La bataille de Sidi-Brahim s'est déroulée du 23 au 26 septembre 1845 entre les troupes françaises et l,Emir Abd El Kader. Elle dura 3 jours et 3 nuits...
Les Français, commandés par le lieutenant-colonel Lucien de Montagnac, avaient engagé à la légère le 8e bataillon de chasseurs à pied et le deuxième escadron du 2e régiment de hussards contre les troupes de Abd El-Kader.
Imprévue, mal commandée par un Montagnac inconséquent, la rencontre tourna mal pour les troupes françaises. Après un premier combat, les troupes françaises furent réduites de 450 à 82 chasseurs et hussards face à 10 000 arabes.
Le cadavre de Montagnac est réduit en lambeaux et sa tête coupée par les troupes d'Abd-el-Kader, de même que toutes les têtes des soldats français tués au combat, soit deux cent cinquante en tout.
Acculés, les chasseurs survivants du 23 septembre, appartenant à la compagnie de carabiniers se réfugièrent dans un marabout d'où ils repoussèrent tous les assauts.
Après plusieurs jours de siège, les hommes, sans eau, sans vivres, à court de munitions..
Les survivants, n'ayant plus de munitions, chargèrent à la baïonnette, sur les 80 survivants, 16 purent rejoindre les lignes françaises (5 moururent quelques jours plus tard). Seuls 11 chasseurs sortirent vivants de la bataille.
Les Français, commandés par le lieutenant-colonel Lucien de Montagnac, avaient engagé à la légère le 8e bataillon de chasseurs à pied et le deuxième escadron du 2e régiment de hussards contre les troupes de Abd El-Kader.
Imprévue, mal commandée par un Montagnac inconséquent, la rencontre tourna mal pour les troupes françaises. Après un premier combat, les troupes françaises furent réduites de 450 à 82 chasseurs et hussards face à 10 000 arabes.
Le cadavre de Montagnac est réduit en lambeaux et sa tête coupée par les troupes d'Abd-el-Kader, de même que toutes les têtes des soldats français tués au combat, soit deux cent cinquante en tout.
Acculés, les chasseurs survivants du 23 septembre, appartenant à la compagnie de carabiniers se réfugièrent dans un marabout d'où ils repoussèrent tous les assauts.
Après plusieurs jours de siège, les hommes, sans eau, sans vivres, à court de munitions..
Les survivants, n'ayant plus de munitions, chargèrent à la baïonnette, sur les 80 survivants, 16 purent rejoindre les lignes françaises (5 moururent quelques jours plus tard). Seuls 11 chasseurs sortirent vivants de la bataille.
