions bien construites et pleine d’imagination, les dictées sans trop de fautes et les futurs emails compréhensibles au travail !

    Voici ma petite liste, non exhaustive, loin de là ! N’hésitez pas à proposer les belles lectures qui sont restées dans votre mémoire et dans votre cœur.

    Les contes de Charles Perrault

    Les malheurs de Sophie, la comtesse de Ségur

    Les lettres de mon moulin, Alphonse Daudet

    La petite Fadette, La mare au diable, de George Sand

    Vingt mille lieues sous les mers, Le tour du monde en 80 jours, Jules Verne

    Trois histoires fantastiques, Le capitaine Fracasse, Théophile Gautier

    Le lion, Joseph Kessel

    Les trois mousquetaires, Alexandre Dumas

    Graziella, Alphonse de Lamartine

    Le journal d’Anne Franck

    contrepoints

  • #2
    Il suffit parfois d'un livre pour donner l'envie à un enfant de lire.

    Vers l'âge de 7/8 ans, la saga Harry Potter peut être ce déclencheur et permettre ainsi de donner le goût de lire à un enfant.

    Parmi les livres qui peuvent emporter l'adhésion chez les plus jeunes, n'oublions pas : Les orphelins Baudelaire, Le petit Nicolas, L'assasin est au collège, Les disparus de Saint-Agil, Cabot-Caboche, Le Petit Prince, tout les Comtesse de Ségur.... Il y en a tellement d'autres, tous plus enchanteurs les uns que les autres, qu'une page n'y suffirait pas.

    J'ai toujours entendu dire que si un enfant ne lisait pas avant l'âge de 9 ans, il lui serait ensuite très compliqué de devenir un bon lecteur.
    A l'heure d'Internet, des portables, des SMS, il est très difficile de faire lire les jeunes. Si l'habitude n'est pas prise dès le plus jeune âge, c'est hélas quasiment mission impossible ensuite.

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    • #3
      l’élément déclencheur pour moi c’était le club des cinq version arabe المغامرون الخمسة ...




      il y a aussi un élément important : avoir une bibliothèque a la maison ( un petit/mini meuble fait l'affaire)
      Dernière modification par bouberita, 09 septembre 2017, 11h40.
      وقد طوَّفتُ في الآفاق حتى رضيتُ من الغنيمة بالإيابِ

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      • #4
        Helas les smartphones et youtube tuent la lectures chez les enfants.
        Et je dois dire chez les adultes aussi, je lisais au moins 7/8 livres par ans, aujourdhuis beaucoup moins, mea culpa.
        A l'age de 8/9 ans Jules verne ma donnè la passion
        Les mains qui aident sont plus sacrées que les lèvres qui prient. - Sai Baba -

        La libertè, c'est le droit de pouvoir dire aux autres ce qu'ils n'ont pas envie d'entendre -George Orwell-

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