Les viols pendant la guerre d'Algérie
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Les Viols pendant la Guerre d'Algérie
Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !
Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.Tags: Aucun(e)
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Le tabou du viol des femmes pendant la guerre d’Algérie commence à être levé
De toutes les exactions commises par l’armée française pendant la guerre d’Algérie, le viol est la plus cachée, la plus obstinément tue depuis quarante ans. Il n’y eut jamais d’ordres explicites de viol, et encore moins d’ordres écrits. Mais, loin d’avoir constitué de simples "dépassements", les viols sur les femmes ont eu un caractère massif en Algérie entre 1954 et 1962.
ar Florence Beaugé [Le Monde, 11 octobre 2001]
Les anciens appelés interrogés par "Le Monde" témoignent du caractère massif de l’humiliation des femmes entre 1954 et 1962. Selon l’un d’eux, les détenues subissaient ce sort "en moyenne neuf fois sur dix". Un homme né en 1960 du viol d’une Algérienne par des soldats français demande aujourd’hui réparation.
De toutes les exactions commises par l’armée française pendant la guerre d’Algérie, le viol est la plus cachée, la plus obstinément tue depuis quarante ans, par les auteurs autant que par les victimes. Certains commencent pourtant à lever ce tabou, confirmant peu à peu ce que l’écrivain Mouloud Feraoun dénonçait autrefois dans son journal comme étant une pratique courante, du moins en Kabylie. Il apparaît que, loin d’avoir constitué de simples "dépassements", les viols sur les femmes ont eu un caractère massif en Algérie entre 1954 et 1962, dans les villes mais surtout dans les campagnes, et plus encore vers la fin de la guerre, en particulier au cours de "l’opération Challe", menée en 1959 et 1960 sur le territoire algérien pour venir à bout de l’Armée de libération nationale (ALN). L’ouverture de la totalité des archives et la lecture de tous les "journaux de marche" des soldats ne donneraient sans doute qu’une très petite idée de l’ampleur du phénomène, parce qu’il n’y eut jamais d’ordres explicites de viol, et encore moins d’ordres écrits. En outre, rares sont les hommes qui se seront vantés, dans leurs carnets personnels, de tels comportements.
Tous les appelés interrogés le disent : "Tout dépendait du chef." Si l’officier, ou le sous-officier, affichait des positions morales sans équivoque, il n’y avait ni viol ni torture, quel que soit le sexe des détenus, et quand une "bavure" se produisait la sanction était exemplaire. D’une compagnie à l’autre, on passait donc du "tout au rien". "Donner l’ordre, comme cela a été fait, de toucher le sexe des femmes pour vérifier leur identité, c’était déjà ouvrir la porte au viol", souligne l’historienne Claire Mauss-Copeaux, pour qui deux facteurs au moins expliquent que ce phénomène ait pris de l’ampleur. D’une part, l’ambiance d’extrême racisme à l’encontre de la population musulmane. D’autre part, le type de guerre que menait l’armée française, confrontée à une guérilla qui l’obligeait à se disperser et à laisser une grande marge de manœuvre aux "petits chefs", lesquels, isolés sur le terrain, pouvaient s’attribuer droit de vie et de mort sur la population.
"PIRE QUE DES CHIENS"
"Dans mon commando, les viols étaient tout à fait courants. Avant les descentes dans les mechtas (maisons en torchis), l’officier nous disait : "Violez, mais faites cela discrètement"", raconte Benoît Rey, appelé comme infirmier dans le Nord constantinois à partir de septembre1959, et qui a relaté son expérience dans un livre, Les Egorgeurs. "Cela faisait partie de nos "avantages" et était considéré en quelque sorte comme un dû. On ne se posait aucune question morale sur ce sujet. La mentalité qui régnait, c’est que, d’abord, il s’agissait de femmes et, ensuite, de femmes arabes, alors vous imaginez..."
Sur la centaine d’hommes de son commando, "parmi lesquels des harkis redoutables", précise-t-il, une vingtaine profitait régulièrement des occasions offertes par les opérations de contrôle ou de ratissage. A l’exception de deux ou trois, les autres se taisaient, même si ces violences les mettaient mal à l’aise. La peur d’être accusé de soutenir le Front de libération nationale (FLN) en s’opposant à ces pratiques était si vive que le mutisme était la règle.
Affecté comme appelé en 1961 à la villa Sesini (nommée aussi par erreur Susini), Henri Pouillot révèle avoir assisté à une centaine de viols en l’espace de dix mois, dans ce qui était le plus célèbre des centres d’interrogatoire et de torture de l’armée française à Alger.
"Les prisonniers qu’on torturait dans ma compagnie, c’étaient presque toujours des femmes, raconte de son côté l’ancien sergent Jean Vuillez, appelé en octobre 1960 dans le secteur de Constantine.
Les hommes, eux, étaient partis au maquis, ou bien avaient été envoyés dans un camp de regroupement entouré de barbelés électrifiés à El Milia. Vous n’imaginez pas les traitements qui étaient réservés aux femmes. Trois adjudants les "interrogeaient" régulièrement dans leurs chambres.
En mars 1961, j’en ai vu quatre agoniser dans une cave pendant huit jours, torturées quotidiennement à l’eau salée et à coups de pioche dans les seins. Les cadavres nus de trois d’entre elles ont ensuite été balancés sur un talus, au bord de la route de Collo."
De ses souvenirs, il vient de faire un livre douloureux mais au ton juste, La Villa Susini (Ed. Tirésias). "Les femmes étaient violées en moyenne neuf fois sur dix, en fonction de leur âge et de leur physique, raconte-t-il.
On s’arrangeait, lors des rafles dans Alger, pour en capturer une ou deux uniquement pour les besoins de la troupe. Elles pouvaient rester un, deux, ou trois jours, parfois plus." Pour Henri Pouillot, il y avait deux catégories de viols : "Ceux qui étaient destinés à faire parler, et les viols "de confort", de défoulement, les plus nombreux, qui avaient lieu en général dans les chambrées, pour des raisons de commodité." Il se souvient que la quinzaine d’hommes affectés à la villa Sesini avait "une liberté totale" dans ce domaine. "Il n’y avait aucun interdit. Les viols étaient une torture comme une autre, c’était juste un complément qu’offraient les femmes, à la différence des hommes."
"UN ANÉANTISSEMENT"
Mesuraient-ils alors la gravité de leurs actes ? La plupart n’ont pas de réponse très tranchée. "On savait que ce que nous faisions n’était pas bien, mais nous n’avions pas conscience que nous détruisions psychologiquement ces femmes pour la vie, résume l’un d’eux. Il faut bien vous remettre dans le contexte de l’époque : nous avions dans les vingt ans. Les Algériens étaient considérés comme des sous-hommes, et les femmes tombaient dans la catégorie encore en dessous, pire que des chiens...
Outre le racisme ambiant, il y avait l’isolement, l’ennui à devenir fou, les beuveries et l’effet de groupe." Certains ne se sont jamais remis d’avoir commis ou laissé faire ce qu’ils qualifient avec le recul de "summum de l’horreur". La psychologue Marie-Odile Godard en a écouté quatorze pour faire une thèse de doctorat sur les traumatismes psychiques de guerre. "Ils m’ont parlé des viols comme quelque chose de systématique dans les mechtas, et c’est souvent à l’occasion de telles scènes d’extrême violence que leur équilibre psychique a basculé", raconte-t-elle.
L’avocate Gisèle Halimi, l’une des premières à avoir dénoncé, pendant la guerre d’Algérie, les multiples viols en cours - en particulier dans un livre écrit avec Simone de Beauvoir, Djamila Boupacha -, estime elle aussi que neuf femmes sur dix étaient violées quand elles étaient interrogées par l’armée française.
Dans les campagnes, dit-elle, les viols avaient pour objectif principal "le défoulement de la soldatesque". Mais, lors des interrogatoires au siège des compagnies, c’est surtout l’anéantissement de la personne qui était visé. L’avocate rejoint ainsi l’idée exprimée par l’historienne Raphaëlle Branche, dans son livre La Torture et l’armée (Gallimard), à savoir que la torture avait moins pour objet de faire parler que de faire entendre qui avait le pouvoir. "Ça commençait par des insultes et des obscénités : "******, putain, ça te fait jouir d’aller dans le maquis avec tes moudjahidins ?", rapporte-t-elle. Et puis ça continuait par la gégène, et la baignoire, et là, quand la femme était ruisselante, hagarde, anéantie, on la violait avec un objet, une bouteille par exemple, tandis que se poursuivait le torrent d’injures.
Après ce premier stade d’excitation et de défoulement, les tortionnaires passaient au second : le viol partouze, chacun son tour."
Contrairement à l’idée répandue, les viols ne se sont presque jamais limités aux objets, ce qui achève de détruire l’argument selon lequel les sévices sexuels visaient à faire parler les suspectes.
Gisèle Halimi révèle aujourd’hui que, neuf fois sur dix, les femmes qu’elle a interrogées avaient subi successivement tous les types de viols, jusqu’aux plus "classiques", mais que leur honte était telle qu’elles l’avaient suppliée de cacher la vérité : "Avouer une pénétration avec une bouteille, c’était déjà pour elles un anéantissement, mais reconnaître qu’il y avait eu ensuite un ou plusieurs hommes, cela revenait à dire qu’elles étaient bonnes pour la poubelle."
Saura-t-on un jour combien de viols ont eu lieu ?
Combien de suicides ces drames ont provoqués ?
Combien d’autres victimes, souvent encore des enfants, ont subi des agressions sexuelles (fellations, masturbations, etc.) devant leurs proches pour augmenter encore le traumatisme des uns et des autres ?
Il faudra aussi se pencher sur la question des "Français par le crime", comme se définit Mohamed Garne, né d’un viol collectif de sa mère, Khéira, par des soldats français, alors qu’elle était âgée de quinze ans. Il reste de nombreuses pistes à explorer, et tout d’abord à écouter la parole qui se libère d’un côté comme de l’autre de la Méditerranée. "Il faudrait aussi travailler sur l’imaginaire des anciens d’Algérie, souffle l’historien Benjamin Stora. Ils ont écrit plus de trois cents romans, où presque tous "se lâchent" et relatent des scènes de viols terrifiantes. C’est alors qu’on prend la mesure de ce qu’a dû être l’horreur."
Mohamed Garne
- Né d’un viol collectif dans un camp, Mohamed Garne demande réparation à l’Etat français, par Franck Johannès, Le Monde, 11 octobre 2001 :
http://www.algeria-watch.org/fartic...
- Reconnu comme victime, Mohamed Garne touchera une pension car sa mère, enceinte, a été torturée par les soldats français. Par Franck Johannès, Le Monde, 24 novembre 2001 : http://www.algeria-watch.org/fartic...
- Mohamed Garne a gagné son combat, par K. Selim, Le Quotiden d’Oran, 24 novembre 2001 :
http://www.algeria-watch.org/fartic...
Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !
Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.
- Né d’un viol collectif dans un camp, Mohamed Garne demande réparation à l’Etat français, par Franck Johannès, Le Monde, 11 octobre 2001 :
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Juste un exemple : si vous lisez le livre "Les égorgeurs" du français Benoist Rey qui passait son service militaire juste entre 1959 à 1960 dans le constantinois.
Un témoignage vraiment horrible ... un roman d'horreurs, dont la plupart des jeunes algériens savent très peu.
Il a été publié en avril 1961. Et la France, l'Etat des Libertés ..., l'avait confisqué ...Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !
Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.
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Salon du livre libertaire 2017 - Benoist Rey
A propos de la censure de son livre "Les égorgeurs"
Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !
Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.
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« LES ÉGORGEURS », de Benoist Rey
Mémoires censurées d’Algérie
par Florence Beaugé
«Nous étions des bêtes commandées par des salauds. » Ce que Benoist Rey a vu en Algérie (1) quand il a été appelé sous les drapeaux en septembre 1958, il ne l’oubliera jamais. « Volontaire d’office », il est affecté dans une unité d’élite, les commandos de chasse, où il va participer aux opérations menées dans le Constantinois. Il a tout juste vingt et un ans. Pendant « une année d’orgie criminelle » , il sera le témoin impuissant de cette guerre qui, si elle a un nom, est « barbarie », et un visage, celui de la terreur. « Vous pouvez violer, mais faites ça discrètement » , recommandait à sa section l’un des tortionnaires, l’aspirant P., avant d’entrer dans les villages. Et le même P. d’ajouter : « C’est ça, la pacification. De toute façon, les Arabes ne sont bons qu’à être descendus. » Le premier soir, en regagnant sa base, Benoist Rey devait apprendre qu’une jeune musulmane de quinze ans avait été violée par sept soldats, une autre de treize ans par trois hommes...
En devoir de mémoire, et pour tenter d’échapper à ce cauchemar, le jeune appelé écrit, au jour le jour, le quotidien d’une armée qui massacre et torture de façon systématique, brûle et égorge en riant, anéantit tout ce qui passe à portée de son délire et de sa logique. Il regagne Paris « physiquement vidé, avec une blessure inguérissable au cœur » . Ce sentiment de culpabilité collective explique sans doute le silence des appelés à leur retour en France.
Paru une première fois en 1961, aux Editions de Minuit, son récit, Les Egorgeurs, est immédiatement interdit par le pouvoir et saisi chez l’imprimeur. Pourquoi cette censure, alors qu’Henri Alleg avait publié La Torture quatre ans plus tôt et que d’autres documents semblables avaient pu paraître ? Ni Benoist Rey ni les Editions de Minuit ne le sauront jamais. Quoi qu’il en soit, ce journal de bord est réédité, inchangé, aux Editions du Monde libertaire — Los Solidarios et mérite d’être lu.
Au douloureux travail de mémoire, la France, on le sait, a préféré l’amnésie officielle édictée, en quelque sorte, par une série de lois d’amnistie en rafale (2).
Trente-huit ans plus tard, les bourreaux qui ont officié en Algérie restent impunis.
On connaît leurs noms, mais ils n’ont jamais eu à rendre de comptes à qui que ce soit.
Ils ont même été fêtés, honorés, et invités à défiler les 14-Juillet. « Quel nom aura notre honte ?
Quel remords sera le nôtre ?
S’interrogeait alors douloureusement le jeune Benoist Rey.
Et personne ne dit rien, chacun se repose sur l’autre.
Personne ne prend de responsabilités.
Nous perdons tout sentiment de dignité, d’humanité. »
Qui pourra jamais mesurer les conséquences d’une telle barbarie sur le peuple algérien ?
Florence BeaugéDernière modification par Pomaria, 19 décembre 2018, 16h36.Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !
Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.
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oui masha oui, belle diversion que tu nous fais.
tu as du lire sun tzu.
infinite tu devrais prendre de l'immodium
@Pom : vois tu arriver la cavalerie du général bugeaud, qui veut relativiser le sujet que tu exposes ?Dernière modification par hmida, 20 décembre 2018, 19h45.J'aime surfer sur la vague du chaos.
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oui masha oui, belle diversion que tu nous fais.
je me demande juste pourquoi on ne parle jamais des crimes contre la pudeur commis par nos frères de sang (ce qui est plus grave) et on insiste sur ce qui a été commis par un colonisateur qui par définition est venu pour faire le plus de mal possible ... ceci dit les deux sont condamnables et révoltants d'ou mon ''pauvre femme algérienne''Les erreurs ne se regrettent pas, elles s'assument ..
La peur ne se fuit pas, elle se surmonte ..
L'amour ne se crie pas, il se prouve.
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mashaje me demande juste pourquoi on ne parle jamais des crimes contre la pudeur commis par nos frères de sang (ce qui est plus grave) et on insiste sur ce qui a été commis par un colonisateur qui par définition est venu pour faire le plus de mal possible ... ceci dit les deux sont condamnables et révoltants d'ou mon ''pauvre femme algérienne''
Apparemment tu n'as pas du tout suivi la presse et le cri des femmes algériennes pendant cette période "trou noir".
Il y avait eu beaucoup d'abus accompagnés d'enlevements (des groupes terroiste et de sécruité de l"état) ainsi que des mariage forcés de la part des terros dans les zones qu'ils controlaient !
Et ca beaucoup de nos journaux ont de tout temps relevé ces faits. Regarde surtout les journaux de l'époque. Il y a eu aussi des viols qui ont été dénoncé, surtout de part de certains groupes terroristes qui écumaient dans l'algérois. Les journaux en ont parlé aussi. Il n'y a jamais eu d'homerta à ce sujet.
Mais je le dis et je le répète : c'est sans commune mesure en ampleur et en nombre par rapport aux viols de masse et systématisées par l'armée coloniale fransaise. Et là, il y a eu une vraie homerta de la part de l'état francais de l'époque et qui a tout fait pour cacher cette vérité atroce aux peuples français et algériens.
Alors que c'est vachement monstrueux : 9 femmes indigènes sur 10 qui ont été arrête par l'armée coloniale, ont subit le viol systématique. Si ce n'est pas avec une bouteille, c'est avec ... :22:
Donc tache de ne pas mélanger les choses MASHA et donner la chance à des gens comme cet "Infinite", qui cherche coute que coute à dédouaner ses amis des crimes de guerre qu'ils ont commis pendant 130 ans. Et il en ait content de leur œuvre civilisatrice !Dernière modification par Pomaria, 20 décembre 2018, 20h58.Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !
Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.
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infinite tu devrais prendre de l'immodiumDernière modification par infinite1, 21 décembre 2018, 08h56.
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Alors que c'est vachement monstrueux : 9 femmes indigènes sur 10 qui ont été arrête par l'armée coloniale, ont subit le viol systématique. Si ce n'est pas avec une bouteille, c'est avec ...
Donc tache de ne pas mélanger les choses MASHA et donner la chance à des gens comme cet "Infinite", qui cherche coute que coute à dédouaner ses amis des crimes de guerre qu'ils ont commis pendant 130 ans. Et il en ait content de leur œuvre civilisatrice !Dernière modification par infinite1, 21 décembre 2018, 09h19.
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quand aux arabes c'est connu là ou ils passent il y a le désert qui suit ...
Ne sois pas aussi rude envers les Arabes, sois raisonnable. Il suffit de lire l'histoire pour voir et comprendre que les Arabes , appuyé par l'islam ont édifié une civilisation que les occidentaux eux même désignent sous diverses noms tel : La civilisation Arabe , L'apport des Arabes dans la sciences, la civilisation musulmane, Les inventions Arabes qui ont contribué à la renaissance de l'Europe, et des nombreuses émissions télévisuelles telles : Quand le monde parlait Arabe etc...
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Massa el khir ^^
Pomaria
Apparemment tu n'as pas du tout suivi la presse et le cri des femmes algériennes pendant cette période "trou noir".
qu'en est il des oreilles sourdes qui ne font comme si qu'ils n'ont rien entendu de ces cris SOS ??! c’est de ceux là que je parle !
Regarde surtout les journaux de l'époque
en parler seulement n'est pas suffisant !
Alors que c'est vachement monstrueux : 9 femmes indigènes sur 10 qui ont été arrête par l'armée coloniale, ont subit le viol systématique. Si ce n'est pas avec une bouteille, c'est avec ...
aucun chiffre, car personne n'a cherché à le savoir
Allah ghaleb yek !
Donc tache de ne pas mélanger les choses MASHA
donner la chance à des gens comme cet "Infinite"
Alors que c'est vachement monstrueux
ce n'est pas le nombre de femmes victimes de viol qui fait la monstruosité du crime !!Les erreurs ne se regrettent pas, elles s'assument ..
La peur ne se fuit pas, elle se surmonte ..
L'amour ne se crie pas, il se prouve.
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